PERDRE SON SANG FROID, C'EST DÉMODÉ (SI SI, ON VOUS ASSURE) ET EN 2016, LE MOT D'ORDRE CE SERA DE RESTER ZEN ET DE GARDER LE SOURIRE AUTANT QUE POSSIBLE. ET GRÂCE À CES ASTUCES, LA TÂCHE SERA PLUS FACILE !
Nous sommes partis à la rencontre de Delphine Bourdet , sophrologue, hypnothérapeute et prof de yoga (ça lui en fait des casquettes), qui nous a livré quelques astuces pour apprendre à avoir la zen-attitude, quelle que soit la situation.
La journée
- Faire du sport
Cela parait basique mais trop de gens minimisent encore l'importance du sport sur le bien-être mental. Une bonne séance permet de relâcher des endorphines, des hormones (aussi connues sous le nom "d'hormones du bonheur") qui provoquent en nous une détente (quasi) absolue.
- Se balader dans la nature La nature a un effet thérapeutique et l'être humain n'est pas fait pour être enfermé dans un bureau toute la journée mais pour s'épanouir en plein air.
Il est donc important, au moins une fois par semaine, de se "ressourcer" en extérieur, que ce soit en bord de mer, à la montagne ou même dans une forêt ou un bois, si l'on habite dans une grande ville.
- Faire des pauses régulièrement
Il est facile de se laisser emporter par le tourbillon de son travail et d'en oublier de faire des pauses et pourtant, elles sont essentielles.
L'idéal, c'est de se lever pour se dégourdir les jambes au moins une fois par heure.
- Se répéter "Et si tout se passait bien ?"
Lorsque l'on se sent stressé ou que l'on appréhende un événement en particulier, on a tendance à imaginer un scénario catastrophe ("et si l'avion s'écrasait", "et si ce chien me mordait", "et si mon copain me trompait", etc).
On chasse toutes les pensées négatives en se répétant cette phrase : "Et si tout se passait bien ?". Cela aide beaucoup, essayez et vous verrez. Le soir
- Manger sain
Un corps sain et entretenu aboutit à un mental plus heureux. Et plus on lui donne des vitamines et des nutriments essentiels, plus l'on se sent en "harmonie avec soi-même" (certes cette phrase fait un peu cliché mais c'est vrai).
- Prendre un bain moussant
Les avis quant au bain du soir divergent mais il est indéniable qu'il aide à se détendre. Pour encore plus de relaxation : on y ajoute de la mousse, un peu d'huile de lavande et même quelques pétales de rose ( Mariah Carey le fait alors pourquoi pas nous). Et surtout, on bannit tout appareil électronique pendant ce moment
.
- Se couper de tout
Pas forcément toute la soirée mais accordez-vous au moins 30 minutes chaque soir (ou chaque matin, c'est selon ce que l'on préfère), juste pour vous. Pas de téléphone, pas d'Internet, on prend un livre (ou on tricote / écrit / fait des mots fléchés / médite) et on profite de cette heure qui n'appartient qu'à nous.
- Cocooner
Les jours froids commencent à se faire sentir, c'est donc la période idéale pour cocooner. Par là, comprendre enfiler un pyjama confortable (voire un onesie , on adore ça), se faire un masque visage / cheveux, se peindre les ongles de pieds et de mains et faire du bien à son corps. Il le mérite, non ?
Pour plonger dans le sujet plus en profondeur et même vous essayer à la sophrologie, vous pouvez visiter le site Internet de Delphine.
Chaques année, le 17 avril, l'Association Française des Hémophiles (AFH) célèbre la Journée Mondiale de l'Hémophilie, avec pour objectifs de sensibiliser un large public aux réalités d'une maladie peu connue et de mobiliser le plus grand nombre en faveur de l'intégration des patients.
Cette journée correspond à la date de naissance, en 1926, de Frank Schnabel, québécois, fondateur de la Fédération Mondiale de l'Hémophilie et a été consacrée comme date de la Journée Mondiale.
Ce qu'en dit la science
L'hémophilie est une maladie hémorragique héréditaire due au déficit d'une protéine de coagulation, habituellement présente dans le plasma. Elle se transmet de façon hériditaire de père en fille et de mère en fils. Son incidence est de 1 à 2 pour 10 000 naissances mâles (environ 5000 hémophiles en France).
La personne hémophile manque d'un élément qui participe à la formation d'un caillot solide dans le processus de coagulation (facteur VIII pour l'hémophilie A ou facteur IX pour l'hémophilie B). Elle ne saigne pas plus qu'une autre, mais plus longtemps car l'hémostase n'est pas complète et le caillot ne "tient" pas.
Selon la localisation de l'hémorragie (externe, interne, intramusculaire profonde, intra-articulaire), l'hémostase doit être assistée par l'injection d'une dose suffisante du médicament antihémophilique habituel, aussi longtemps que la cicatrisation n'est pas assurée durablement.
L'hémophilie et l'avenir ?
La forme majeure de l'hémophilie touche en France près de 5000 personnes. En prenant en compte les formes les plus sévères de la maladie de Willebrand, très proche de l’hémophilie, et les autres maladies de la coagulation, on estime en France à 15 000 le nombre de personnes affectées par un processus de coagulation défaillant.
L'existence de traitements de plus en plus sophistiqués et l'amélioration des conditions de vie des patients qui l'accompagne ne doivent pas masquer la persistance de réelles contraintes : des traitements aux modes d'administration parfois complexes (intraveineuses) et une fragilité naturelle nécessitant une attention soutenue.