* Bonjour, quelques citations ; et images:"Citations" § Musique --- Bon dimanche. *
18/09/2016 09:03
B O N J O U R,
Les mots ce sont des boîtes qui servent à ranger les pensées, pour mieux les présenter aux autres et leur faire l'article. Par exemple, les jours où on aurait l'envie de frapper sur tout ce qui bouge, on peut juste faire la gueule. Mais du coup, les autres peuvent croire qu'on est malade, ou malheureux. Alors que si on dit d'une façon verbale, faites pas chier, c'est pas le jour! ça évite les confusions.
Marie-Sabine Roger
Il faut en tout cas admettre une vérité dérangeante : on est vieux dans le regard des autres, bien avant de l'être dans le sien.
Benoîte Groult
On ne peut pas tout vivre, alors l’important est de vivre l’essentiel et chacun de nous a son essentiel.
Marc Levy
Dans la vie il faut prendre son pied sans se prendre la tête à condition de bien remplir les deux.
Gustave Parking
La vie devient une chose délicieuse, aussitôt qu’on décide de ne plus la prendre au sérieux.
Henry de Montherlant
On aime avec les tripes, pas avec la tête.
Et jusqu'à nouvel ordre, les tripes ne réfléchissent pas.
Agnès Ledig
Les plus belles citations inspirantes et positives
Commentaire de pierre-jean (25/09/2016 14:01) :
Faux, pour Henri de Montherlant.
C'est faux de mon point de vue.
Je dirais plutôt : la vie est délicieuse, dès lors qu'on parvienne à
appréhender à la fois sa légèreté, et sa gravité. Fantaisiste, un peu fou,
il faut l'être, pardi, pour découvrir les plus beaux trésors. Toutefois, la
vie est une affaire trop sérieuse pour ne pas finir par être contaminé,
puis séduit par ce qu'elle a de plus austère.
Aussi, cette austérité est appétissante, vraiment.
Ceci dit, merci pour ta photo (gros plan). Très jolie photo. Coooollll
!!
Je t'embrasse
Pierre-Jean
Que le plus grand prédateur soit l'homme est une chose, mais qu'il éradique les carnivores de la planète en est une autre. Une nouvelle étude conduite par des chercheurs de l'université finlandaise d'Helsinki, en collaboration avec une équipe internationale d'experts en changement d'affectation des sols, confirme le risque de voir disparaître de nombreuses espèces carnivores déjà menacées. Elle a été publiée dans la revue Scientifics Reports.
Le professeur Enrico Di Minin, de l'université d'Helsinki, explique: "Nous avons évalué comment la réaffectation des sols allait modifier les zones prioritaires de conservation des carnivores. Les analyses ont révélé que les carnivores vont subir d'énormes pertes dans le futur. De manière inquiétante, il semble que les zones le splus importantes pour la conservation des carnivores coïncident avec celles où les conflits humains-carnivores seront les plus saillants".
Menaces de l'Asie du Sud-Est à l'Amérique du Sud
Où sont situés ces habitats qui risquent de disparaître?
"Actuellement, les pays d'Amérique du Sud, d'Afrique et d'Asie du Sud-Est, de même que l'Inde, sont ceux qui contribuent le plus à la conservation des carnivores. Certaines des espèces les plus charismatiques, comme le tigre, sont en voie de disparition, mais de plus petits animaux, avec des habitats plus resserrés, risquent également de disparaître", continue le docteur Di Minin.
Les répercussions pourraient être dramatiques pour l'ensemble de la faune. De nombreuses espèces d'oiseaux, reptiles, amphibiens et mammifères pourraient en pâtir. C'est à terme dans ces zones très tendues en termes de développement humain, d'urbanisation et d'utilisation des terres pour l'agriculture intensive, que la protection des carnivores assurera la permanence de la biodiversité. Mais un effort financier bien plus important pour "sensibiliser le public et promouvoir la tolérance envers ces espèces" serait nécessaire, explique le Sud-Africain Rob Slotow, professeur à l'université de KwaZulu-Natal et co-auteur de l'article.
L'arabica est votre café préféré ? Profitez-en maintenant. Il viendra à manquer vers 2050, selon Corey Watts, du Climate Institute, une organisation australienne mandatée pour l'occasion par la Fairtrade Australia & New Zealand. Selon le rapport qui vient d'être publié (A Brewing Storm), la production mondiale de café va baisser de 50 % d'ici à 2050 et les caféiers sauvages, ressource génétique pour l'agriculture, sont menacés d'extinction en 2080. La faute, essentiellement, au réchauffement climatique.
Corey Watts et son équipe ont par exemple mesuré l'effet de la température sur la production de Coffea arabica en Tanzanie : 137 kg de moins par hectare et par an pour 1 °C de hausse de la température minimale. La productivité, dans ce pays, aurait chuté de 50 % depuis les années 1960. L'augmentation de la concentration de l'air en CO2 pourrait réduire cet impact, en favorisant la croissance, mais cet effet n'est pas prouvé explique le rapport. Le robusta (Coffea canephora), lui, résiste mieux à la chaleur mais ne représente aujourd'hui que 30 % de la production mondiale. Cette espèce, à l'arôme moins apprécié, est surtout destinée aux préparations instantanées.
Les auteurs soulignent que les pays exportant beaucoup de café sont aussi parmi les plus exposés aux effets du changement climatique. Plus de 120 millions de personnes, dans 70 pays, dépendent de cette culture et « la plupart des 25 millions de producteurs sont des petits exploitants ». Les pratiques culturales, par exemple en montant en altitude ou en trouvant des variétés plus résistantes, peuvent compenser cette baisse mais seulement partiellement et resteront difficiles à réaliser pour les exploitations modestes.
Le cycle de l’eau modifié par le réchauffement climatique Sur notre planète, la surveillance du cycle de l’eau est indispensable à la compréhension du réchauffement climatique. Le Cnes nous parle, au cours de cette vidéo, des différentes missions spatiales qui, depuis plusieurs années déjà, permettent de suivre l'eau tout autour du Globe.