| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://marie-andree.vip-blog.com


** Nouveau blog - Et, bienvenue **
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

** Nouveau blog - Et, bienvenue **

VIP-Blog de marie-andree
  • 564 articles publiés dans cette catégorie
  • 2926 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 01/02/2008 17:52
    Modifié : 25/04/2020 21:27

    Fille (60 ans)
    Origine : marie-andree
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ *** -Méli - Mélo du Jour & Humour ***- ] [ -***PageAccueil Bienvenue & Welcome & Bienvenido - Bienvenue -- Tous Pays & Tous sujets divers ***- ] [ -*** Spiritualité - Religions et Divers avis ***- ] [ -*** Belles images ***- ] [ -*** Infos. -- Docs Vidéos ***- ] [ -***Photos - Découverte de divers lieux ***- ] [ ***- Musique - Chansons & Cinéma *** ] [ -***Origines et Coutumes : Toutes fêtes Religieuses ou non ***- ] [ -***Mes passions - Créas, Peinture/Dessin & Diapos ***- ] [ -***& Citations Poésies Beaux Textes & Musique ***- ] [ -***Zen - Modes de vie et divers conseils ***- ] [ -*** Animaux & Flore - Environnement Défense Animaux - Faune ***- ]

    * La Pensée de ce Vendredi 24 Mars "La Gloire du Christ à laquelle nous pouvons nous associer". & Bon vendredi . *

    25/03/2016 08:33

    * La Pensée de ce Vendredi 24 Mars  "La Gloire du Christ à laquelle nous pouvons nous associer". & Bon vendredi . *


     

      Pensée du vendredi 25 mars 2016   

    la Gloire du Christ à laquelle nous pouvons nous associer - En acceptant de mourir sur la croix

     

    En acceptant de mourir sur la croix, Jésus a fait un sacrifice que nous devons méditer afin d’en mesurer toute la grandeur et de nous y associer par la pensée. Mais dans la nouvelle vie que le Christ maintenant nous propose, il n’est pas préconisé de s’attarder sur le supplice de la croix, car le Christ se manifeste aussi par la lumière, la beauté, la joie. Dans la nouvelle culture, c’est la pensée de la gloire du Christ qui doit nourrir notre vie intérieure. Le Ciel se réjouira en voyant que nous cessons d’embrasser la poussière et de nous agenouiller devant des tombeaux, car Il nous destine au plus grandiose avenir. S’il existe des morts dont il faut s’occuper, ce ne sont pas ceux des cimetières, mais ceux qui sont enfouis dans notre for intérieur : nos vieilles habitudes, nos vieilles conceptions erronées. Ce sont ces morts-là que nous devons chercher pour en finir avec eux. Lorsque nous y parviendrons, nous entrerons nous aussi dans la gloire du Christ.

     

    Omraam Mikhaël Aïvanhov






    * Semaine sainte / Vendredi saint,ce jour Office -- prières &

    25/03/2016 06:44

    * Semaine sainte / Vendredi saint,ce jour  Office -- prières &



     
     

    Le vendredi saint : Célébration de la Passion du Seigneur

    Livre d'Isaïe 52,13-15.53,1-12. 
    Mon serviteur réussira, dit le Seigneur ; il montera, il s’élèvera, il sera exalté ! 
    La multitude avait été consternée en le voyant, car il était si défiguré qu’il ne ressemblait plus à un homme ; il n’avait plus l’apparence d’un fils d’homme. 
    Il étonnera de même une multitude de nations ; devant lui les rois resteront bouche bée, car ils verront ce que, jamais, on ne leur avait dit, ils découvriront ce dont ils n’avaient jamais entendu parler. 
    Qui aurait cru ce que nous avons entendu ? Le bras puissant du Seigneur, à qui s’est-il révélé ? 
    Devant lui, le serviteur a poussé comme une plante chétive, une racine dans une terre aride ; il était sans apparence ni beauté qui attire nos regards, son aspect n’avait rien pour nous plaire. 
    Méprisé, abandonné des hommes, homme de douleurs, familier de la souffrance, il était pareil à celui devant qui on se voile la face ; et nous l’avons méprisé, compté pour rien. 
    En fait, c’étaient nos souffrances qu’il portait, nos douleurs dont il était chargé. Et nous, nous pensions qu’il était frappé, meurtri par Dieu, humilié. 
    Or, c’est à cause de nos révoltes qu’il a été transpercé, à cause de nos fautes qu’il a été broyé. Le châtiment qui nous donne la paix a pesé sur lui : par ses blessures, nous sommes guéris. 
    Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait son propre chemin. Mais le Seigneur a fait retomber sur lui nos fautes à nous tous. 
    Maltraité, il s’humilie, il n’ouvre pas la bouche : comme un agneau conduit à l’abattoir, comme une brebis muette devant les tondeurs, il n’ouvre pas la bouche. 
    Arrêté, puis jugé, il a été supprimé. Qui donc s’est inquiété de son sort ? Il a été retranché de la terre des vivants, frappé à mort pour les révoltes de son peuple. 
    On a placé sa tombe avec les méchants, son tombeau avec les riches ; et pourtant il n’avait pas commis de violence, on ne trouvait pas de tromperie dans sa bouche. 
    Broyé par la souffrance, il a plu au Seigneur. S’il remet sa vie en sacrifice de réparation, il verra une descendance, il prolongera ses jours : par lui, ce qui plaît au Seigneur réussira. 
    Par suite de ses tourments, il verra la lumière, la connaissance le comblera. Le juste, mon serviteur, justifiera les multitudes, il se chargera de leurs fautes. 
    C’est pourquoi, parmi les grands, je lui donnerai sa part, avec les puissants il partagera le butin, car il s’est dépouillé lui-même jusqu’à la mort, et il a été compté avec les pécheurs, alors qu’il portait le péché des multitudes et qu’il intercédait pour les pécheurs. 



    Psaume 31(30),2ab.6.12.13-14ad.15-16.17.25. 
    En toi, Seigneur, j'ai mon refuge ; 
    garde-moi d'être humilié pour toujours.
    En tes mains je remets mon esprit ; 
    tu me rachètes, Seigneur, Dieu de vérité. 

    Je suis la risée de mes adversaires 
    et même de mes voisins, 
    je fais peur à mes amis 
    s'ils me voient dans la rue, ils me fuient. 

    On m'ignore comme un mort oublié, 
    comme une chose qu'on jette. 
    J'entends les calomnies de la foule : 
    ils s'accordent pour m'ôter la vie. 

    Moi, je suis sûr de toi, Seigneur, 
    je dis : « Tu es mon Dieu ! » 
    Mes jours sont dans ta main : délivre-moi 
    des mains hostiles qui s'acharnent. 

    Sur ton serviteur, que s'illumine ta face ; 
    sauve-moi par ton amour. 
    Soyez forts, prenez courage, 
    vous tous qui espérez le Seigneur ! 



    Lettre aux Hébreux 4,14-16.5,7-9. 
    Frères, en Jésus, le Fils de Dieu, nous avons le grand prêtre par excellence, celui qui a traversé les cieux ; tenons donc ferme l’affirmation de notre foi. 
    En effet, nous n’avons pas un grand prêtre incapable de compatir à nos faiblesses, mais un grand prêtre éprouvé en toutes choses, à notre ressemblance, excepté le péché. 
    Avançons-nous donc avec assurance vers le Trône de la grâce, pour obtenir miséricorde et recevoir, en temps voulu, la grâce de son secours. 
    Le Christ, pendant les jours de sa vie dans la chair, offrit, avec un grand cri et dans les larmes, des prières et des supplications à Dieu qui pouvait le sauver de la mort, et il fut exaucé en raison de son grand respect. 
    Bien qu’il soit le Fils, il apprit par ses souffrances l’obéissance 
    et, conduit à sa perfection, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent la cause du salut éternel, 



    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 18,1-40.19,1-42. 
    En ce temps-là, après le repas, Jésus sortit avec ses disciples et traversa le torrent du Cédron ; il y avait là un jardin, dans lequel il entra avec ses disciples. 
    Judas, qui le livrait, connaissait l’endroit, lui aussi, car Jésus et ses disciples s’y étaient souvent réunis. 
    Judas, avec un détachement de soldats ainsi que des gardes envoyés par les grands prêtres et les pharisiens, arrive à cet endroit. Ils avaient des lanternes, des torches et des armes. 
    Alors Jésus, sachant tout ce qui allait lui arriver, s’avança et leur dit : « Qui cherchez-vous ? » 
    Ils lui répondirent : « Jésus le Nazaréen. » Il leur dit : « C’est moi, je le suis. » Judas, qui le livrait, se tenait avec eux. 
    Quand Jésus leur répondit : « C’est moi, je le suis », ils reculèrent, et ils tombèrent à terre. 
    Il leur demanda de nouveau : « Qui cherchez-vous ? » Ils dirent : « Jésus le Nazaréen. » 
    Jésus répondit : « Je vous l’ai dit : c’est moi, je le suis. Si c’est bien moi que vous cherchez, ceux-là, laissez-les partir. » 
    Ainsi s’accomplissait la parole qu’il avait dite : « Je n’ai perdu aucun de ceux que tu m’as donnés ». 
    Or Simon-Pierre avait une épée ; il la tira, frappa le serviteur du grand prêtre et lui coupa l’oreille droite. Le nom de ce serviteur était Malcus. 
    Jésus dit à Pierre : « Remets ton épée au fourreau. La coupe que m’a donnée le Père, vais-je refuser de la boire ? » 
    Alors la troupe, le commandant et les gardes juifs se saisirent de Jésus et le ligotèrent. 
    Ils l’emmenèrent d’abord chez Hanne, beau-père de Caïphe qui était grand prêtre cette année-là. 
    Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil : « Il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple. » 
    Or Simon-Pierre, ainsi qu’un autre disciple, suivait Jésus. Comme ce disciple était connu du grand prêtre, il entra avec Jésus dans le palais du grand prêtre. 
    Pierre se tenait près de la porte, dehors. Alors l’autre disciple – celui qui était connu du grand prêtre – sortit, dit un mot à la servante qui gardait la porte, et fit entrer Pierre. 
    Cette jeune servante dit alors à Pierre : « N’es-tu pas, toi aussi, l’un des disciples de cet homme ? » Il répondit : « Non, je ne le suis pas ! » 
    Les serviteurs et les gardes se tenaient là ; comme il faisait froid, ils avaient fait un feu de braise pour se réchauffer. Pierre était avec eux, en train de se chauffer. 
    Le grand prêtre interrogea Jésus sur ses disciples et sur son enseignement. 
    Jésus lui répondit : « Moi, j’ai parlé au monde ouvertement. J’ai toujours enseigné à la synagogue et dans le Temple, là où tous les Juifs se réunissent, et je n’ai jamais parlé en cachette. 
    Pourquoi m’interroges-tu ? Ce que je leur ai dit, demande-le à ceux qui m’ont entendu. Eux savent ce que j’ai dit. » 
    À ces mots, un des gardes, qui était à côté de Jésus, lui donna une gifle en disant : « C’est ainsi que tu réponds au grand prêtre ! » 
    Jésus lui répliqua : « Si j’ai mal parlé, montre ce que j’ai dit de mal ? Mais si j’ai bien parlé, pourquoi me frappes-tu ? » 
    Hanne l’envoya, toujours ligoté, au grand prêtre Caïphe. 
    Simon-Pierre était donc en train de se chauffer. On lui dit : « N’es-tu pas, toi aussi, l’un de ses disciples ? » Pierre le nia et dit : « Non, je ne le suis pas ! » 
    Un des serviteurs du grand prêtre, parent de celui à qui Pierre avait coupé l’oreille, insista : « Est-ce que moi, je ne t’ai pas vu dans le jardin avec lui ? » 
    Encore une fois, Pierre le nia. Et aussitôt un coq chanta. 
    Alors on emmène Jésus de chez Caïphe au Prétoire. C’était le matin. Ceux qui l’avaient amené n’entrèrent pas dans le Prétoire, pour éviter une souillure et pouvoir manger l’agneau pascal. 
    Pilate sortit donc à leur rencontre et demanda : « Quelle accusation portez-vous contre cet homme ? » 
    Ils lui répondirent : « S’il n’était pas un malfaiteur, nous ne t’aurions pas livré cet homme. » 
    Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes et jugez-le suivant votre loi. » Les Juifs lui dirent : « Nous n’avons pas le droit de mettre quelqu’un à mort. » 
    Ainsi s’accomplissait la parole que Jésus avait dite pour signifier de quel genre de mort il allait mourir. 
    Alors Pilate rentra dans le Prétoire ; il appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? » 
    Jésus lui demanda : « Dis-tu cela de toi-même, ou bien d’autres te l’ont dit à mon sujet ? » 
    Pilate répondit : « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t’ont livré à moi : qu’as-tu donc fait ? » 
    Jésus déclara : « Ma royauté n’est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n’est pas d’ici. » 
    Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit : « C’est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix. » 
    Pilate lui dit : « Qu’est-ce que la vérité ? » Ayant dit cela, il sortit de nouveau à la rencontre des Juifs, et il leur déclara : « Moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. 
    Mais, chez vous, c’est la coutume que je vous relâche quelqu’un pour la Pâque : voulez-vous donc que je vous relâche le roi des Juifs ? » 
    Alors ils répliquèrent en criant : « Pas lui ! Mais Barabbas ! » Or ce Barabbas était un bandit. 
    Alors Pilate fit saisir Jésus pour qu’il soit flagellé. 
    Les soldats tressèrent avec des épines une couronne qu’ils lui posèrent sur la tête ; puis ils le revêtirent d’un manteau pourpre. 
    Ils s’avançaient vers lui et ils disaient : « Salut à toi, roi des Juifs ! » Et ils le giflaient. 
    Pilate, de nouveau, sortit dehors et leur dit : « Voyez, je vous l’amène dehors pour que vous sachiez que je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » 
    Jésus donc sortit dehors, portant la couronne d’épines et le manteau pourpre. Et Pilate leur déclara : « Voici l’homme. » 
    Quand ils le virent, les grands prêtres et les gardes se mirent à crier : « Crucifie-le ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Prenez-le vous-mêmes, et crucifiez-le ; moi, je ne trouve en lui aucun motif de condamnation. » 
    Ils lui répondirent : « Nous avons une Loi, et suivant la Loi il doit mourir, parce qu’il s’est fait Fils de Dieu. » 
    Quand Pilate entendit ces paroles, il redoubla de crainte. 
    Il rentra dans le Prétoire, et dit à Jésus : « D’où es-tu ? » Jésus ne lui fit aucune réponse. 
    Pilate lui dit alors : « Tu refuses de me parler, à moi ? Ne sais-tu pas que j’ai pouvoir de te relâcher, et pouvoir de te crucifier ? » 
    Jésus répondit : « Tu n’aurais aucun pouvoir sur moi si tu ne l’avais reçu d’en haut ; c’est pourquoi celui qui m’a livré à toi porte un péché plus grand. » 
    Dès lors, Pilate cherchait à le relâcher ; mais des Juifs se mirent à crier : « Si tu le relâches, tu n’es pas un ami de l’empereur. Quiconque se fait roi s’oppose à l’empereur. » 
    En entendant ces paroles, Pilate amena Jésus au-dehors ; il le fit asseoir sur une estrade au lieu dit le Dallage – en hébreu : Gabbatha. 
    C’était le jour de la Préparation de la Pâque, vers la sixième heure, environ midi. Pilate dit aux Juifs : « Voici votre roi. » 
    Alors ils crièrent : « À mort ! À mort ! Crucifie-le ! » Pilate leur dit : « Vais-je crucifier votre roi ? » Les grands prêtres répondirent : « Nous n’avons pas d’autre roi que l’empereur. » 
    Alors, il leur livra Jésus pour qu’il soit crucifié. Ils se saisirent de Jésus. 
    Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha. 
    C’est là qu’ils le crucifièrent, et deux autres avec lui, un de chaque côté, et Jésus au milieu. 
    Pilate avait rédigé un écriteau qu’il fit placer sur la croix ; il était écrit : « Jésus le Nazaréen, roi des Juifs. » 
    Beaucoup de Juifs lurent cet écriteau, parce que l’endroit où l’on avait crucifié Jésus était proche de la ville, et que c’était écrit en hébreu, en latin et en grec. 
    Alors les grands prêtres des Juifs dirent à Pilate : « N’écris pas : “Roi des Juifs” ; mais : “Cet homme a dit : Je suis le roi des Juifs”. » 
    Pilate répondit : « Ce que j’ai écrit, je l’ai écrit. » 
    Quand les soldats eurent crucifié Jésus, ils prirent ses habits ; ils en firent quatre parts, une pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique ; c’était une tunique sans couture, tissée tout d’une pièce de haut en bas. 
    Alors ils se dirent entre eux : « Ne la déchirons pas, désignons par le sort celui qui l’aura. » Ainsi s’accomplissait la parole de l’Écriture : Ils se sont partagé mes habits ; ils ont tiré au sort mon vêtement. C’est bien ce que firent les soldats. 
    Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. 
    Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » 
    Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. 
    Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout, Jésus dit : « J’ai soif. » 
    Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d’hysope, et on l’approcha de sa bouche. 
    Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis, inclinant la tête, il remit l’esprit. 
    Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. 
    Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus. 
    Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, 
    mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau. 
    Celui qui a vu rend témoignage, et son témoignage est véridique ; et celui-là sait qu’il dit vrai afin que vous aussi, vous croyiez. 
    Cela, en effet, arriva pour que s’accomplisse l’Écriture : Aucun de ses os ne sera brisé. 
    Un autre passage de l’Écriture dit encore : Ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé. 
    Après cela, Joseph d’Arimathie, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate de pouvoir enlever le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Joseph vint donc enlever le corps de Jésus. 
    Nicodème – celui qui, au début, était venu trouver Jésus pendant la nuit – vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès pesant environ cent livres. 
    Ils prirent donc le corps de Jésus, qu’ils lièrent de linges, en employant les aromates selon la coutume juive d’ensevelir les morts. 
    À l’endroit où Jésus avait été crucifié, il y avait un jardin et, dans ce jardin, un tombeau neuf dans lequel on n’avait encore déposé personne. 
    À cause de la Préparation de la Pâque juive, et comme ce tombeau était proche, c’est là qu’ils déposèrent Jésus.

    ******************************************************************* 

    Commentaire du jour : Sévérien de Gabala 

    La croix, arbre de vie






    * Semaine sainte -- Le Jeudi Saint Dernier repas du Christ avec ses disciples / La Cène . & "Le lavement des pieds"/évangile. *

    25/03/2016 07:34

    * Semaine sainte -- Le Jeudi Saint  Dernier repas du Christ avec ses disciples / La Cène . & "Le lavement des pieds"/évangile. *


     

    Que commémore-t-on le Jeudi saint?

     

    Le Jeudi saint, à la messe du soir à laquelle tous les chrétiens sont invités, on commémore le dernier repas, ou Cène, que Jésus a pris avec ses disciples au seuil de la nuit où il devait être livré. Publié le 22 février 2016.

    Jeudi saint en paroisse CIRIC

    "La nuit même où il était livré, le Seigneur prit du pain." 1 Corinthiens, 11-23

    Le Jeudi saint annonce la fin du Carême et l'entrée dans le mystère de Pâques. 
    La messe du soir, à laquelle tous les chrétiens sont invités, commémore le dernier repas, ou Cène, que Jésus a pris avec ses disciples au seuil de la nuit où il devait être livré. Jésus institue ce soir là l'eucharistie. Il annonce que sa Présence demeure vivante dans le sacrement de son Corps et de son Sang. 
    Ce soir là, au cours de ce même repas, Jésus lave les pieds de ses disciples. Il s'agenouille devant chacun des douze, leur témoignant ainsi la tendresse qu'il a pour eux. Ce geste du lavement des pieds est repris durant la messe du Jeudi saint. Il signifie que nous devons tous être serviteurs des autres.

    Jeudi saint

    C'est le début du triduum pascal, célébrant la Passion et la Résurrection de Jésus.

    Lors de la messe vespérale du Jeudi Saint, messe dite « In cœna Domini », a lieu une cérémonie particulière, le lavement des pieds ou Mandatum. Douze2 fidèles ont le pied droit lavé par le prêtre lors de la messe du soir (généralement, entre le sermon et l'offertoire).

     
     
    Jeudi saint
    La Cène, peinte par Jacopo Bassano en 1542.
    La Cène, peinte par Jacopo Bassano en 1542.

    Observé par les chrétiens
    Signification Commémoration du dernier repas du Christ
    Date Jeudi avant Pâques
    Date 2015 2 avril (Occident)
    9 avril (Orient)
    Date 2016 24 mars (Occident)
    28 avril (Orient)
    Lié à Pâques
     
    La Cène (Monastère de Valaam)

    Le Jeudi saint est le jeudi précédant Pâques. Il commémore pour les chrétiens l'institution par le Christ de la Cène, ou Eucharistie, lors du dernier repas pris avec ses disciples avant son arrestation. Dans les représentations artistiques de cette scène, Saint Jean s'appuie sur la poitrine du Christ, comme le décrit le récit évangélique1.

     


    Le jeudi saint (liturgie du soir)

    Livre de l'Exode 12,1-8.11-14. 
    En ces jours-là, dans le pays d’Égypte, le Seigneur dit à Moïse et à son frère Aaron : 
    « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois, il marquera pour vous le commencement de l’année. 
    Parlez ainsi à toute la communauté d’Israël : le dix de ce mois, que l’on prenne un agneau par famille, un agneau par maison. 
    Si la maisonnée est trop peu nombreuse pour un agneau, elle le prendra avec son voisin le plus proche, selon le nombre des personnes. Vous choisirez l’agneau d’après ce que chacun peut manger. 
    Ce sera une bête sans défaut, un mâle, de l’année. Vous prendrez un agneau ou un chevreau. 
    Vous le garderez jusqu’au quatorzième jour du mois. Dans toute l’assemblée de la communauté d’Israël, on l’immolera au coucher du soleil. 
    On prendra du sang, que l’on mettra sur les deux montants et sur le linteau des maisons où on le mangera. 
    On mangera sa chair cette nuit-là, on la mangera rôtie au feu, avec des pains sans levain et des herbes amères. 
    Vous mangerez ainsi : la ceinture aux reins, les sandales aux pieds, le bâton à la main. Vous mangerez en toute hâte : c’est la Pâque du Seigneur. 
    Je traverserai le pays d’Égypte, cette nuit-là ; je frapperai tout premier-né au pays d’Égypte, depuis les hommes jusqu’au bétail. Contre tous les dieux de l’Égypte j’exercerai mes jugements : Je suis le Seigneur. 
    Le sang sera pour vous un signe, sur les maisons où vous serez. Je verrai le sang, et je passerai : vous ne serez pas atteints par le fléau dont je frapperai le pays d’Égypte. 
    Ce jour-là sera pour vous un mémorial. Vous en ferez pour le Seigneur une fête de pèlerinage. C’est un décret perpétuel : d’âge en âge vous la fêterez. »


    En ces jours-là, dans le pays d’Égypte, le Seigneur dit à Moïse et à son frère Aaron : 
    « Ce mois-ci sera pour vous le premier des mois, il marquera pour vous le commencement de l’année. 
    Parlez ainsi à toute la communauté d’Israël : le dix de ce mois, que l’on prenne un agneau par famille, un agneau par maison. 
    Si la maisonnée est trop peu nombreuse pour un agneau, elle le prendra avec son voisin le plus proche, selon le nombre des personnes. Vous choisirez l’agneau d’après ce que chacun peut m


     



    Psaume 116(115),12-13.15-16ac.17-18. 
    Comment rendrai-je au Seigneur 
    tout le bien qu'il m'a fait ? 
    J'élèverai la coupe du salut, 
    j'invoquerai le nom du Seigneur. 

    Il en coûte au Seigneur 
    de voir mourir les siens ! 
    Ne suis-je pas, Seigneur, ton serviteur, 
    moi, dont tu brisas les chaînes ? 

    Je t'offrirai le sacrifice d'action de grâce, 
    j'invoquerai le nom du Seigneur. 
    Je tiendrai mes promesses au Seigneur, 
    oui, devant tout son peuple, 


    Première lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 11,23-26. 
    Frères, moi, Paul, j’ai moi-même reçu ce qui vient du Seigneur, et je vous l’ai transmis : la nuit où il était livré, le Seigneur Jésus prit du pain,
    puis, ayant rendu grâce, il le rompit, et dit : « Ceci est mon corps, qui est pour vous. Faites cela en mémoire de moi. » 
    Après le repas, il fit de même avec la coupe, en disant : « Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang. Chaque fois que vous en boirez, faites cela en mémoire de moi. » 
    Ainsi donc, chaque fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous proclamez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne. 


     



    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 13,1-15. 
    Avant la fête de la Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde à son Père, Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout. 
    Au cours du repas, alors que le diable a déjà mis dans le cœur de Judas, fils de Simon l’Iscariote, l’intention de le livrer, 
    Jésus, sachant que le Père a tout remis entre ses mains, qu’il est sorti de Dieu et qu’il s’en va vers Dieu, 
    se lève de table, dépose son vêtement, et prend un linge qu’il se noue à la ceinture ; 
    puis il verse de l’eau dans un bassin. Alors il se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge qu’il avait à la ceinture. 
    Il arrive donc à Simon-Pierre, qui lui dit : « C’est toi, Seigneur, qui me laves les pieds ? » 
    Jésus lui répondit : « Ce que je veux faire, tu ne le sais pas maintenant ; plus tard tu comprendras. » 
    Pierre lui dit : « Tu ne me laveras pas les pieds ; non, jamais ! » Jésus lui répondit : « Si je ne te lave pas, tu n’auras pas de part avec moi. » 
    Simon-Pierre lui dit : « Alors, Seigneur, pas seulement les pieds, mais aussi les mains et la tête ! » 
    Jésus lui dit : « Quand on vient de prendre un bain, on n’a pas besoin de se laver, sinon les pieds : on est pur tout entier. Vous-mêmes, vous êtes purs, mais non pas tous. » 
    Il savait bien qui allait le livrer ; et c’est pourquoi il disait : « Vous n’êtes pas tous purs. » 
    Quand il leur eut lavé les pieds, il reprit son vêtement, se remit à table et leur dit : « Comprenez-vous ce que je viens de faire pour vous ? 
    Vous m’appelez “Maître” et “Seigneur”, et vous avez raison, car vraiment je le suis. 
    Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi, vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. 
    C’est un exemple que je vous ai donné afin que vous fassiez, vous aussi, comme j’ai fait pour vous. 



     


    Commentaire du jour : Bienheureux Guerric d'Igny 
    « Ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, il les aima jusqu'au bout »





     

     
     

     






    Début | Page précédente | 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact marie-andree ]

    © VIP Blog - Signaler un abus