À chaque occasion, l'encouragement est la plus belle chose gratuite que l'on puisse donner.
Apprenez à donner de votre absence à ceux qui n'ont pas compris l'importance de votre présence.
Arrêtez de faire confiance à n'importe qui.
Trop de gens agissent par intérêt.
Assume ton destin derrière les soucis, le chagrin et la peur, tu découvriras alors l'extraordinaire bonheur qu'est la confiance en soi.
Aujourd'hui je n'attends rien que de ma seule disponibilité, que de cette soif d'errer à la rencontre de tout.
Pensée de André Breton
Avancer c'est aussi savoir rayer certaines personnes de sa vie, je n'ai pas changer, j'ai seulement compris certaines choses.
Ne jamais croire aux belles paroles mais aux belles preuves.
Avant de vous sous-estimer, de faire une dépression ou de vous remettre en question, assurez- vous quand même que vous n’êtes pas tout simplement entouré de cons !
Avoir un mental cent pour cent positif, c’est le secret. La clé de toutes les victoires.
Pensée de Mike Horn
Beaucoup de gens gardent leurs sentiments pour eux parce qu'ils sont fatigués de les avouer à la mauvaise personne.
Beaucoup pensent à vivre longtemps, peu à bien vivre.
Pensée de Socrate
Celui qui a besoin de toi, te contactera.
Celui qui veut te voir, aura du temps pour toi.
Celui qui te veut, te trouvera.
Celui qui désire la paix du coeur doit arracher de sa blessure la flèche de la peine, la plainte et la lamentation.
Celui qui ne progresse pas chaque jour, recule chaque jour.
Celui qui te fait oublier ton passé, c'est lui ton avenir.
Pensée d'Aristote
Ce qui est détestable pour toi, ne le fais pas à ton prochain.
Pensée d'Hillel
Ce qui est important ce n'est ni d'être optimiste ni pessimiste, c'est d'être déterminé.
Pensée de Jean Monnet
Ce qui est merveilleux avec la vie, c'est qu'on peut toujours changer l'histoire, et alors la fin nous appartient.
Ce qui étonne, étonne une fois, mais ce qui est admirable est de plus en plus admiré.
C’est ce que nous pensons déjà connaître qui nous empêche souvent d’apprendre.
Pensée de Claude Bernard
C'est dans son coeur qu'il faut construire la paix. C'est en croyant aux roses qu'on les fait éclore.
... Zézette, une cagole de l'Estaque, qui n'a que des cacarinettes dans la gougourde, passe le plus clair de son temps à se radasser la mounine au soleil ou à frotter avec les cacous du quartier. Ce soir-là, revenant du baletti ou elle avait passé la soirée avec Dédou, son béguin, elle rentre chez elle avec un petit creux qui lui agace l'estomac. Sans doute que la soirée passée avec son frotadou lui a ouvert l'appétit, et ce n'est certainement pas le petit chichi qu'il lui a offert, qui a réussi à rassasier la poufiasse.
Alors, à peine entrée dans sa cuisine, elle se dirige vers le réfrigérateur et se jette sur la poignée comme un gobi sur l'hameçon. Là, elle se prend l'estoumagade de sa vie. Elle s'écrie : " Putain la cagade ! Y reste pas un rataillon, il est vide ce counas ! " En effet, le frigo est vide, aussi vide qu'une coquille de moule qui a croisé une favouille . Pas la moindre miette de tambouille.
Toute estranssinée par ce putain de sort qui vient, comme un boucan, de s'abattre sur elle, Zezette résignée se dit, " Té vé, ce soir pour la gamelle, c'est macari, on va manger à dache ". C'est alors qu'une idée vient germer dans son teston. " Et si j'allais voir Fanny ! " se dit-elle, " en la broumégeant un peu je pourrais sans doute lui resquiller un fond de daube ". Fanny, c'est sa voisine.
Une pitchounette brave et travailleuse qui n'a pas peur de se lever le maffre tous les jours pour remplir son cabas. Aussi chez elle, il y a toujours un tian qui mijote avec une soupe au pistou ou quelques artichauts barigoules. Zézette lui rend visite. " Bonsoir ma belle, coumé sian ! Dis-moi, comme je suis un peu à la déche en ce moment, tu pourrais pas me dépanner d'un péton de nourriture ! Brave comme tu es je suis sure que tu vas pas me laisser dans la mouscaille! "
En effet, Fanny est une brave petite toujours prête à rendre service. Mais si elle est brave la Fanny, elle est aussi un peu rascous et surtout elle n’aime pas qu'on vienne lui esquicher les agassins quand elle est en train de se taper une grosse bugade, ça c'est le genre de chose qui aurait plutôt tendance à lui donner les brégues.
Alors elle regarde Zézette la manjiapan et lui lance " Oh collégue ! tu crois pas que tu pousses le bouchon un peu loin .Moi tous les jours je me lève un tafanari comaco pour me nourrir ! Et toi pendant ce temps-là, que fais -tu de tes journées? Moi, lui réponds la cagole ! " J'aime bien aller m'allonger au soleil ! ça me donne de belles couleurs et ça m'évite de mettre du trompe-couillon.
" Ah ! tu aimes bien faire la dame et te radasser la pachole au soleil, et bien maintenant tu peux te chasper. Non mais, qu'es'aco ? C'est pas la peine d'essayer de me roustir parce que ce n’est pas chez moi que tu auras quelques choses à roussiguer, alors tu me pompes pas l'air, tu t'esbignes et tu vas te faire une soupe de fèves.