*Doc/Archives ; et le 4 Avril 2014,Marguerite Duras,écrivain aurait eu 100 ans & Biographie & Livre/Souvenir - Docs -- Hommage/Vidéo & Agréable journée *
09/04/2014 08:53
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Le 4 AVRIL 2014, MARGUERITE DURAS AURAIT EUE , 100 ANS .
Marguerite Duras aurait eu 100 ans le 4 avril 2014
2 avril 2014
Archives - 2.04.2014 - Journal TLC Toute la Culture
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Née le 4 avril 2014 dans l’Indochine Française qu’elle a su décrire comme un mélodrame de cinéma après l’expulsion de L’eden, Marguerite Donnadieu a troqué la transcendance contre un peu d’éternité, où elle est entrée sous le nom pérenne de « Duras ». Quelques pensées pour une toute grande dame de la culture française du 20ème siècle pour fêter son centenaire comme il se doit.
A la rédaction, elle nous concerne tous.
Son influence a marqué plusieurs de nos domaines.
Evidemment les lettres d’abord, avec encore aujourd’hui, une empreinte laissée, une respiration durassienne qui hante la syntaxe de nombreux auteurs sensibles. Son fameux « dit-elle » ou ses anaphores de mitraillette et ses ellipses, sa recherche du « mot-trou » demeurent dans notre inconscient littéraire.
On voudrait tellement enterrer tout cela et revenir à du récit linéaire ! Mais la langue française porte au 20ème siècle sa trace comme celle de Louis-Ferdinand Céline et il faut vraiment travailler ses enjambées de plumes pour l’oublier totalement.
Les théâtreux continuent de se nourrir régulièrement à son théâtre : à l ‘Atelier, à l’Athénée et à la Gaité. Et que dire des cinéphiles, qui s’écharpent encore sur son oeuvre culottée où Delphine Seyrig danse l’Inde sur les bords de Marne et Depardieu joue les routiers… Et pourtant, ce centenaire semble peut-être un peu calme. Comme si on avait déjà enterré l’idole.
La Marguerite Duras qui nous reste, c’est celle de ses œuvres, celle de l’Indochine Française de l’enfance vécue dans la pauvreté et aux bords de la folie maternelle; une mère d’une ambition désespérée qui voulait vaincre les crues du Pacifique pour faire pousser du riz dans la terre de la concession achetée avec les économies d’une vie.
Celle aussi la Duras du ministère des colonies qui fait un petit travail de fonctionnaire et écrit des rapports. Celle qui, pendant la guerre attend Robert Antelme, une attente démesurée pour un retour terrible au 5, rue Saint-Benoît.
Celle qui attend aussi, longuement, son heure de gloire, avec un Goncourt tardif, en 1984, pour l’Amant, dont elle méprisait les lecteurs qu’elle comparait à des pingouins. Celle qui décortique les faits divers et se place dans la position du citoyen lambda, fasciné par des monstres étonnants et effrayants.
C’est celle enfin, qui vit dans l’angoisse du manque : d’argent, de Dieu, de l’alcool qu’elle a pris pour signifier l’absence de Dieu. De Duras, c’est comme si on avait oublié les emportements, l’engagement tardif mais réel avec le passage de l’administration de Vichy à la résistance en 1943, et le salon de la rue Saint-Benoît où Semprun, Mitterand et bien d’autres se retrouvaient.
De Duras on a aussi presque oublié les colonnes de Libération réunies dans Outside et qui scrutent parfois des « mythologies » contemporaines, mais qui prennent souvent position : des positions politiques .
Alors on fête Duras pour ce centenaire mais Moderato Cantabile, pas comme Camus. Pas seulement parce que Duras est une femme et parce que ses œuvres sont plus difficiles à appréhender, mais aussi, peut-être, parce que Duras, c’est la fulgurance de Lol V. Stein qui regarde l’élégante Anne-Marie Stretter lui voler son fiancé sans rien faire. Duras en est venue à représenter un 20ème siècle de l’attente, un 20ème siècle de l’ »arrière », un 20ème siècle de l’impuissance.
Et pourtant, quand le Vice-Consul tire littéralement sur la misère de Lahore avec son pistolet ou quand il ne reste plus que deux corps sans désir dans le bruit du ressac de la mer dans Yeux Bleus, Cheveux noirs et La Maladie de la mort, on peut dire que Duras exprime beaucoup d’indignation à l’égard de son temps.
Comme beaucoup d’auteurs grands penseurs du politique, elle se force à accepter et analyser ce temps tel qu’il est et il est possible que nous ayons encore beaucoup à apprendre de Duras. Puisse-t-on continuer à méditer la musique de sa syntaxe qui butte et la force de ses images populaires si puissantes.
Marguerite Duras est connue par ses œuvres et pour son attachement à l’Asie qui est au centre de ses romans, pièces de théâtre et films. Marguerite Duras est une femme de lettres française et une révolutionnaire.
Marguerite Germaine Marie Donnadieu naît le 4 avril 1914 à Gia Dinh, en Indochine française. Alors qu’elle a 5 ans, son père décède en France. En 1923, Marguerite Duras et sa famille s’installent à Vinh Long, petite ville du delta du Mékong. Elle y vit jusqu’à l’obtention du baccalauréat en 1931.
Elle part en France et passe son diplôme de sciences politiques en 1938. Elle se marie avec Robert Antelme le 23 septembre 1939.
Employée au comité d’organisation du livre en 1942, elle a pour amant Dionys Mascolo. Elle est aussi la maîtresse de Charles Deval lors de la déportation de son mari. Marguerite Duras et Robert Antelme divorcent au mois d’avril 1947 avant que son fils ne naisse en juin. Marguerite se remarie avec Dionys Mascolo, mais ils se séparent en 1956.
Marguerite Duras est secrétaire au ministère des Colonies en 1938. Elle entre dans la résistance et commence ses écrits par les «Les Impudents» publié chez Plon en 1943, puis enchaîne avec «La Vie tranquille» chez Gallimard. Marguerite est membre du parti communiste français de 1944 à 1950. Elle écrit entre temps «Un barrage contre le pacifique» adapté plus tard à l’écran. Elle se fait reconnaître parmi ses pairs en 1958 avec son roman «Moderato cantabile». Elle devient scénariste du film «Hiroshima mon amour» d’Alain Resnais l’année suivante.
Marguerite Duras ne cache pas son opposition à la guerre d’Algérie en 1960, idée matérialisée par le manifeste des 121 qu’elle a signé avec Simone de Beauvoir. Elle s’oriente ensuite vers l’adaptation de ses œuvres en pièces théâtrales telles que «Théâtres», «L’Amante anglaise», une créativité qui lui a valu le Grand prix du théâtre de l'Académie Française en 1983.
Toujours politiquement à gauche, elle milite aux côtés des étudiants en mai 1968 et se trouve au premier rang lors de la marche. En 1969, elle est la réalisatrice de sa propre œuvre «Détruire dit-elle».
En 1973 «India Song» est adapté en pièce théâtrale par l’artiste. Le film «Le Camion» a eu l’honneur d’avoir comme interprète Marguerite Duras.
La sortie de «L’amant» autobiographie sortie aux éditions de Minuit en 1984, a été récompensée par le Prix Goncourt. En 1991, insatisfaite par la réalisation de Jean Luc Godard de ce dernier roman, elle intitule son nouveau roman «L’Amant de la Chine du Nord».
Dans les années 1990, elle ne cesse d’écrire en prenant Yann Andréa, son dernier compagnon, comme son exécuteur littéraire. Elle publie alors en 1992 «Yan Andréa Steiner», en 1993 «Écrire» et «Le Monde extérieur» et en 1995 «C’est tout». Ces livres sont traduits en plusieurs langues et font partie des programmes scolaires. Des citations comme «…c’est une merveille, à mon âge, d’ignorer l’avenir» et «…pour que vous vous intéressiez à moi, il faut que je parle de vous» ont fait parler de Marguerite Duras.
Le 3 mars 1996, elle s’éteint dans son appartement parisien.
N° 64 - Les joies non partagées sont comme les fruits mûrs
qu'on laisse pourrir plutôt que de les offrir. -- Anonyme.
Un peu de musique - Et quelques conseils , Infos &
Une recette de cuisine & Dessert !!!
VERRINE DE FROMAGE BLANC, POMMES ET SPECULOOS
type :dessert
difficulté :facile
préparation :10 min
cuisson :10 min
Ingrédients pour 1 personnes
100 g de fromage blanc
2 spéculoos
1/2 pomme
10 g de beurre
1 sachet de sucre vanillé
1 cs de sucre en poudre
Cannelle
Préparation
Pelez et coupez la pomme en petits dés
Mettez-les à caraméliser dans une poele avec le beurre
Saupoudrez de sucre et de cannelle
Laissez caraméliser 3 à 4 minutes
Mélangez le fromage blanc avec le sucre vanillé
Émiettez un spéculoos au fond du verre
Recouvrez de la moitié du fromage blanc
Disposez la moitié des pommes caramélisées
Ajoutez le 2ème spéculoos émietté
Recouvrez à nouveau de fromage blanc
Disposez le reste des pommes
Saupoudrez du reste du biscuit
L'endométriose
L'endométriose est une maladie gynécologique peu connue, qui touche pourtant 10% des femmes et qui est source d'infertilité. Elle se caractérise par la présence anormale de fragments d'endomètre, à l'extérieur de l'utérus. Alors que l'endomètre est normalement éliminé lors des règles, chez la femme atteinte d'endométriose, ces tissus se développant à l'extérieur de l'utérus ne peuvent être évacué et provoquent les manifestations de la maladie. Cela se traduit par des douleurs violentes pendant les règles et les rapports sexuels. Mais parfois, la maladie peut agir pendant plusieurs années sans symptômes particuliers. C'est lorsqu'elle est détectée trop tard qu'elle fait le plus de dégâts chez la femme atteinte. Des kystes (endométriomes) se forment dans la cavité utérine ou sur l'ovaire et des adhérences accolent les organes. La femme a alors beaucoup moins de chance d'avoir un enfant naturellement.
L'HARMONIE CREATIVE.
Bienheureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes, ils n'ont pas fini de s'amuser!
L'art de la BIENVEILLANCE
Bienveillance = Veiller au bien = prêter attention avec gentillesse.
Comportement positif vis à vis de quelqu'un ou de quelque chose,
la Bienveillance est la disposition du coeur visant à favoriser l'épanouissement des êtres.
La bienveillance
nous relie à nos profondeurs
et transfigure notre regard
Nous sommes des êtres divins,
endormis.
Vivant dans le rêve obscur
créé par nos désirs
et nos peurs.
Et pourtant, cette divinité,
il nous est offert de l'éveiller
dans le temple de notre corps.
En retrouvant la lumière
du jardin de l'âme.
*Bonjour, une pensée amicale pour venir vous souhaiter , une bonne semaine & Avec le plus de soleil possible !, je souhaite dans vos régions. Ici,Montpellier , soleil est là !
31/03/2014 09:21
Coucou,
une pensée amicale m'amène vers vous tous et toutes
30/03/2014, 22 h 10 | Mis à jour le 30/03/2014, 23 h 55
"C'est une magnifique victoire", a affirmé Philippe Saurel, ici avec Hélène Mandroux. (RICHARD DE HULLESSEN)
Le dissident socialiste Philippe Saurel a réussi son pari. C'est aux côtés d'Hélène Mandroux maire sortant, ralliement de dernière minute, que le candidat a fait son premier discours dans le hall de l'Hôtel de Ville. Il a été élu avec 37,54 % des voix devant Moure 27,40 %, Jacques Domergue 25,88 % et France Jamet 9,18 %.
Le dissident socialiste Philippe Saurel a remporté ce dimanche 30 mars sa victoire au second tour des élections municipales à Montpellier avec 37,54 % des voix. Il a ainsi qualifié cette prouesse : "Nous sommes devenus les gardiens de la République en Languedoc-Roussillon".
Puis concluant non sans avoir remercié Hélène Mandroux, ralliement de dernière minute et Georges Frêche dont il s'est inspiré durant sa campagne : "C'est une magnifique victoire", a affirmé Philippe Saurel, qui a parlé d'un écart de huit points avec la tête liste de l'union de la gauche conduite par le président de l'agglomération, Jean-Pierre Moure. "Je dédie cette victoire à la République", a-t-il ajouté.
Jean-Pierre Moure : "Mon sentiment, c'est la déception"
"Mon sentiment, c'est la déception", a déclaré de son côté Jean-Pierre Moure qui arrive en deuxième position avec 27,40 % des voix. "Je m'incline devant le seul sondage qui vaille, le vote, je salue le vainqueur. Mais j'espère qu'à l'avenir, l'intérêt général prendra le pas sur les ambitions personnelles", a-t-il encore dit, se disant aussi "victime de la poussée du FN". "Pour ma part, et cela reste ma grande fierté, j'ai été investi par les militants socialistes et j'ai ensuite oeuvré de toutes mes forces au rassemblement de toutes les composantes de la gauche", a ajouté Jean-Pierre Moure, qui avait remporté la primaire du PS dès le premier tour.
Jacques Domergue : "Prêt à travailler avec l'équipe Saurel"
La première réaction de Jacques Domergue, candidat UMP qui a rassemblé 25,88 % : "Je suis prêt à travailler avec l'équipe Saurel sur certains projets. Montpellier, capitale de la santé, si Saurel veut le faire, je l'aiderai. J'ai envoyé un SMS à Philippe pour lui dire "bravo l'artiste". Il faudra maintenant qu'il soit à la hauteur de l'espoir qu'il a fait naître".
France Jamet : "Un vote historique pour nous"
France Jamet a livré sa réaction à chaud à l'annonce du résultat à Montpellier. La candidate du FN a récolté 9,18 % : "C'est un vote historique pour nous à Montpellier. Je vais pouvoir former un groupe de trois élus au conseil municipal et nous serons également deux à l'Agglo. Nous assistons à une recomposition de l'après frêchisme et nous sommes déterminés à en être acteurs dans l'action".
Vendredi, Philippe Saurel, qui s'est posé pendant toute sa campagne comme un candidat anti-système, avait reçu le soutien de Mme Mandroux qui avait déclaré qu'il était le "mieux à même pour prendre (sa) succession et pour battre la droite". Lundi dernier, une rencontre entre MM. Moure et M. Saurel n'avait pu déboucher sur un accord entre les deux hommes.
Philippe Saurel avait été exclu du PS après avoir présenté sa candidature. Il avait auparavant décidé de ne pas participer à la primaire interne du PS et, comme Mme Mandroux, en avait dénoncé l'organisation, affirmant qu'il s'agissait d'une mascarade. "C'est un homme de gauche qui a gagné, même si ce n'est pas le candidat socialiste. On verra dans les prochaines semaines s'il souhaite travailler avec les socialistes", a déclaré le premier secrétaire fédéral du PS Hussein Bourgi. Selon le politologue montpelliérain Michel Crespy, M. Saurel a gagné entre les deux tours autant de points que M. Moure en a perdu, ce qui est "extrêmement rare".