Souvent les acteurs disent avoir trouvé leur vocation dès leur plus tendre enfance.
Jessica Alba n'est pas une exception. A douze ans, elle prend des cours de théâtre et décroche son premier rôle un an plus tard dans le film 'Camp Nowhere'.
Au début, sa prestation était courte :
- seulement deux semaines de tournage.
Mais Jessica est née sous une bonne étoile et lorsque l'une des actrices principales se désiste, le réalisateur lui offre son rôle.
Sa carrière est en marche.
Certes, le succès n'est pas tout de suite au rendez-vous et la jeune femme enchaîne les séries télé populaires comme 'Beverly Hills' ainsi que les spots publicitaires.
Ce n'est qu'à l'âge de 18 ans qu'elle obtient ses premiers rôles au cinéma dans 'P.U.N.K.S.' et 'College Attitude' aux côtés de Drew Barrymore.
Mais sa carrière ne décolle pas pour autant.
La télévision sera plus généreuse en lui offrant le rôle de Max dans la série de James Cameron 'Dark Angel'.
Elle ne dure que deux saisons mais désormais Jessica est connue par le public et par les réalisateurs qui, dès son contrat terminé, se jettent sur cette magnifique actrice.
En 2004, elle joue le rôle principal dans 'Honey' et l'année d'après, on peut la retrouver dans le très médiatique film de Robert Rodriguez, 'Sin City'.
Sexy et forte, elle continue dans le domaine du super-héros avec 'Les Quatre Fantastiques' puis dévoile son charme dans 'Bleu d'enfer'.
La jeune étoile ne cesse de monter et tend à devenir une référence dans le monde
du septième art. -------------------------------------- --------------------------
*HISTOIRE DE LA FEMME AMERINDIENNE ET LEUR VIE INTIME ET AU QUOTIDIEN.*
LES FEMMES LES SQUAW
Elles étaient pendant très longtemps mal vu par l'homme blanc.
Pour eux elles étaient considérées comme des esclaves ou des domestiques des hommes de la tribu. En effet les femmes indiennes avaient la vie rude essentiellement dans les tribus des plaines.
Avant d'avoir des chiens et des chevaux pour tirer leurs travois, cétait les femmes qui portaient l'équipement et les tipis.
Les hommes tuaient les bisons et laissaient le soin aux femmes de dépecer, découper et curer la viande, puis ramener-le tout au camp.
Elles montaient et démontaient les tipis, s'occupaient de faire la cuisine et du tannage des cuirs et des peaux.
Elles faisaient aussi la cueillette, la pêche. Elles confectionnaient tous les vêtements, fabriquaient les objets d'utilisation courante , y compris leurs habitations traditionnelles.
Les indiens des plaines sont polygames, leurs épouses vivaient toutes ensembles en parfaite harmonie entre elles et avec leur mari. La raison de leur polygamie était du au fait que les tribus était constamment engagé dans des guerres, le taux de mortalité était très impressionnent ce qui avait pour conséquencede laisser un grand nombre de femmes pour très peu dhomme (3 femmes pour 1 homme).
Les hommes pouvaient avoir une douzaine de femmes, mais cela dépendait essentiellement de ses moyens. Chaque épouse avait sa place assignée dans le tipi familial.
Si elles avaient des enfants elles dormaient avec. En lisant ces textes on pourrait conclure que les indiens navait aucun sentiment pour sa ou ses femmes, mais cela n'etait pas du tout le cas, car l'attachement et la dévotion d'un mari pour sa famille et ses enfants etaient évidents, ils ont tous simplement un autre façon de montrer leurs amours envers tous les membres de leur famille.
LES CAPTIVES BLANCHES
Elle était très souvent mal traitée, surtout parmi les indiens des plaines. Elle subissait les outrages et les caprices de chaque guerrier jusqu'a ce quils rentre au camp, ou elle devenait la propriété de celui qui l'avait initialement kidnappe.
Les femmes blanches étaient néanmoins très prisée par les indiens, a cause de leur valeur d'échange envers les blancs.
Dans de rares cas, elles ont simplement été intègres dans la tribu, elles devenaient une épouse parmi les autres.
Elégance, et rythme ... Douceur et rytme.. *Beauté de la musique classique* Chansons / Opéra-Opérettes Ballets - Danses Concerts § -----------
---------------------------------
Actualités de la musique classique, dont ce pianiste cubain Jorge Luis Prats, va "jouer"
à la Salle PLEYEL à Paris le 11 Octobre 2011,
Chopin Nocturnes... et Autres §
""""""""""""""""""
***************************************
-- *LIEN DU SITE Ci-dessous , vous présentant entr'autre, cet artiste / pianiste et autres actualités - Musique classique. -- *Il s'agit de : QUO BUZ MAGAZINE. ------------ --------------------------------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Docs § Musiques - Chansons - Belles voix !... """"""""""""
Encore trop confidentiel, le grand pianiste cubain jouera Scriabine et F. Chopin à la Salle Pleyel, le 11 octobre.
Jorge Luis Prats, l’heure de la reconnaissance ?
Jorge Luis Prats – Région : Île-de-France Département : Paris (75) Ville : Paris
Mardi 11 octobre, Jorge Luis Prats est en récital parisien, Salle Pleyel, à 20h.
Au programme du concert du pianiste cubain encore trop confidentiel, les 24 Préludes op.11 de Scriabine et les 24 Préludes op.28 de Chopin.
Une soirée se déroulant quelques semaines après la sortie chez Decca d’un album live enregistré à Saragosse avec notamment des pièces de Granados, Villa-Lobos, Cervantes, Farinãs ou bien encore Lecuona.
Nombreux sont ceux qui s’interrogent :
comment être passé à côté d’un tel virtuose ?
Pourquoi Jorge Luis Prats, lauréat tout de même de l’édition 1977 du Concours Long-Thibaut, s’est-il par la suite engagé dans une carrière aussi erratique ?
Jeu orchestral, pâte sonore somptueuse, sonorité d’orgue, opulente et chaude, puissance de jeu phénoménale, sans parler d’une technique éblouissante…
Un jeu sanguin, gorgé de couleurs et sans tiédeur qui concilie justesse musicale et vitalité.
Né le 3 juillet 1956 à Camgüey, à Cuba, Prats entame ses études au Collège National des Arts.
Il reçoit une bourse pour les poursuivre au conservatoire Tchaïkovski de Moscou avec Rudolf Kerer.
Il se rend ensuite à Vienne à la Hochshüle für Müsik und Kunstler où il travaille avec Paul Badura Skoda, à Paris avec Magda Tagliaferro et à Varsovie avec Witold Malcuzcynski.
En 1977, à seulement 21 ans, il remporte le Grand Prix du Concours Marguerite Long-Jacques Thibaud et il reçoit des prix spéciaux pour la meilleure interprétation d’œuvre de Ravel et Jolivet.
Tout semblait destiner Jorge Luis Prats à une carrière fulgurante.
Deutsche Gramophone le signe pour l’Allemagne et EMI pour la France. Mais c’était sans compter avec le régime Cubain…
Le monde musical, en particulier les grands conservatoires et les grands concours de piano ne l’oubliaient pourtant pas en faisant appel à ses services comme professeur ou président de jury.
Le répertoire de Prats est vaste, comprenant tant des le Clavier bien tempéré de Bach, ses Suites et ses Partitas, mais aussi les Sonates de Mozart, presque toutes celles de Beethoven, près de la totalité des œuvres de Chopin, Liszt, Ravel, Debussy et notamment toutes les œuvres pour orchestre de Prokofiev, Rachmaninov, et également les pièces des maîtres d’Espagne comme Albéniz ou Granados ou d’Amérique Latine comme Villa Lobos ou de ses compatriotes Lecuona, Farinas, etc.
Enfin, en concertiste il est l’invité du Royal Orchestre Philharmonique de Londres, de l’orchestre de la BBC, de l’Orchestre EOS de New-York, de l’Orchestre Symphonique de Dallas, de l’Orchestre de Paris, de l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam, du Gevandhaus de Leipzig ou de l’Orchestre Simon Bolivar de Caracas. -_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_
******************************************************************************** --* LIEN SITE : QO BUZZ MAGAZINE // INFOS - ACTUS. MUSIQUE CLASSIQUE - LITTERAIRE *-- :