* Bonjour, les Pensées O.M.A., des 27 et 28 Décembre 2015 & Belle journée. *
29/12/2015 13:45
Pensée du dimanche 27 décembre 2015
l’Engagement spirituel - ne jamais y renoncer, malgré d’inévitables découragements
Même si vous êtes absolument convaincu du bien-fondé de votre engagement spirituel, vous vous sentez parfois fatigué, saturé au point de commencer à douter. Vous vous demandez si tous ces efforts que vous faites pour marcher dans la voie du dépassement de soi en valent vraiment la peine, et vous êtes tenté de tout abandonner. Eh bien, c’est à ce moment-là que vous devez être vigilant. Tâchez surtout de vous représenter les déceptions qui vous attendent si vous retournez en arrière. Dites-vous : « Bon, en ce moment je suis un peu fatigué, je n’ai plus envie d’avancer, mais ça va bientôt passer ; en attendant, je ne dois pas lâcher prise. » Dans la nature après le printemps vient l’été, puis l’automne, puis l’hiver, et de nouveau après l’hiver, c’est le printemps. Dans l’être humain il y a aussi des cycles, des saisons. Laissez donc passer un peu cet hiver en vous disant que ça ira mieux après. Voilà comment il faut raisonner. N’abandonnez jamais le chemin de la lumière, vous risquez un jour de le regretter et il sera alors bien plus difficile de le retrouver.
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Pensée du lundi 28 décembre 2015
les Richesses que nous partageons nous reviennent inévitablement un jour -
L’Âme universelle entretient la vie chez toutes les créatures
L’Âme universelle entretient la vie chez toutes les créatures, elle les nourrit, les abreuve : sans arrêt elles reçoivent quelque chose de cette abondance.
Alors, pourquoi ne pas nous inspirer de cette générosité en nous efforçant de partager avec les autres tout ce que nous possédons : la beauté, l’intelligence, la richesse, un don artistique, le savoir.
N’oubliez jamais qu’il existe un lien entre le monde d’en bas et le monde d’en haut : lorsque vous faites quelque chose ici, en bas, sur la terre, vous provoquez quelque chose d’identique en haut, dans le Ciel.
D’une façon ou d’une autre ce que vous donnez vous sera un jour rendu, tandis que tout ce que vous gardez pour vous est en partie perdu, vous n’en bénéficierez pas autant que si vous le donniez.
Vous éprouvez de la joie, vous éprouvez de l’amour, confiez-les aussi au Seigneur, à la Mère divine, afin qu’ils l’utilisent pour le bien d’autres créatures. C’est ainsi que cette joie et cet amour vous seront conservés.
Premier livre de Samuel 1,20-22.24-28. Elcana s'unit à Anne sa femme, et le Seigneur se souvint d'elle. Anne conçut et, le temps venu, elle enfanta un fils ; elle lui donna le nom de Samuel (c’est-à-dire : Dieu exauce) car, disait-elle : « Je l’ai demandé au Seigneur. » Elcana, son mari, monta au sanctuaire avec toute sa famille pour offrir au Seigneur le sacrifice annuel et s’acquitter du vœu pour la naissance de l’enfant. Mais Anne n’y monta pas. Elle dit à son mari : « Quand l’enfant sera sevré, je l’emmènerai : il sera présenté au Seigneur, et il restera là pour toujours. » Lorsque Samuel fut sevré, Anne, sa mère, le conduisit à la Maison du Seigneur, à Silo ; l’enfant était encore tout jeune. Anne avait pris avec elle un taureau de trois ans, un sac de farine et une outre de vin. On offrit le taureau en sacrifice, et on amena l’enfant au prêtre Éli. Anne lui dit alors : « Écoute-moi, mon seigneur, je t’en prie ! Aussi vrai que tu es vivant, je suis cette femme qui se tenait ici près de toi pour prier le Seigneur. C’est pour obtenir cet enfant que je priais, et le Seigneur me l’a donné en réponse à ma demande. À mon tour je le donne au Seigneur pour qu’il en dispose. Il demeurera à la disposition du Seigneur tous les jours de sa vie. » Alors ils se prosternèrent devant le Seigneur.
Psaume 84(83),2-3.5-6.9-10. De quel amour sont aimées tes demeures, Seigneur, Dieu de l'univers ! Mon âme s'épuise à désirer les parvis du Seigneur ; mon cœur et ma chair sont un cri vers le Dieu vivant !
Heureux les habitants de ta maison : ils pourront te chanter encore ! Heureux les hommes dont tu es la force : des chemins s'ouvrent dans leur cœur !
Seigneur, Dieu de l'univers, entends ma prière ; écoute, Dieu de Jacob. Dieu, vois notre bouclier, regarde le visage de ton messie.
Première lettre de saint Jean 3,1-2.21-24. Bien-aimés, voyez quel grand amour nous a donné le Père pour que nous soyons appelés enfants de Dieu – et nous le sommes. Voici pourquoi le monde ne nous connaît pas : c’est qu’il n’a pas connu Dieu. Bien-aimés, dès maintenant, nous sommes enfants de Dieu, mais ce que nous serons n’a pas encore été manifesté. Nous le savons : quand cela sera manifesté, nous lui serons semblables car nous le verrons tel qu’il est. Bien-aimés, si notre cœur ne nous accuse pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. Quoi que nous demandions à Dieu, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements, et que nous faisons ce qui est agréable à ses yeux. Or, voici son commandement : mettre notre foi dans le nom de son Fils Jésus Christ, et nous aimer les uns les autres comme il nous l’a commandé. Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui ; et voilà comment nous reconnaissons qu’il demeure en nous, puisqu’il nous a donné part à son Esprit.
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 2,41-52. Chaque année, les parents de Jésus se rendaient à Jérusalem pour la fête de la Pâque. Quand il eut douze ans, ils montèrent en pèlerinage suivant la coutume. À la fin de la fête, comme ils s’en retournaient, le jeune Jésus resta à Jérusalem à l’insu de ses parents. Pensant qu’il était dans le convoi des pèlerins, ils firent une journée de chemin avant de le chercher parmi leurs parents et connaissances. Ne le trouvant pas, ils retournèrent à Jérusalem, en continuant à le chercher. C’est au bout de trois jours qu’ils le trouvèrent dans le Temple, assis au milieu des docteurs de la Loi : il les écoutait et leur posait des questions, et tous ceux qui l’entendaient s’extasiaient sur son intelligence et sur ses réponses. En le voyant, ses parents furent frappés d’étonnement, et sa mère lui dit : « Mon enfant, pourquoi nous as-tu fait cela ? Vois comme ton père et moi, nous avons souffert en te cherchant ! » Il leur dit : « Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut être chez mon Père ? » Mais ils ne comprirent pas ce qu’il leur disait. Il descendit avec eux pour se rendre à Nazareth, et il leur était soumis. Sa mère gardait dans son cœur tous ces événements. Quant à Jésus, il grandissait en sagesse, en taille et en grâce, devant Dieu et devant les hommes.
Fête de la Sainte Famille de Jésus, Marie et Joseph
Commentaire du jour Saint Jean-Paul II (1920-2005), pape Message de Noël, 25 décembre 1994 (trad. Osservatore Romano)
La Sainte Famille et nos familles
Cette année, mon message de Noël s'adresse surtout aux familles. Au terme de l'année qui leur est particulièrement consacrée, notre pensée revient au mystère de la Sainte Famille... Jésus prie le Père des cieux pour que tous soient un. Cette prière est venue sur ses lèvres la veille de sa Passion ; mais il la porte déjà en lui depuis sa naissance : « Père, fais ' qu'ils soient un comme nous sommes un ' » (Jn 17,11). À ce moment-là, ne priait-il pas aussi pour l'unité des familles humaines ?
Il est vrai qu'il priait d'abord pour l'unité de l'Église ; mais la famille, soutenue par un sacrement spécifique, est une cellule vitale de l'Église et elle est même, selon l'enseignement des Pères, une petite Église domestique. Jésus a donc prié depuis sa venue dans le monde pour que ceux qui croient en lui expriment leur communion à partir de l'unité profonde de leurs familles, une unité qui faisait d'ailleurs partie « depuis le commencement » (Mt 19,4) du dessein de Dieu pour l'amour conjugal qui est à l'origine de la famille... Lui qui a fait le « don désintéressé de lui-même » en venant dans ce monde, il a prié pour que tous les hommes, en fondant une famille, fassent pour son bien le don réciproque et désintéressé d'eux-mêmes : maris et femmes, parents et enfants, et toutes les générations qui composent la famille, chacun apportant son propre don particulier.
Famille, Sainte Famille — famille si étroitement unie au mystère que nous contemplons au jour
Commentaire de josiejpgiraudo (27/12/2015 19:13) :
Coucou douce Marie Andre, je viens te faire mon bisous pour le dernier
dimanche de l'anne et te souhaiter une bonne fin de soire, ton amie Josie
* La pensée de ce Samedi 26 Décembre La Vierge Noire & Document/Histoire Musique -- Agréable après-midi. *
26/12/2015 16:42
(10) Enquête d'Ailleurs - Montserrat, l'Enigme de la Vierge noire - You Tube
Francis Poulenc, Litanies à la Vierge Noire. - You Tube
Pensée du samedi 26 décembre 2015
la Vierge noire : un symbole de la matière alchimique - Des Vierges noires sont vénérées depuis des siècles dans certaines églises où leur présence a soulevé beaucoup de questions
Des Vierges noires sont vénérées depuis des siècles dans certaines églises où leur présence a soulevé beaucoup de questions. La réponse est simple : les Vierges noires sont liées au processus alchimique de la transmutation de la matière. La matière première sur laquelle l’alchimiste doit travailler est décrite tout d’abord comme une sorte de chaos originel, et la Vierge noire en est un symbole. C’est pourquoi, le plus souvent, les statues qui la représentent sont placées sous terre, dans des grottes ou des cryptes, parce que cette matière qu’elles symbolisent est extraite de la terre vierge primitive, ce qui est exprimé par l’adjectif « noir ». Et les alchimistes disent que, comme la Vierge a mis l’Enfant-Christ au monde dans la douleur, de même, après une longue cuisson dans le feu, la matière alchimique donne naissance à la pierre philosophale qui transmute les métaux en or et guérit toutes les maladies.