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* Bonjour, les Pensées O.M.A. , du 17 au 24 Août. *
24/08/2016 14:14



Pensée du mercredi 24 août 2016
la Foi se nourrit de la conscience des richesses déposées par Dieu dans la création -
Avoir la foi
Avoir la foi, c’est faire chaque jour des expériences qui nous permettent de sentir la réalité du monde divin. Car la foi se nourrit, elle aussi. Elle se nourrit au fur et à mesure que nous prenons conscience des richesses que Dieu a déposées dans tout ce qui nous entoure : la terre, l’eau, l’air, la lumière du soleil, et que nous faisons des efforts pour travailler avec elles. À quoi sert de réciter et de chanter qu’on croit en « Dieu, créateur du ciel et de la terre », si on ne fait rien pour que ce ciel et cette terre nous aident à renforcer notre foi en Lui ? On est inconscient, négligent, superficiel, on coupe le lien avec la Source de la vie, et puis on dit : « Rien n’a de sens, il n’y a pas de Dieu. » En réalité, si vous faisiez déjà l’effort de respirer et de manger consciemment, de marcher et de faire certains gestes consciemment, un sens vous apparaîtrait et vous ressentiriez la puissance divine. Rien ne vaut les expériences, ce sont elles qui affermissent votre foi… Quand vous aurez fait certaines expériences, vous serez obligé de sentir, en vous et autour de vous, la présence de cet Être sublime, créateur de l’univers.
Omraam Mikhaël Aïvanhov

Pensée du mardi 23 août 2016

les Réponses de Dieu sont en nous - Plusieurs fois dans leur existence
Plusieurs fois dans leur existence, les humains ont à subir des épreuves qui les obligent à se poser les seules questions vraiment importantes : celles qui concernent le sens de leur vie. Et si on leur dit qu’ils trouveront les réponses dans la religion, la plupart continuent à se sentir perdus, dans le vide, parce que des réponses toutes faites ne leur sont d’aucun secours. Mais il arrive parfois que, submergés par la souffrance, certains êtres plongent si profondément en eux-mêmes que c’est finalement en eux qu’ils trouvent les réponses. Ce n’est pas la religion qui les aide, ce n’est pas la foi qui les aide, mais ils trouvent la foi à cause de l’expérience qu’ils sont en train de vivre. La vérité, c’est que Dieu a mis en l’homme toutes les réponses aux questions qu’il se pose, toutes les ressources dont il a besoin pour affronter les épreuves de la vie. Après avoir cherché, creusé, il peut finir par les trouver, et il les trouve même plus sûrement que dans certaines explications de la religion.
Omraam Mikhaël Aïvanhov

Pensée du lundi 22 août 2016

l’Amour : un courant qui circule - Ne vous préoccupez pas de savoir si l’être
que vous aimez est aussi celui qui vous aime
Ne vous préoccupez pas de savoir si l’être que vous aimez est aussi celui qui vous aime. Pourquoi ? Parce que l’amour circule, il va de l’un à l’autre : on le reçoit, on doit le donner. Ce que vous donnez à un être que vous aimez, il le donne à son tour, et ainsi se forme une chaîne, un courant qui part de vous et vous revient à travers des milliers d’hommes et de femmes. Ceux qui se contentent de se renvoyer mutuellement leur amour ne font pas circuler le courant ; au contraire, ils le coupent. Et voici encore une image. Représentez-vous les humains comme des alpinistes qui font partie d’une seule et même cordée. Il faut que chacun avance et que la corde reste tendue. Si vous dites à celui qui marche devant vous : « Je t’aime, retourne-toi, regarde-moi », vous entravez la marche de toute la colonne. Se retourner, c’est détendre la corde, c’est empêcher ceux qui sont devant comme ceux qui sont derrière de continuer à monter. Chacun doit avancer dans le sens du déplacement de toute la chaîne. Nous n’avons pas à nous arrêter pour nous regarder et nous parler ; nous devons toujours monter sans répit, sans défaillance, vers le sommet. La vie quotidienne donne de nombreuses occasions d’interpréter cette image !
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Pensée du dimanche 21 août 2016

les Tentations sont des nourritures qu’il est préférable de ne pas absorber -
Tous les jours des tentations se présentent à nous
Tous les jours des tentations se présentent à nous. Être tenté, c’est recevoir une influence. Or, qu’est-ce qu’une influence ? Un courant qui essaie de pénétrer en nous, donc une sorte de nourriture. Il y a de bonnes influences, mais il y en a aussi de mauvaises et il n’est pas toujours possible de s’opposer à l’irruption en nous de courants négatifs. Mais une fois qu’ils se sont introduits, nous devons nous efforcer de les transformer. Si nous succombons, si nous nous laissons aller à un geste de faiblesse, notre tribunal intérieur note que nous n’avons pas su assimiler ces substances, et elles vont réapparaître d’une façon ou d’une autre sous forme de troubles psychiques ou même physiques. Il faut donc veiller à ce que les nourritures empoisonnées ne pénètrent pas en nous. Mais comme ce n’est pas toujours possible, s’il arrive qu’on leur ait ouvert la voie, on doit s’exercer à les transformer pour les rendre digestes, assimilables.
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Pensée du samedi 20 août 2016

le Moi véritable de l’être humain se confond avec la Divinité - Celui qui dit « moi
Celui qui dit « moi, je… » sait-il toujours vraiment de qui il parle ? Lorsqu’il dit : « Je suis… (malade, ou bien portant, malheureux ou heureux), je veux… (de l’argent, une voiture, une femme), j’ai… (tel désir, tel goût, telle opinion) », il croit qu’il s’agit réellement de lui, et c’est justement là qu’il se trompe. Comme les humains ne se sont jamais analysés en profondeur pour connaître leur véritable nature, ils s’identifient sans cesse avec ce « je » représenté par leur corps physique, leurs instincts, leurs désirs, leurs sentiments, leurs pensées. Mais s’ils cherchent maintenant à se retrouver par l’étude et la méditation, au-delà de toutes les apparences ils parviendront à découvrir que leur véritable moi se confond avec Dieu Lui-même. Car la réalité, c’est qu’il n’existe pas une multitude d’êtres séparés, mais un Être unique qui travaille dans toutes ses créatures, qui les anime et se manifeste à travers elles, même à leur insu. Quand ils arriveront à sentir cette réalité, les humains se rapprocheront de la Source divine où ils ont tous leur origine.
Omraam Mikhaël Aïvanhov

Pensée du vendredi 19 août 2016

les Esprits de la nature - l’attitude de respect à avoir envers eux
Dès que vous sortez d’une ville, la nature est là qui vous environne. Alors, où que vous alliez, dans les forêts, au bord des rivières, des lacs, des océans, dans la montagne, tâchez de vous manifester comme des enfants de Dieu qui aspirent à une vie plus belle, plus subtile, plus lumineuse. Ne soyez pas inattentifs, négligents, montrez-vous conscients de la présence des êtres qui habitent ces lieux. La nature est un sanctuaire où vivent des créatures éthériques qui méritent qu’on s’approche d’elles avec respect. Commencez donc par les saluer, témoignez-leur votre amitié, votre amour, dites-leur combien vous appréciez leur travail. Ces créatures qui vous aperçoivent de loin sont tellement émerveillées de votre attitude qu’elles se préparent à déverser leurs bénédictions sur vous : la paix, la lumière, l’énergie pure. Vous vous sentez alors baignés, enveloppés par l’atmosphère qui émane de ces êtres spirituels, et quand vous retournez chez vous, vous rapportez toute une richesse, des révélations, des pensées et des sentiments plus riches, plus vastes.
Omraam Mikhaël Aïvanhov


Sur certaines représentations qu’on a faites de lui, Bouddha regarde sa main droite. Mais ne fait-il que la regarder ? En réalité, lorsque Bouddha se concentre sur sa main, il entre en communication avec la grande main du Créateur, c’est-à-dire avec tout l’univers, avec les soleils, les étoiles, les nébuleuses. Et dans cette main du Créateur, c’est la Voie lactée qui représente la ligne de Saturne. Si Bouddha se concentre sur sa main, c’est qu’une main n’est pas uniquement un organe physique que nous utilisons comme n’importe quel outil ou instrument : elle est imprégnée d’une matière fluidique grâce à laquelle elle communique avec les corps subtils de la nature. Comme Bouddha, celui qui se concentre sur sa main peut entrer en relation avec l’univers. Il se sent lui-même dans la main du Créateur, nourri par les énergies qu’il reçoit du centre de cette main. »
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Omraam Mikhaël Aïvanhov |


« Ne rien faire n’a jamais été la meilleure façon de se reposer. La meilleure façon de se reposer, c’est de changer d’activité. Et le travail spirituel, justement, est par nature très différent de toutes les activités dont vous avez l’habitude. Ce n’est pas comme d’aller chaque jour sur un chantier, à l’usine ou au bureau, pour gagner, et quelquefois péniblement, votre vie et celle de votre famille. Dans le travail spirituel, il s’agit de développer cette part divine de vous-même qui, dans l’existence quotidienne, est brimée, étouffée par toutes sortes d’obligations et de soucis. Donc, voilà le meilleur repos : apprendre à introduire en vous l’ordre et l’harmonie, permettre à votre nature divine de s’épanouir dans la lumière et l’amour, afin de devenir un jour un facteur bénéfique pour le monde entier. »
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Omraam Mikhaël Aïvanhov |

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