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VIP-Blog de marie-andree
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  • Créé le : 01/02/2008 17:52
    Modifié : 25/04/2020 21:27

    Fille (60 ans)
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    * PETITE HISTOIRE DE LA CRÈCHE DE NOËL *

    19/12/2016 14:45

    * PETITE HISTOIRE DE LA CRÈCHE DE NOËL *


     
     

    La crèche est un symbole chrétien profondément ancré dans les traditions françaises, rappelant la naissance de Jésus dans une étable. Entre religion et tradition, petite histoire de la crèche de Noël. D’où vient la crèche de Noël ? Quand mettre la crèche de Noël ?

    La crèche est avant tout une représentation de la Nativité, célébrée par les chrétiens dans la nuit du 24 au 25 décembre. L’Évangile selon St-Luc narre la naissance de l’Enfant Jésus dans une étable de la région de Bethléem, en Palestine. La crèche est une synecdoque puisqu’elle désigne à l’origine le mangeoire dans lequel l’Enfant Dieu a été déposé après la naissance, mais le terme est utilisé pour désigner l’ensemble de la scène.

    Les premiers écrits mentionnent, dès le VIe siècle, la célébration de la messe de Noël autour de la crèche à l’église Ste-Marie de Rome. Celle-ci comprenait les principaux protagonistes : Marie, Joseph, L’Enfant Jésus, l’âne ayant transporté Marie, le bœuf présent dans l’étable et éventuellement quelques bergers ayant propagé la nouvelle de la naissance. La crèche était alors vivante, avec de véritables croyants pour figurer les personnages religieux.

    Il faudra attendre le XIIIe siècle pour entendre parler des Rois Mages et de l’Étoile du berger qui les guida jusqu’au lieu de la naissance de l’Enfant Jésus. C’est saint François d’Assise qui a créé en 1223 une des premières crèches vivantes en utilisant des personnages réels, à Greccio, en Italie, dans une grotte de la région où les frères mineurs avaient établi un ermitage, avec la coopération du Seigneur du village. Les personnages (Joseph, la Vierge Marie, les mages, les bergers, les paysans) étaient joués par les gens du village. Les animaux aussi étaient réels. Thomas de Celano, premier biographe de François, rapporte que François prêcha, durant la messe de Noel, et que l’un des assistants le vit se pencher vers la crèche et prendre un enfant dans ses bras1. A Greccio se trouve encore un ermitage franciscain qui commémore cette première crèche vivante. Plus tard, on plaça parfois un véritable enfant dans la mangeoire. Petit à petit, la coutume s’est répandue, sous l’influence des prédicateurs franciscains, surtout en Provence et en Italie.

    Lors de la Révolution française, toute représentation de scène religieuse fut interdite, ce qui eu pour effet de propulser les crèches miniatures dans les foyers. Figurines en verre, en cire, en bois voire en mie de pain, les matériaux utilisés reflétaient alors la richesse des maitres des lieux. Dès lors, les figurines ne cesseront d’évoluer en fonction des régions et des époques : provençale, baroque, napolitaine…

    Petit tour du monde : on trouve des personnages en bois en Afrique du Nord, en argent en Europe de l’Est, ou encore en pâte à sel ou en sucre en Amérique du Sud.

    Les santons, dont la capitale est Marseille depuis 1803, sont les petites figurines de la crèche. Ces personnages en argile rouge tiennent leur nom du terme provençal «Santoun», littéralement le « Petit-Saint » et sont connus dans le monde entier. Ils ont introduit de nombreux personnages de la vie quotidienne supplémentaires : différents corps de métiers, le curé, une bohémienne… ayant chacun leur signification.

     






    * Cadeaux, bûche et sapin : d'où viennent ces traditions de Noël ? *

    19/12/2016 14:07

    * Cadeaux, bûche et sapin : d'où viennent ces traditions de Noël ? *


     

    Cadeaux, bûche et sapin : d'où viennent

    ces traditions de Noël ?

     

     

    Sapin, cadeaux, bûche... À l'heure de déployer tous les ingrédients propices à attirer le Père Noël, Sciences et Avenir revient sur les origines historiques de ces symboles.

    Noël, son sapin, son bonhomme en costume rouge, les cadeaux... Autant de symboles qui nous sont familiers.

    Noël, son sapin, son bonhomme en costume rouge, les cadeaux... Autant de symboles qui nous sont familiers.

    ANSOTTE/ISOPIX/SIPA
     
     
     
     

    LES CADEAUX. Les cadeaux sont une promesse d’abondance dont on retrouve la trace dans l’Antiquité. Les Romains en échangeaient lors des Sigillae, au dernier jour des Saturnales, accompagnés de vœux. Si les premiers chrétiens critiquent la dimension païenne et superstitieuse de cet usage, l’Église se garde tout de même de l’interdire. L’usage d’offrir des jouets au lieu d’aliments ne se développe qu’au 19e siècle, avec l’essor de la bourgeoisie. Ce geste ancestral n’est pas sans rappeler, selon l’historienne Nadine Cretin, une forme du "gaspillage cérémoniel" lié à toute fête.

    LE SAPIN. Au 3e siècle, en Afrique romaine notamment, il était d’usage d’allumer des lampes et de disposer du laurier dans les maisons au moment du solstice. La coutume, considérée comme issue d’une tradition païenne liée au culte des arbres et à la conjuration de l’hiver, fut condamnée par les Pères de l’Église. Toutefois, des couronnes de verdure continuèrent à décorer certaines demeures jusqu’au Moyen Age. À cette époque, le conifère décoré de pommes rouges figure l’arbre du paradis.

    La tradition du sapin, semble, quant à elle, originaire d’Allemagne : "En 1419, la confrérie des garçons boulangers de la ville de Fribourg avait dressé dans la salle de réunion de l’hôpital du Saint-Esprit un grand arbre de Noël, écrit Martyne Perrot. On avait le droit de secouer cet arbre garni de sucreries, et les pauvres pouvaient ramasser fruits et friandises." En France, c’est d’abord en Alsace que le sapin apparaît. "En 1521, à Sélestat, un édit municipal autorise les gardes forestiers à laisser les habitants couper de petits sapins pour les fêtes de Noël. Strasbourg bénéficie d’une décision identique en 1539."

    Longtemps, le clergé français – qui ne jure que par la crèche – regarde d’un mauvais œil ce sapin venu des terres protestantes. Sapin qui finit tout de même par s’inviter à la cour du roi Louis-Philippe en 1837. "Mais il faudra attendre encore quelques décennies pour que la coutume se popularise à l’ouest des Vosges !"

    HScroyancesLIRE. Cet article est extrait du hors-série Sciences et Avenir, "les origines de nos croyances, fêtes et superstitions", publié en décembre 2012.

    LA BÛCHE. Jusqu’au siècle dernier, à la veille de Noël, une bûche était placée dans l’âtre. Pièce de chêne ou d’arbre fruitier – selon qu’il s’agissait de s’attirer robustesse ou fertilité –, elle devait se consumer lentement. Ce feu domestique du solstice d’hiver rappelle celui de la Saint-Jean, six mois plus tôt. On retrouve également cette union du feu et du bois dans les Saturnales romaines et le "feu nouveau" des Celtes. Tous ces rituels ont une vocation propitiatoire ou divinatoire. En outre, le feu de l’âtre permettait de condamner l’unique lien vers l’extérieur d’une demeure aux portes et fenêtres closes. Passage par lequel les mauvais esprits pouvaient s’infiltrer.

    Cet usage de la bûche a inspiré un dessert à l’origine controversée. On la dit inventée à Paris en 1879, mais on lui prête aussi des origines lyonnaises. Elle parvient à s’imposer en quelques décennies dans tout l’Hexagone, aux dépens de spécialités régionales.

     



    partage et amitieCommentaire de laloracorse2 (19/12/2016 14:44) :

    8b4182bb606528a05687f090c4dd4565gros gros bisous

    http://laloracorse2.vip-blog.com/




    * Noël est-il l'anniversaire de Jésus ? -- Aux origines de Noël & Doc. ; et, Vidéo. *

    19/12/2016 13:34

    * Noël est-il l'anniversaire de Jésus ? -- Aux origines de Noël & Doc. ; et, Vidéo. *






    Noël est-il l'anniversaire de Jésus ?


    La réponse de Roselyne Dupont-Roc


    Si nous utilisons habituellement le terme d’anniversaire pour rappeler les dates importantes de notre vie, alors nous pouvons aussi l’appliquer à la venue au monde de Jésus, en sachant toutefois que cet événement, unique et décisif pour la foi des chrétiens, prend une dimension beaucoup plus large que le seul rappel de la naissance de l’enfant Jésus.

    Aux origines de Noël Les chrétiens n’ont fêté la naissance de Jésus à Noël qu’à partir du 4eme siècle. Le premier témoignage officiel, qui remonte à 354, suppose que la nuit du 24 au 25 décembre est fêtée comme anniversaire de la naissance du Christ depuis une vingtaine d’années à peine. Au siècle suivant, l’empereur Théodose II l’officialisera. Il s’agissait de remplacer les fêtes païennes du solstice d’hiver.

    Car, c’est à ce moment de l’année que l’on célébrait depuis longtemps dans l’empire romain la renaissance du soleil, « sol invictus », avec les jours qui recommencent à grandir. Noël affirmait que, pour les chrétiens, Jésus était le seul soleil levant, l’astre qui illuminait la nuit. La question de la date

    Quelques observations sur la date s’imposent : nous n’avons en effet aucun moyen de dater exactement la naissance de Jésus. L’année même de cette naissance est discutée. Jésus est né sous le règne d’Hérode le Grand, qui, paradoxalement, est mort en 4 avant J.-C. Il n’y a là aucun mystère ! Simplement le fait que lorsque le calendrier chrétien a été établi à partir de la naissance de Jésus, on situait cette naissance par rapport à la fondation de Rome. Le moine qui travailla sur ce calendrier, Denys le Petit (5eme siècle), s’est trompé de cinq ou six ans pour fixer l’an 1.

    Les chrétiens ne s’inquiètent pas de cette ignorance ; leur foi ne consiste pas seulement à faire mémoire d’un passé révolu, mais à affirmer aussi la présence du Seigneur vivant aujourd’hui, aux côtés des siens et de tous les hommes de bonne volonté. Raconter sa vie et son histoire, c’est montrer que celui qui naquit sous Hérode le Grand et mourut sous Ponce Pilate est bien le Seigneur ressuscité qui vient à notre rencontre et transforme nos vies.

    Noël, jonction inouïe du divin et de l’humain Noël fut d’abord fêté en lien avec l’Épiphanie.

     Depuis la fin du 2ème siècle, quelques groupes chrétiens célébraient l’Épiphanie comme « manifestation du Seigneur », en lien avec le baptême de Jésus. Lors de ce baptême la voix divine le révéla comme Fils de Dieu, habité par son Esprit. La fête se situait dans la première semaine de janvier. Aujourd’hui, les orthodoxes et les catholiques de rite byzantin, célèbrent en même temps, le 6 janvier, Noël et l’Épiphanie.

     Ils ont en effet conservé le calendrier « julien » (introduit par Jules César), comportant treize jours d’écart par rapport au calendrier occidental « grégorien » (institué par le pape Grégoire XIII au XVIe siècle), et qui est devenu le calendrier civil. Si, en Occident, Noël et l’Épiphanie sont restées des fêtes distinctes, le lien entre les deux grandes célébrations reste évident.

     Il s’agit bien, en s’appuyant entre autres sur le récit de la visite des mages dans l’évangile de Matthieu, de célébrer la manifestation, à tous les peuples de la terre, de Dieu, venu dans notre chair. « Et le Verbe s’est fait chair », affirme le prologue de l’évangile de Jean (Jean 1,14). Noël met en lumière l’action la plus inattendue de notre Dieu : il vient, en Jésus, partager notre humanité. Là s’opère la jonction inouïe du divin et de l’humain, de l’éternité et du temps. Noël, on l’oublie trop, est la fête du mystère de l’incarnation. Roselyne Dupont-Roc, bibliste, Cetad, enseignante à l’Institut Catholique de Paris (1985-2011), Centre Intelligence de la Foi (CIF)

    Contactez l’auteur.

    Pour en savoir plus : Le site Fêter Noël







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