Officialisée par les Nations Unies en 1977, la Journée Internationale des Femmes
trouve son origine dans les luttes des ouvrières et suffragettes du début du XXe siècle, pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote.
C’est une journée de manifestations à travers le monde : l’occasion de faire un bilan sur la situation des femmes. Traditionnellement les groupes et associations de militantes préparent des manifestations, pour fêter les victoires et les acquis, faire entendre leurs revendications, afin d’améliorer la situation des femmes.
La Journée internationale des femmes reste aujourd’hui d’une brûlante actualité. Car tant que l’égalité entre les hommes et les femmes ne sera pas atteinte, nous aurons besoin de la célébrer.





















Cela faisait des années que j’y pensais. A vrai dire depuis toujours. Est-ce normal de tuer pour notre propre plaisir ? Car à notre époque et dans nos sociétés développées, il n’est plus question de survie depuis bien longtemps. Bien souvent, lorsque je regardais le morceau de viande dans mon assiette ou ma tranche de jambon, je me demandais, « est-ce normal » de faire cela ?. Est-ce normal d’avoir retiré la vie de cet être, simplement pour que je puisse satisfaire mon palais, pour que je puisse ressentir un goût que j’aime bien, ou peut-être simplement auquel je me suis habituée, ou encore manger un plat que ma région ou mon pays a un jour (souvent il y a très longtemps) décrété comme « traditionnel » ? Et puis chaque fois les mêmes réponses apparaissaient dans ma tête : « Mais les hommes préhistoriques en mangeaient eux aussi, de tous temps cela a existé, c’est que cela doit être normal, c’est moi qui doit être trop sensible… ». Pourtant, je n’arrivais pas à trouver cela « normal ». Je dirai que j’étais plutôt résignée à faire comme tout le monde même si au fond de moi tout mon être me disait que quelque chose n’allait pas.





