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VIP-Blog de marie-andree
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  • Créé le : 01/02/2008 17:52
    Modifié : 25/04/2020 21:27

    Fille (60 ans)
    Origine : marie-andree
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    * Bonjour, Un poème -- "L'automne" Bons samedi-dimanche / week-end Amitiés.*

    22/10/2016 17:37

    * Bonjour, Un poème -- "L'automne"   Bons samedi-dimanche / week-end  Amitiés.*


     

      B O N J O U R, 

     

     

    A  tous  et  toutes,  bons  samedi  et  dimanche.

    Bon  week-end  §

     

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    Un poème de saison --

     

    "L'Automne" .

     

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     Roses d’automne

     

    Nérée Beauchemin

     

    Aux branches que l’air rouille et que le gel mordore,

    Comme par un prodige inouï du soleil,

    Avec plus de langueur et plus de charme encore,

    Les roses du parterre ouvrent leur coeur vermeil.

    Dans sa corbeille d’or, août cueillit

    les dernières : Les pétales de pourpre ont jonché le gazon.

    Mais voici que, soudain, les touffes printanières

    Embaument les matins de l’arrière-saison.

    Les bosquets sont ravis, le ciel même s’étonne

    De voir, sur le rosier qui ne veut pas mourir,

    Malgré le vent, la pluie et le givre d’automne,

    Les boutons, tout gonflés d’un sang rouge, fleurir.

    En ces fleurs que le soir mélancolique étale,

    C’est l’âme des printemps fanés qui, pour un jour,

    Remonte, et de corolle en corolle s’exhale,

    Comme soupirs de rêve et sourires d’amour.

    Tardives floraisons du jardin qui décline,

    Vous avez la douceur exquise et le parfum

    Des anciens souvenirs, si doux, malgré l’épine

    De l’illusion morte et du bonheur défunt.

     

    Nérée Beauchemin

     

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    * Bonjour, les Pensées O.M.A., du 16 au 22 Octobre inclus & Bon week-end. *

    22/10/2016 17:33

    * Bonjour, les Pensées O.M.A., du 16 au 22 Octobre inclus & Bon week-end. *


     

     

    Pensée du 22 Octobre 2016

     

    « Les cellules de notre corps sont de petites âmes intelligentes. C’est tout un peuple que nous avons là, en nous, un peuple avec lequel nous pouvons entrer en relation et que nous avons la tâche d’éduquer. Mais en êtes-vous conscient ? Non, ou très rarement. C’est pourquoi vos cellules ne vous obéissent pas. Vous souhaiteriez améliorer l’état de votre foie, de votre estomac, de votre cœur, de votre cerveau, etc., mais vous ne pouvez pas, les cellules de tous ces organes ne vous obéissent pas, vous ne pouvez pas vous imposer à elles, elles fonctionnent d’après leur volonté propre. La Science initiatique, qui a étudié l’anatomie psychique de l’être humain et les règles qui président à son fonctionnement, nous enseigne que nous pouvons commander aux cellules de nos organes. Mais pour cela il faut accepter l’idée que ce sont des entités intelligentes, conscientes, et apprendre à entrer en communication avec elles en leur envoyant par la pensée des rayons de lumière et d’amour. »

     

    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

     

    Pensée du 21 Octobre 2016

     

    « On a souvent comparé la vie à l’eau qui coule. Mais quelle différence entre l’eau qui jaillit de la source, au sommet de la montagne, et celle qui arrive à l’embouchure du fleuve après avoir reçu toutes sortes de saletés et même de produits toxiques ! Pure ou polluée, l’eau reste toujours de l’eau, de même que la vie reste toujours la vie, mais rien n’est plus vivifiant que l’eau pure, alors que l’eau polluée apporte la mort. Comme l’eau qui jaillit de la source, la vie qui jaillit du sein de Dieu descend pour abreuver toutes les créatures et, d’après les régions qu’elle traverse, elle se charge de différentséléments. Toutes les créatures ne reçoivent donc pas la même vie du fleuve ; cela dépend du lieu où elles se trouvent, plus près de la source ou de l’embouchure. Cette vie qui vient de Dieu ne s’arrête jamais de couler. Mais les humains sont-ils conscients du caractère sacré de la vie ? Non, ils salissent la vie de Dieu, l’eau de Dieu. Vous êtes étonné, vous vous demandez comment cela est possible. C’est très simple : chaque fois qu’ils manquent de sagesse, d’amour, de désintéressement, c’est comme s’ils jetaient des ordures dans la rivière du Seigneur. Et la rivière ne proteste pas, elle accepte tout pour aider les humains et elle continue à couler. Elle attend qu’ils prennent conscience de leurs responsabilités dans la préservation de la vie. »

     

    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

     

     

    Pensée du 20 Octobre 2016

    « Nous pouvons accepter une épreuve, nous pouvons la comprendre, mais en même temps éprouver de l’amertume, de la tristesse, du regret : nous pensons que ç’aurait été tellement mieux de ne pas avoir eu à la subir ! Dans ce sens on peut dire qu’elle n’est pas encore terminée. Quand peut-on dire qu’une épreuve est terminée ? Quand nous sommes capables de nous en réjouir. Il est possible qu’en apparence non seulement elle ne nous ait rien apporté, mais qu’elle nous ait fait perdre beaucoup de choses, et même des êtres qui nous sont chers… Pourtant, longtemps après cette épreuve, nous sentons que notre lumière, notre amour, notre force ont augmenté, et la paix et la joie nous envahissent. C’est à ce moment-là seulement que nous pouvons dire que cette épreuve est terminée : nous l’avons surmontée. »

     

    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     


     

    *Les Pensées O.M.A.,du 16 au 19 Octobre inclus.*

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    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

    « Par mon enseignement, je sou­haite vous donner des notions essentielles sur l’être humain : comment il est construit, ses relations avec la nature, les échanges qu’il doit faire avec les autres et avec l’univers, afin de boire aux sources de la vie divine. »

     

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    Les pensées  O.M.A. ,  du Dimanche 25 Septembre au Dimanche 16 Octobre 2016,inclus ,

     vous pouvez les retrouver sur le Site : Omraam Mikhaël Aïvanhov

    Choisir une pensée ...

     

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    Pensée du mercredi 19 octobre 2016

    nos Dettes envers la nature - comment nous en acquitter

    Tous les éléments dont notre corps est formé, tout ce qui nous permet de subsister, l’eau, la nourriture, l’air que nous respirons, la lumière et la chaleur du soleil, les matériaux dont nous faisons nos vêtements, nos maisons, nos outils : nous devons tout à la nature. Certaines personnes peuvent être très fières, et à juste titre, de leur créativité, de leur ingéniosité, mais d’où ont-elles tiré les matériaux à partir desquels elles fabriquent leurs instruments, leurs appareils et même leurs œuvres d’art ? De la nature. La nature nous donne tout, mais au fur et à mesure, ce que nous prenons s’inscrit en détail quelque part. Ce sont donc des dettes que nous contractons auprès d’elle, et nous devons nous en acquitter. Comment ? Avec une monnaie qui s’appelle le respect, la reconnaissance, l’amour, la volonté d’étudier tout ce qui est écrit dans son grand livre. Payer signifie donner quelque chose en échange, et tout ce que notre cœur, notre intelligence, notre âme et notre esprit sont capables de produire de bon peut être un paiement. Dans le plan physique nous sommes limités, et d’ailleurs la nature ne nous demandera pas de lui rendre la nourriture, l’eau, l’air ou les rayons du soleil qu’elle nous a donnés. Mais dans le plan spirituel nos possibilités sont infinies, et là nous pouvons même rendre au centuple tout ce que nous avons reçu.

    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

     

    Pensée du mardi 18 octobre 2016

    le Bonheur des autres -

    savoir s’en réjouir est une marque d’évolution La faculté que vous avez de vous réjouir de tout ce qui arrive de bon aux autres, voilà un critère de votre évolution. Car généralement, on doit le reconnaître, il est difficile de se réjouir des succès et du bonheur des autres, et à plus forte raison s’ils réussissent là où on a soi-même échoué. En revanche, quand on les voit dans le malheur, là, les bons sentiments s’éveillent, la pitié, la compassion, le besoin de les consoler, de les aider. Eh oui, devant les accidents, les maladies graves, quand les autres ne peuvent plus leur porter ombrage, les humains deviennent naturellement plus compréhensifs et bienveillants, sans même avoir le moindre effort à faire. Ce sont donc vos réactions devant le succès et le bonheur des autres que vous devez étudier. Le jour où vous saurez sincèrement vous en réjouir, cela prouvera que vous avez réussi à vous détacher des plans astral et mental – les sentiments et les pensées égocentriques – pour vous élever jusqu’aux plans causal et bouddhique où règnent la sagesse et l’amour, seuls capables de vous donner de vraies joies.

    Omraam MiKhaël Aivanhov

     

     

    Pensée du lundi 17 octobre 2016

    la Vie se renouvelle sans cesse -

    À des degrés différents À des degrés différents, bien sûr, tout ce qui existe est vivant, et la vie se caractérise par l’émission de radiations toujours nouvelles. Même le métal d’un collier, d’une bague ou d’une montre que vous portez, vibre chaque matin différemment de la veille. Si vous étiez vraiment sensible, vous sentiriez une légère modification dans le mouvement des particules infinitésimales qui composent la matière. Pourquoi ? Parce que ces objets sont en relation avec les courants sans cesse renouvelés du cosmos. Vous ne le sentez pas, alors vous croyez qu’il n’y a aucune différence, mais en réalité, rien nulle part ne reste absolument identique, tout change. Et le soleil, quand il se lève le matin, lui aussi est nouveau. Car il y a toute une vie dans le soleil : des courants, des projections, des éruptions… Et s’il se produit des changements dans le soleil, comment ces changements n’auraient-ils pas des répercussions dans tout le système solaire, et par conséquent aussi sur toutes les formes d’existence sur la terre ?

    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

     Pensée du dimanche 16 octobre 2016

    l’Empreinte divine que chaque être humain porte en lui -

    On peut comparer les êtres humains à des graines lancées dans le monde par le Créateur : chaque graine porte inscrite en elle l’image de la perfection divine On peut comparer les êtres humains à des graines lancées dans le monde par le Créateur : chaque graine porte inscrite en elle l’image de la perfection divine. C’est ce que signifie le verset de la Genèse où il est dit que Dieu créa l’homme à son image. Et quelle est la prédestination d’une graine ? Germer, croître jusqu’à devenir un arbre. Nous sommes tous des graines, des graines produites par le Créateur. C’est donc que nous sommes des divinités en puissance et qu’en nous efforçant d’améliorer sans cesse nos manifestations, un jour nous deviendrons des divinités. Il est déjà magnifique d’être une graine, mais c’est encore mieux de devenir un arbre avec des racines, un tronc, des branches, des feuilles, des fleurs et des fruits. Gardez donc bien en vous cette image de l’arbre ; si vous travaillez à vous rapprocher de la perfection divine – cette perfection dont l’empreinte, comme dans la graine, est déjà gravée quelque part en vous – vous deviendrez, un jour, un arbre de vie.

    Omraam Mikhaël Aïvanhov

     

     

     

     






    * La parabole du pharisien et du publicain Trentième dimanche du temps ordinaire - Année C & Bon dimanche. *

    22/10/2016 17:17

    * La parabole du pharisien et du publicain Trentième dimanche du temps ordinaire - Année C & Bon dimanche. *


     

     


    Trentième dimanche du temps ordinaire

    Livre de l'Ecclésiastique 35,15b-17.20-22a. 
    Le Seigneur est un juge qui se montre impartial envers les personnes. 
    Il ne défavorise pas le pauvre, il écoute la prière de l’opprimé. 
    Il ne méprise pas la supplication de l’orphelin, ni la plainte répétée de la veuve. 
    Celui dont le service est agréable à Dieu sera bien accueilli, sa supplication parviendra jusqu’au ciel. 
    La prière du pauvre traverse les nuées ; tant qu’elle n’a pas atteint son but, il demeure inconsolable. Il persévère tant que le Très-Haut n’a pas jeté les yeux sur lui, 
    ni prononcé la sentence en faveur des justes et rendu justice. 

    Psaume 34(33),2-3.16.18.19.23. 
    Je bénirai le Seigneur en tout temps, 
    sa louange sans cesse à mes lèvres. 
    Je me glorifierai dans le Seigneur : 
    que les pauvres m'entendent et soient en fête ! 

    Le Seigneur regarde les justes, 
    il écoute, attentif à leurs cris. 
    Le Seigneur entend ceux qui l'appellent : 
    de toutes leurs angoisses, il les délivre. 

    Il est proche du cœur brisé, 
    il sauve l'esprit abattu. 
    Le Seigneur rachètera ses serviteurs : 
    pas de châtiment pour qui trouve en lui son refuge. 



    Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 4,6-8.16-18. 
    Bien-aimé, je suis déjà offert en sacrifice, le moment de mon départ est venu. 
    J’ai mené le bon combat, j’ai achevé ma course, j’ai gardé la foi. 
    Je n’ai plus qu’à recevoir la couronne de la justice : le Seigneur, le juste juge, me la remettra en ce jour-là, et non seulement à moi, mais aussi à tous ceux qui auront désiré avec amour sa Manifestation glorieuse. 
    La première fois que j’ai présenté ma défense, personne ne m’a soutenu : tous m’ont abandonné. Que cela ne soit pas retenu contre eux. 
    Le Seigneur, lui, m’a assisté. Il m’a rempli de force pour que, par moi, la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout et que toutes les nations l’entendent. J’ai été arraché à la gueule du lion ; 
    le Seigneur m’arrachera encore à tout ce qu’on fait pour me nuire. Il me sauvera et me fera entrer dans son Royaume céleste. À lui la gloire pour les siècles des siècles. Amen. 

     



    Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18,9-14. 
    En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici : 
    « Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts).
    Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : ‘Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain.
    Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.’
    Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : ‘Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !’
    Je vous le déclare : quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé. »



     

    Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris


    Commentaire du jour : Saint Bernard 

    « Le publicain... n'osait même pas lever les yeux vers le ciel »


     
     
     
     

     

     

     

    Trentième dimanche du temps ordinaire
    Commentaire du jour 
    Saint Bernard (1091-1153), moine cistercien et docteur de l'Église 
    3e sermon sur l'Annonciation, 9-10

     

    « Le publicain... n'osait même pas lever les yeux vers le ciel »

          Quel est le vase où la grâce se déverse de préférence ? Si la confiance est faite pour recevoir en elle la miséricorde, et la patience pour recueillir la justice, quel récipient pourrons-nous proposer qui soit apte à recevoir la grâce ? Il s'agit d'un baume très pur et il lui faut un vase très solide. Or quoi de plus pur et quoi de plus solide que l'humilité du cœur ? C'est pourquoi Dieu « donne sa grâce aux humbles » (Jc 4,6) ; c'est à juste titre qu'il « a posé son regard sur l'humilité de sa servante » (Lc 1,48). À juste titre parce qu'un cœur humble ne se laisse pas occuper par le mérite humain et que la plénitude de la grâce peut s'y répandre d'autant plus librement... 

          Avez-vous observé ce pharisien en prière ? Il n'était ni un voleur, ni injuste, ni adultère. Il ne négligeait pas non plus la pénitence. Il jeûnait deux fois par semaine, il donnait le dixième de tout ce qu'il possédait... Mais il n'était pas vide de lui-même, il ne s'était pas dépouillé lui-même (Ph 2,7), il n'était pas humble, mais au contraire élevé. En effet, il ne s'est pas soucié de savoir ce qui lui manquait encore, mais il s'est exagéré son mérite ; il n'était pas plein, mais enflé. Et il s'en est allé vide pour avoir simulé la plénitude. Le publicain, au contraire, parce qu'il s'est humilié lui-même et qu'il a pris soin de se présenter comme un vase vide, a pu emporter une grâce d'autant plus abondante.

                     BON  DIMANCHE  A  TOUS  ET  TOUTES   .        

                                                       






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