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* Bonjour, Les Pensées spirituelles O.M.A. du 28 Décembre 2016 au 05 Janvier 2017 inclus & Belle journée. *
05/01/2017 07:55


La pensée du jour & jeudi 5 janvier 2017
les Moments de plénitude - penser à les partager avec le monde entier

Comme si vous aviez soudain reçu un don du Ciel, il y a des jours où vous vous sentez inexplicablement riche, heureux, dans la paix… Est-ce qu’à ce moment-là vous pensez à partager cette abondance intérieure avec ceux qui sont malheureux et seuls ?… Apprenez à donner quelque chose de cette richesse, de cette plénitude que vous ne pouvez même pas contenir, et dites : « Chers frères et sœurs du monde entier, ce que j’ai reçu est tellement magnifique ! Je veux le partager avec vous. Prenez de cette joie, prenez de cette lumière. » Lorsque vous aurez la conscience suffisamment développée pour penser à faire participer les autres à votre bonheur, non seulement vous serez inscrit dans les registres d’en haut comme un être intelligent et bon, mais ce que vous aurez ainsi distribué ira se placer sur votre compte dans les « banques » célestes où vous pourrez puiser le jour où vous en aurez besoin. Car tout ce que vous donnez ainsi reste en votre possession ; puisque vous l’avez placé dans les réservoirs d’en haut, personne ne peut vous le prendre.
Omraam Mikhaël Aïvanhov

« Il faut que des foyers de lumière se créent partout dans le monde, afin qu’ils fassent le lien entre la terre et le Ciel. Ce sont des canaux vivants par lesquels les bénédictions divines descendent pour tous les humains. Heureusement, de tels foyers existent déjà, car sans eux la terre serait la proie de toutes les forces obscures et destructrices.
Vous voulez véritablement aider votre famille, votre pays, le monde entier ? Partout où vous allez, efforcez-vous de créer un foyer de lumière, devenez vous-même un foyer de lumière par lequel la terre entrera en contact avec le Ciel. Voilà la tâche la plus glorieuse que vous puissiez entreprendre : faire que toutes les âmes humaines bénéficient de vos efforts, afin que grâce à votre travail elles reçoivent la nourriture spirituelle et la joie. »
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Omraam Mikhaël Aïvanhov
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« Dimanche (le Soleil), lundi (la Lune), mardi (Mars), mercredi (Mercure), jeudi (Jupiter), vendredi (Vénus), samedi (Saturne) : la succession des sept jours de la semaine répond symboliquement à un agencement musical des planètes. Et puisque chaque jour correspond à une planète, eux aussi, l’un après l’autre, ils passent devant le Créateur en chantant. Ils sont liés entre eux comme les grains d’un chapelet sans fin dont le déroulement s’inscrit dans l’éternité.
Si les chapelets ont une si grande importance dans certaines religions, c’est parce qu’ils symbolisent l’enchaînement des forces cosmiques, la succession infinie des éléments et des êtres. Et nous aussi, nous ne devons jamais oublier que nous faisons partie d’une chaîne, car c’est en gardant la conscience d’appartenir à ce déroulement infini que nous vivons à l’unisson de l’harmonie cosmique. »
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Omraam Mikhaël Aïvanhov
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La Pensée du jour & Du lundi 2 janvier 2017
la Vie humaine - intervalle de temps entre le premier et le dernier souffle
Dans le livre de la Genèse, il est dit que Dieu « souffla dans les narines d’Adam un souffle de vie » et que « l’homme devint un être vivant ». La vie de l’homme a donc commencé par un souffle donné par Dieu. Et c’est vrai, pour tout être humain la vie commence par une inspiration. Dès que l’enfant a quitté le sein de sa mère, la première chose qu’il doit faire pour devenir vraiment un habitant de la terre, c’est de prendre une inspiration : il ouvre sa petite bouche, il crie, tous l’entendent et se réjouissent en pensant que, ça y est, il est vivant ! Car c’est grâce à cette inspiration que ses poumons se remplissent d’air et se mettent en mouvement. Inversement, quand on dit d’un homme qu’il a rendu son dernier soupir, tout le monde comprend qu’il est mort. Le souffle, c’est le commencement et la fin. La vie commence par une inspiration, et elle finit par une expiration. Entre ces deux moments extrêmes, c’est par une longue succession d’inspirations et d’expirations que nous entretenons la vie en nous. Il importe que nous en soyons conscients et reconnaissants.
Omraam Mikhaël Aïvanhov


« Dans certains pays il est de tradition que, le premier jour de l’an, les enfants se lèvent très tôt et sortent dans les rues pour aller frapper aux portes des voisins : dès qu’on leur ouvre, ils prononcent des souhaits, des bénédictions, afin que toute l’année soit favorable aux habitants de cette demeure. J’ai connu, moi aussi, cette coutume en Bulgarie. Le matin du premier janvier, on envoyait les enfants souhaiter la bonne année dans les maisons du voisinage. Ils tenaient à la main une petite branche de cornouiller à laquelle on accrochait parfois des rubans ; avec cette branche ils devaient toucher toutes les personnes de la maison en prononçant de bons souhaits. On pense que les enfants sont purs, innocents, ils ne peuvent donc apporter que de bonnes choses, et il est important que l’année commence sous le signe de la pureté et des bénédictions.
Ce sont là des traditions qui doivent être respectées, sinon extérieurement, du moins intérieurement. Vous aussi, au premier jour de l’année, pensez à la première visite que vous allez recevoir, à la première présence que vous allez accueillir en vous, et préparez-vous : faites que cette première visite soit celle de la lumière afin que toute votre année soit illuminée. »
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Omraam Mikhaël Aïvanhov
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Une Année est une entité vivante -
Une année se termine et une autre va commencer… C’est la période où tous forment des vœux pour eux-mêmes, pour leur famille, leurs amis, pour le monde entier. La coutume est de se rencontrer, de s’embrasser, de s’inviter, en espérant que cette nouvelle année apportera à chacun beaucoup de bonnes choses. Mais avant de penser à la nouvelle année, arrêtez-vous un moment sur l’année qui s’en va et adressez-vous à elle… Vous êtes étonnés : comment ? Parler à l’année ?… Oui. La Kabbale dit qu’une année est un être vivant, on peut donc lui parler. Alors, adressez-vous à cette année qui s’éloigne et demandez-lui de se souvenir de vous. Puisqu’elle est vivante, elle ne reste pas inactive, elle a enregistré non seulement vos actes, mais aussi vos désirs, vos sentiments, vos pensées. Le dernier jour elle fera son rapport aux Seigneurs des destinées et elle vous reliera à l’année nouvelle. Sachez la saluer avant de la quitter.
Omraam Mikhaël Aïvanhov
« Ce sentiment que nous éprouvons parfois que l’immensité, l’illimité est la véritable patrie de notre âme, n’est pas une illusion, il a son origine dans notre structure psychique. C’est pourquoi, ceux qui refusent de prendre en considération ces besoins de leur âme, sentiront toujours au fond d’eux-mêmes une sorte d’insatisfaction. Même avec la fortune, au milieu des honneurs, des succès, de la gloire, ils auront toujours la sensation qu’il leur manque quelque chose. Et il est inutile qu’ils essaient de nier ou de refouler cette sensation par quelque moyen que ce soit ; car elle est là pour les obliger à marcher sur le chemin qui les conduira jusqu’à la Source de la lumière.
Dieu ne peut être ni vu, ni entendu, ni touché, ni expliqué, ni atteint. Or, nous sommes habités par le besoin irrésistible de partir à sa recherche. Et c’est Dieu Lui-même qui a mis ce besoin en nous pour que nous n’arrêtions jamais d’avancer. L’essentiel c’est de ne jamais s’arrêter. »
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Omraam Mikhaël Aïvanhov
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« Parler, écrire, consiste à assembler des mots en les ajustant, en les organisant ; c’est donc un acte de création. Chacun peut ainsi créer chez les êtres la joie, la confiance, l’amour, la lumière, ou bien le chagrin, l’obscurité, la maladie, le désespoir ; et dans le second cas, même si on s’exprime dans le meilleur style, on fabrique des monstres.
La véritable évolution, c’est d’apprendre à se servir de la parole, orale ou écrite, en vue de résultats divins, c’est-à-dire de mettre en œuvre les éléments du Verbe pour créer uniquement ce qui est juste, bon et beau. Celui qui travaille consciemment dans cette direction, participe à l’œuvre de Dieu, qui le reconnaît alors comme un de ses ouvriers. Car la création n’est pas encore achevée, le Créateur continue à travailler et Il a besoin d’ouvriers qui Lui apportent – symboliquement – des pierres, du sable, du ciment. « Nous ne servons qu’à ça ? » direz-vous. Oui, et ne soyez pas vexé, ce n’est certainement pas à nous, les humains, que le Créateur peut confier la tâche la plus importante, mais, à quelque niveau que ce soit, il est glorieux de participer à son travail. »
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Omraam Mikhaël Aïvanhov
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« Une bonne vision des choses ne peut s’obtenir que par la pureté. C’est pourquoi notre Enseignement met l’accent sur la vie pure, aussi bien dans le plan physique que dans le plan psychique.
Toute la destinée de l’homme dépend de la clarté de son « œil intérieur », et cette clarté dépend de sa façon de vivre. Dès qu’il commet une faute, dès qu’il transgresse les lois divines, sa vision spirituelle s’obscurcit, il n’est plus ni averti ni guidé, et il s’égare dans des voies sans issue. C’est donc à chacun de prendre conscience de la relation qui existe entre sa conduite quotidienne et la clarté de sa vision. Celui qui se décide à vivre une vie droite, honnête et noble se purifie, et ses centres subtils commencent à fonctionner. C’est ainsi que, bien éclairé, bien dirigé, il retrouve les sources, les prairies, les lacs, les pâturages et les montagnes de sa vraie patrie. »
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Omraam Mikhaël Aïvanhov
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