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VIP-Blog de marie-andree
  • 511 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 01/02/2008 17:52
    Modifié : 25/04/2020 21:27

    Fille (60 ans)
    Origine : marie-andree
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    **Bonsoir, une chanson , souvenir "Le livre du temps" - Michel Sardou & Image trouvée sur le net - Chansons --- Bonne soirée & biz **

    20/08/2013 19:47

    **Bonsoir, une chanson , souvenir "Le livre du temps" - Michel Sardou & Image trouvée sur le net - Chansons --- Bonne soirée & biz **


     le livre du temps 

     M. S. 

     

     

     

    Michel Sardou - Live 2011 - La dernière danse 






    **Les Amérindiens, histoire , partir à travers leurs coutumes, nature, modes de vie & Vidéos,quelques images -- Bon mardi . Biz **

    20/08/2013 15:50

    **Les Amérindiens, histoire , partir à travers leurs coutumes, nature, modes de vie & Vidéos,quelques images -- Bon mardi . Biz **














     



     

    Les Amerindiens (tableaux d'artistes)


     

    Edward Sheriff Curtis est un photographe ethnologue américain. Il a été un des plus grands anthropologue social des Amérindiens d'Amérique du Nord et de l'Ouest américain. Laissant trace d'écrits et de nombreuses photos sur verre. Ainsi, de manière non exhaustive, il a entrepris l'inventaire photographique d'amérindiens des 80 tribus existantes. Cette population indienne qui était estimée à plus d'un million d'individus au XVIIIe siècle, avait chuté aux alentours de 40 000 lorsqu'il débuta son projet.

    Les Amérindiens, peuple nomade au gré des saisons 

     

    TENDRESSE ET AMOUR AMERINDIEN.wmv

     






    *Bonjour, à tous et toutes, Bon lundi, nouvelle semaine - Les retours de vacances ; et peut-être départs,pour certains!; La nature ; Le Pont du Gard/Doc et Photos & Agréable semaine - biz **

    19/08/2013 07:30

    *Bonjour, à tous et toutes, Bon lundi, nouvelle semaine - Les retours de vacances ; et peut-être départs,pour certains!;  La nature ; Le Pont du Gard/Doc et Photos & Agréable semaine - biz **


     


     

     

     Ils sont mi-mi ?!!  L'amitié - les animaux &

     


     

     Ci-dessous, photo - Le Pont du Gard / Gard - 30. 

     

    Vue depuis le Gardon.

    Pont du Gard

    Le Pont du Gard.

    Géographie

    Pays France

    Région

    Languedoc-Roussillon

    Localité

    Vers-Pont-du-Gard

    Coordonnées géographiques 43° 56′ 50″ N 4° 32′ 08″ E

    Fonction   Franchit Gardon 

    Fonction   Aqueduc 

    Caractéristiques techniques

    Type Pont à voûtes en plein cintre

    Longueur

    3e étage : 360 m

    2e étage : 275 m

    Hauteur 48 m

    Matériau(x)  

    Pierre, calcaire molassique, carrière de Vers-Pont-du-Gard

    Construction

    Construction Ier siècle, entre 40 et 50 après J.-C.

    Historique

    Protection Classé MH (1840)

    Patrimoine mondial (1985)

    Géolocalisation sur la carte : Languedoc-Roussillon   

     Parcours de l'aqueduc romain de Nîmes.

    Le bassin de distribution d’eau de Nîmes ou castellum divisorium.

    Courbure du pont.

    L'aqueduc, au sommet du pont.

     

    Le pont du Gard est un pont-aqueduc romain à trois niveaux, situé entre Uzès et Nîmes, dans le département du Gard (France). Il enjambe le Gardon, ou Gard. Probablement bâti dans la première moitié du Ier siècle, il assurait la continuité de l'aqueduc romain qui conduisait l’eau d’Uzès à Nîmes.

    Les dernières recherches montreraient que son fonctionnement cessa au début du VIe siècle. Au Moyen Âge, les piles du second étage furent échancrées et l'ouvrage fut utilisé comme pont routier. L'architecture exceptionnelle du pont du Gard attira l'attention dès le XVIe siècle, qui dès lors bénéficia de restaurations régulières destinées à préserver son intégrité. Un pont routier lui fut accolé en 1743-1747.

    Plus haut pont-aqueduc connu du monde romain, il a été classé monument historique en 18401 et inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en décembre 1985

    Le site a fait l'objet d'importants aménagements en 2000.

    L'aqueduc romain de Nîmes

    Le pont du Gard est la partie monumentale d'un aqueduc de plus de 50 km de longueur (52 702 m), qui apportait l'eau de la Fontaine d'Eure, située au pied d'Uzès, jusqu'à la ville romaine de Nemausus, aujourd'hui Nîmes

    Les eaux de la source proviennent en partie de la rivière d'Alzon, qui passe par les environs d'Uzès, et des eaux récoltées du mont Bouquet, situé plus près d'Alès. 

    L'aqueduc proprement dit est un chef-d'œuvre d'ingénierie, témoignage de l'extraordinaire maîtrise des constructeurs anciens : le dénivelé entre les points de départ et d'arrivée n'est que de 12,6 m, la pente moyenne générale étant de 24,8 cm par km.

    À cause du relief, l'aqueduc serpente à travers les petites montagnes et vallées des garrigues d'Uzès et de Nîmes4. L'aqueduc de Nîmes a sans doute été construit au Ier siècle de notre ère, comme en atteste la céramique.

    Des tunnels datant de l'époque d'Auguste ont dû être contournés, ce qui montre que la construction de l'aqueduc est postérieure, et les monnaies retrouvées dans les réservoirs de la ville de Nîmes, où étaient recueillies les eaux de l'aqueduc, ne sont pas antérieures au règne de l'empereur Claude (41-54).

    On pense donc que la construction de l'aqueduc dont fait partie le pont du Gard doit se situer entre les années 40 et 505. Son débit moyen a été estimé à 40 000 mètres cubes d'eau par jour

    L'eau courante mettait une journée entière pour parvenir par gravité de son point de captage jusqu'à l'ouvrage de répartition, sorte de château d'eau appelé castellum divisorium, encore visible rue de la Lampèze à Nîmes. Nemausus possédait un certain nombre de puits, ainsi qu'une source proche : la construction de l'aqueduc ne relevait donc pas d'une nécessité vitale, mais plutôt d'un ouvrage de prestige, destiné à l'alimentation des thermes, bains et autres fontaines de la ville. 

    Dès le IVe siècle cependant, l'entretien commença à faire défaut, tandis que des dépôts calcaires occupaient les deux tiers, parfois les trois quarts, de la conduite. On estime à présent qu'il avait cessé de fonctionner au commencement du VIe siècle, à l'époque où, suite à la bataille de Vouillé, les Francs prirent le contrôle de la région d'Uzès, tandis que les Wisigoths se maintenaient à Nîmes : on a retrouvé des céramiques contemporaines dans les couches d'abandon, et l'aqueduc servit alors de carrière de pierre (des concrétions détachées des parois du canal ont été utilisées par les riverains pour leurs propres constructions et pour couvrir des sarcophages du cimetière de Saint-Baudile à Nîmes)

    Architecture du pont du Gard

     Construit sur trois étages avec des pierres extraites sur les lieux mêmes dans les carrières romaines environnantes, le sommet du pont domine le Gard, en basses eaux, à 48,77 m de hauteur, et, sur sa plus grande longueur, l'ouvrage mesure actuellement 275 m.

    Étage inférieur : 6 arches, 142,35 m de longueur, 6,36 m de largeur, 21,87 m de hauteur.

    Étage moyen : 11 arches, 242,55 m de longueur, 4,56 m de largeur, 19,50 m de hauteur.

    Étage supérieur : 35 arches, 275 m de long, 3,06 m de largeur, 7,40 m de hauteur. 

    Cet étage a perdu 12 arches, et mesurait initialement 360 m ; il était précédé d'une culée de 130 m de long ; à l'origine de cette culée a été découvert en 1988 un ouvrage de régulation

     Les arches avaient 16 pieds romains d'ouverture (4,75 m), tandis que les piles avaient environ 10 pieds sur 10 (3 m). Conduite : 1,80 m de hauteur, 1,20 m de largeur, pente de 0,4 %.

    L'observation de la face interne des piliers en grand appareil du deuxième étage du pont révèle le travail des bâtisseurs romains : techniques de taille des blocs (traces de coup d'escoude) et techniques de construction (blocs posés en carreau et boutisse et blocs saillants pour la mise en place des échafaudages).

    En s'approchant, on constate la précision des assemblages : chaque bloc était lié aux autres par ciselage des joints sur place. De nombreuses traces et gravures parsèment la surface du pont. Ce sont des marques d'assemblage indiquant la place des claveaux de voûtes, par exemple, « FRS II » (frons sinistra II, c'est-à-dire « face gauche 2 ») ou des symboles comme le « phallus », symbole apotropaïque (c'est-à-dire « servant à détourner des influences maléfiques »), ou bien encore des marques diverses laissées par les bâtisseurs de toutes époques pour qui le pont du Gard était l'étape obligée.

    Le pont présente une courbure convexe de ses étages supérieurs du côté amont. Cette déformation a longtemps été attribuée à la volonté des constructeurs d'assurer la résistance de l'ouvrage, comme on le ferait pour un barrage-voûte.

    Suite à des mesures de micro-topographie exécutées en 1989, on l'interprète à présent comme le résultat d'une dilatation diurne sous l'effet de l'ensoleillement, qui provoque un déplacement d'environ 5 mm ; les pierres retrouvent leur place au cours de la nuit. La répétition de ce phénomène au cours des siècles aurait conduit à la forme actuelle du pont8.

    Construction

    Le pont a été entièrement construit à sec, c'est-à-dire sans l'aide de mortier, les pierres — dont certaines pèsent six tonnes — étant maintenues par des tenons de chêne. Seule la partie la plus élevée, à la hauteur du canal, est faite de moellons liés au mortier9. Le calcaire coquillier est issu de la carrière de l'Estel située à environ 700 m en aval du monument, au bord du Gardon

    Ce matériau, connu localement comme « pierre de Vers », présente une texture assez grossière, se prêtant très bien à la taille. Sur place, les blocs étaient montés grâce à une cage à écureuil dans laquelle les ouvriers prenaient place, apportant la puissance nécessaire au treuil.

    Un échafaudage complexe fut érigé pour soutenir le pont pendant la construction, dont les faces portent toujours les marques : on distingue un peu partout les appuis d'échafaudages et, sur les piles, les arêtes saillantes qui soutenaient les assemblages de bois semi-circulaires destinés au maintien des voûtes. On suppose que la construction a duré de trois à cinq ans (une quinzaine d'années pour l'ensemble de l'aqueduc de Nîmes), avec 800 à 1 000 ouvriers sur le chantier.

    On a évalué à 11 000 000 le nombre de blocs de pierre utilisés et à 50 400 tonnes le poids de l'ensemble. Chacune des grandes voûtes est constituée de voûtes indépendantes accolées (quatre à l'étage inférieur, trois au second étage), ce qui donne à l'ensemble la capacité de résister aux légers mouvements et tassements inévitables avec le temps. Cette partition de la voûte en anneaux indépendants ne se rencontre qu'en Narbonnaise, par exemple aux ponts romains de Sommières, Boisseron, Ambrussum, Nages-et-Solorgues. Partie de la paroi où on peut voir les pierres saillantes servant de points d'appui aux échafaudages

    L'aqueduc situé au troisième niveau a un plancher constitué de mortier et de cailloux et des parois en moellons. Sa taille permettait à un homme d'en assurer aisément l'entretien. L'étanchéité est assurée par un mortier de tuileau, de couleur rougeâtre.

    Le pont après l'abandon de l'aqueduc

    Dégradation

    Du Moyen Âge au XVIIIe siècle, le pont a subi des dégradations notables. À une époque inconnue, mais vraisemblablement aux alentours du XIIe siècle, douze arches du troisième étage furent détruites et les pierres récupérées comme matériau de construction

    Par la suite, il fut utilisé comme passage pour traverser la rivière : les piles du second niveau furent échancrées afin de laisser plus de place au trafic croissant, mais cela déstabilisa dangereusement l'ensemble de la structure.

    Redécouverte et restaurations

    Le pont routier accolé au XVIIIe siècle

    La Renaissance, qui haussa l'Antiquité au rang de modèle absolu, ne manqua pas de s'intéresser au pont du Gard, l'un des plus spectaculaires monuments romains subsistant en France. Charles IX passa devant le pont en décembre 1564 lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné par la Cour et par ceux qui étaient les Grands du royaume, son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine12. Dès 1647, l'évêque de Nîmes alerte les États de Languedoc sur le danger de ruine que présente le pont.

    Il précise, dans son adresse aux députés, qu'un fonds de 1 500 livres avait déjà été constitué pour les réparations à faire, mais qu'il était bloqué « entre les mains […] de bourgeois de la ville du Saint-Esprit »

    Le 10 janvier 1660, Louis XIV et la Cour, alors dans le Midi de la France à l'occasion de la négociation de la paix des Pyrénées, allèrent voir le pont du Gard14. En 1696, Nicolas de Lamoignon de Basville, intendant de Languedoc, inquiet pour la stabilité de l'édifice, fit faire un devis pour la réparation par l'abbé Henri de Laurens et Augustin-Charles d'Aviler, architecte de la Province. 

    Les travaux, pris en charge par les États de Languedoc, durèrent jusqu'en 1704 : les échancrures dans les piles furent en partie colmatées et, contournant chaque pile, des passages en encorbellement furent aménagés pour élargir la voie15. En 1730, dans le premier tome de l'Histoire générale de Languedoc, dom Claude Devic et dom Joseph Vaissète firent le point des connaissances du moment sur le pont du Gard.

    En l'absence de textes antiques et à une époque où l'archéologie n'en était qu'à ses premiers balbutiements, la datation était très incertaine : ils rappelaient que Nicolas Bergier dans son Histoire des grands chemins de l'Empire romain (1622)16 attribuait la construction de l'aqueduc à Agrippa (vers -63 - vers -12) ; ils étaient plutôt d'avis que c'était Hadrien (76-138) qui l'avait fait bâtir.

    Mais le parcours du canal était connu, et ils relevaient à propos qu'il était destiné à amener l'eau de la Fontaine d'Eure jusqu'à Nîmes près de « la Tour Magne, où étoit le regorgement des eaux & le grand réservoir qui les fournissoit à la ville », à quoi ils ajoutaient avec moins de discernement « & à l'amphithéâtre pour la représentation des naumachies »

    En 1743-1747, l'ingénieur Henri Pitot accola aux arches de l'étage inférieur un solide pont routier. Les échancrures furent alors définitivement colmatées. Les États de Languedoc firent poser à cette occasion une plaque de marbre sur une pile du deuxième étage du pont avec l'inscription suivante : « Aquæductum struxerant Romani pontem addidit Occitania anno MDCCXLV. Cura d. Henr. Pitot e. regia scientiarum academia.

    Elle fut détruite en 1793 par les révolutionnaires

    Au XIXe siècle, le monument fut à nouveau l'objet de grosses restaurations, d'abord en 1842-1846 par Charles-Auguste Questel où, entre autres, un escalier est créé à l'intérieur de la dernière pile du dernier étage pour accéder au canal, puis de 1855 à 1859, les plus importantes de l'histoire du pont, sous la direction de Jean-Charles Laisné

    En 1988 et surtout 2002, le pont du Gard fut touché par de violentes inondations qui endommagèrent gravement les environs, mais ne causèrent aucun dommage à l'édifice. Pourtant lors de cette dernière crue, l'eau monta jusqu'aux trois quarts des arches du niveau inférieur, soit une hauteur inédite d'environ 20 mètres

    En 2000, l'État français finança, dans le cadre d'une opération Grand site national, avec l'aide de collectivités locales, de l'UNESCO et de l'Union européenne, un projet d'aménagement du site, confié à l'architecte Jean-Paul Viguier, afin d'assurer la préservation de ce monument exceptionnel, menacé par l'afflux des touristes.

    Il fut décidé de le rendre accessible uniquement aux piétons et d'améliorer les infrastructures destinées aux visiteurs avec, entre autres, un musée. Le projet a été critiqué pour son coût (32 millions d'euros) et pour l'« atteinte au paysage ». Pourtant, les nouveaux bâtiments sont imbriqués dans la roche et sont invisibles depuis le monument, dont ils imitent la couleur. Une attention particulière a été portée au paysage qui, dégradé par le tourisme de masse, a été restauré et mis en valeur par un parcours20. Enfin, l'accès à la conduite au sommet de l'aqueduc a été limité à des visites guidées.

    De nouvelles fissures en 2003 furent comblées en injectant exceptionnellement

    de l'Araldite.

    Bien sûr le trafic routier a été bloqué pendant le temps de séchage. Beaucoup de randonneurs se sont plaints de mauvaises odeurs de cette fameuse colle Araldite ce qui a permis aux enquêteurs de réduire le taux d'époxy pendant l'injection[réf. nécessaire]. Il s'agit de l'un des monuments français les plus visités, avec 1 400 000 touristes en 2011

    La gestion du site est désormais assurée par un EPCC (Établissement de coopération culturelle).

    Philatélie

    En 1930, la Poste française émet un timbre de 20 f chaudron qui est recherché du fait de ses nombreuses variétés22. En 2003, la Poste française édite un feuillet de 10 timbres dont un timbre à 0,50 euro représente le pont du Gard dans la série

    Portraits de régions.

    La France à voir


    Maquette du pont du Gard à France - Miniature

    Une aquarelle - Pont du Gard.

    L'architecture ,  en général.

    BONNE JOURNEE && AGREABLE SEMAINE --- AMITIES.

    Commentaire de Mousse (20/08/2013 12:42) :

    Bonjour ma doucette, Quel magnifique billet ! Je suis passée par là, je ne m'y suis pas arrêtée, dommage, c'est très joli. Ta santé n'est pas encore au beau fixe, tu n'as pas de chance, mais ne te laisse pas abattre ma belle, ça va aller. Il faut remonter la pente doucement. En tout cas, moi je suis contente, le temps a fait pour moi un cadeau un bonheur celui de t'avoir un jour rencontré sur mon blog le temps a fait naitre une belle amitié le temps fait de belles choses comme ce que je fais juste en ce moment te souhaiter une bonne journée Bisous ma douce et on reste zen !





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