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VIP-Blog de marie-andree
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  • Créé le : 01/02/2008 17:52
    Modifié : 25/04/2020 21:27

    Fille (60 ans)
    Origine : marie-andree
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    * Dimanche des Rameaux et de la Passion *

    08/04/2017 17:38

    * Dimanche des Rameaux et de la Passion *


     

     

    Dimanche des Rameaux et de la Passion
     

     

    Livre d'Isaïe 50,4-7. 

     

    Le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples, pour que je puisse, d’une parole, soutenir celui qui est épuisé. Chaque matin, il éveille, il éveille mon oreille pour qu’en disciple, j’écoute.
    Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé.
    J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
    Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.



    Psaume 22(21),8-9.17-18a.19-20.22c-24a. 

     

    Tous ceux qui me voient me bafouent,
    ils ricanent et hochent la tête :
    « Il comptait sur le Seigneur : qu'il le délivre !
    Qu'il le sauve, puisqu'il est son ami ! »

    Oui, des chiens me cernent,
    une bande de vauriens m'entoure.
    Ils me percent les mains et les pieds ;
    je peux compter tous mes os.

    Ils partagent entre eux mes habits
    et tirent au sort mon vêtement.
    Mais toi, Seigneur, ne sois pas loin :
    ô ma force, viens vite à mon aide !

    Tu m'as répondu !
    Et je proclame ton nom devant mes frères,
    je te loue en pleine assemblée.
    Vous qui le craignez, louez le Seigneur.



    Lettre de saint Paul Apôtre

    aux Philippiens 2,6-11. 

     

    Le Christ Jésus, ayant la condition de Dieu, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu.
    Mais il s’est anéanti, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes. Reconnu homme à son aspect,
    il s’est abaissé, devenant obéissant jusqu’à la mort, et la mort de la croix.
    C’est pourquoi Dieu l’a exalté : il l’a doté du Nom qui est au-dessus de tout nom,
    afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse au ciel, sur terre et aux enfers,
    et que toute langue proclame : « Jésus Christ est Seigneur » à la gloire de Dieu le Père.

     

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    Evangile du jour ...

     

     

    Évangile de Jésus Christ

    selon saint Matthieu 26,14-75.27,1-66. 

     

    En ce temps-là, l’un des Douze, nommé Judas Iscariote, se rendit chez les grands prêtres
    et leur dit : « Que voulez-vous me donner, si je vous le livre ? » Ils lui remirent trente pièces d’argent.
    Et depuis, Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer.
    Le premier jour de la fête des pains sans levain, les disciples s’approchèrent et dirent à Jésus : « Où veux-tu que nous te fassions les préparatifs pour manger la Pâque ? »
    Il leur dit : « Allez à la ville, chez un tel, et dites-lui : “Le Maître te fait dire : Mon temps est proche ; c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque avec mes disciples.” »
    Les disciples firent ce que Jésus leur avait prescrit et ils préparèrent la Pâque.
    Le soir venu, Jésus se trouvait à table avec les Douze.
    Pendant le repas, il déclara : « Amen, je vous le dis : l’un de vous va me livrer. »
    Profondément attristés, ils se mirent à lui demander, chacun son tour : « Serait-ce moi, Seigneur ? »
    Prenant la parole, il dit : « Celui qui s’est servi au plat en même temps que moi, celui-là va me livrer.
    Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux celui par qui le Fils de l’homme est livré ! Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ! »
    Judas, celui qui le livrait, prit la parole : « Rabbi, serait-ce moi ? » Jésus lui répond : « C’est toi-même qui l’as dit ! »
    Pendant le repas, Jésus, ayant pris du pain et prononcé la bénédiction, le rompit et, le donnant aux disciples, il dit : « Prenez, mangez : ceci est mon corps. »
    Puis, ayant pris une coupe et ayant rendu grâce, il la leur donna, en disant : « Buvez-en tous,
    car ceci est mon sang, le sang de l’Alliance, versé pour la multitude en rémission des péchés.
    Je vous le dis : désormais je ne boirai plus de ce fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai, nouveau, avec vous dans le royaume de mon Père. »
    Après avoir chanté les psaumes, ils partirent pour le mont des Oliviers.
    Alors Jésus leur dit : « Cette nuit, je serai pour vous tous une occasion de chute ; car il est écrit : ‘Je frapperai le berger, et les brebis du troupeau seront dispersées.’
    Mais, une fois ressuscité, je vous précéderai en Galilée. »
    Prenant la parole, Pierre lui dit : « Si tous viennent à tomber à cause de toi, moi, je ne tomberai jamais. »
    Jésus lui répondit : « Amen, je te le dis : cette nuit même, avant que le coq chante, tu m’auras renié trois fois. »
    Pierre lui dit : « Même si je dois mourir avec toi, je ne te renierai pas. » Et tous les disciples dirent de même.
    Alors Jésus parvient avec eux à un domaine appelé Gethsémani et leur dit : « Asseyez-vous ici, pendant que je vais là-bas pour prier. »
    Il emmena Pierre, ainsi que Jacques et Jean, les deux fils de Zébédée, et il commença à ressentir tristesse et angoisse.
    Il leur dit alors : « Mon âme est triste à en mourir. Restez ici et veillez avec moi. »
    Allant un peu plus loin, il tomba face contre terre en priant, et il disait : « Mon Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin de moi ! Cependant, non pas comme moi, je veux, mais comme toi, tu veux. »
    Puis il revient vers ses disciples et les trouve endormis ; il dit à Pierre : « Ainsi, vous n’avez pas eu la force de veiller seulement une heure avec moi ?
    Veillez et priez, pour ne pas entrer en tentation ; l’esprit est ardent, mais la chair est faible. »
    De nouveau, il s’éloigna et pria, pour la deuxième fois ; il disait : « Mon Père, si cette coupe ne peut passer sans que je la boive, que ta volonté soit faite ! »
    Revenu près des disciples, de nouveau il les trouva endormis, car leurs yeux étaient lourds de sommeil.
    Les laissant, de nouveau il s’éloigna et pria pour la troisième fois, en répétant les mêmes paroles.
    Alors il revient vers les disciples et leur dit : « Désormais, vous pouvez dormir et vous reposer. Voici qu’elle est proche, l’heure où le Fils de l’homme est livré aux mains des pécheurs.
    Levez-vous ! Allons ! Voici qu’il est proche, celui qui me livre. »
    Jésus parlait encore, lorsque Judas, l’un des Douze, arriva, et avec lui une grande foule armée d’épées et de bâtons, envoyée par les grands prêtres et les anciens du peuple.
    Celui qui le livrait leur avait donné un signe : « Celui que j’embrasserai, c’est lui : arrêtez-le. »
    Aussitôt, s’approchant de Jésus, il lui dit : « Salut, Rabbi ! » Et il l’embrassa.
    Jésus lui dit : « Mon ami, ce que tu es venu faire, fais-le ! » Alors ils s’approchèrent, mirent la main sur Jésus et l’arrêtèrent.
    L’un de ceux qui étaient avec Jésus, portant la main à son épée, la tira, frappa le serviteur du grand prêtre, et lui trancha l’oreille.
    Alors Jésus lui dit : « Rentre ton épée, car tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée.
    Crois-tu que je ne puisse pas faire appel à mon Père ? Il mettrait aussitôt à ma disposition plus de douze légions d’anges.
    Mais alors, comment s’accompliraient les Écritures selon lesquelles il faut qu’il en soit ainsi ? »
    À ce moment-là, Jésus dit aux foules : « Suis-je donc un bandit, pour que vous soyez venus vous saisir de moi, avec des épées et des bâtons ? Chaque jour, dans le Temple, j’étais assis en train d’enseigner, et vous ne m’avez pas arrêté. »
    Mais tout cela est arrivé pour que s’accomplissent les écrits des prophètes. Alors tous les disciples l’abandonnèrent et s’enfuirent.
    Ceux qui avaient arrêté Jésus l’amenèrent devant Caïphe, le grand prêtre, chez qui s’étaient réunis les scribes et les anciens.
    Quant à Pierre, il le suivait à distance, jusqu’au palais du grand prêtre ; il entra dans la cour et s’assit avec les serviteurs pour voir comment cela finirait.
    Les grands prêtres et tout le Conseil suprême cherchaient un faux témoignage contre Jésus pour le faire mettre à mort.
    Ils n’en trouvèrent pas ; pourtant beaucoup de faux témoins s’étaient présentés. Finalement il s’en présenta deux,
    qui déclarèrent : « Celui-là a dit : “Je peux détruire le Sanctuaire de Dieu et, en trois jours, le rebâtir.” »
    Alors le grand prêtre se leva et lui dit : « Tu ne réponds rien ? Que dis-tu des témoignages qu’ils portent contre toi ? »
    Mais Jésus gardait le silence. Le grand prêtre lui dit : « Je t’adjure, par le Dieu vivant, de nous dire si c’est toi qui es le Christ, le Fils de Dieu. »
    Jésus lui répond : « C’est toi-même qui l’as dit ! En tout cas, je vous le déclare : désormais vous verrez le Fils de l’homme siéger à la droite du Tout-Puissant et venir sur les nuées du ciel. »
    Alors le grand prêtre déchira ses vêtements, en disant : « Il a blasphémé ! Pourquoi nous faut-il encore des témoins ? Vous venez d’entendre le blasphème !
    Quel est votre avis ? » Ils répondirent : « Il mérite la mort. »
    Alors ils lui crachèrent au visage et le giflèrent ; d’autres le rouèrent de coups
    en disant : « Fais-nous le prophète, ô Christ ! Qui t’a frappé ? »
    Cependant Pierre était assis dehors dans la cour. Une jeune servante s’approcha de lui et lui dit : « Toi aussi, tu étais avec Jésus, le Galiléen ! »
    Mais il le nia devant tout le monde et dit : « Je ne sais pas de quoi tu parles. »
    Une autre servante le vit sortir en direction du portail et elle dit à ceux qui étaient là : « Celui-ci était avec Jésus, le Nazaréen. »
    De nouveau, Pierre le nia en faisant ce serment : « Je ne connais pas cet homme. »
    Peu après, ceux qui se tenaient là s’approchèrent et dirent à Pierre : « Sûrement, toi aussi, tu es l’un d’entre eux ! D’ailleurs, ta façon de parler te trahit. »
    Alors, il se mit à protester violemment et à jurer : « Je ne connais pas cet homme. » Et aussitôt un coq chanta.
    Alors Pierre se souvint de la parole que Jésus lui avait dite : « Avant que le coq chante, tu m’auras renié trois fois. » Il sortit et, dehors, pleura amèrement.
    Le matin venu, tous les grands prêtres et les anciens du peuple tinrent conseil contre Jésus pour le faire mettre à mort.
    Après l’avoir ligoté, ils l’emmenèrent et le livrèrent à Pilate, le gouverneur.
    Alors, en voyant que Jésus était condamné, Judas, qui l’avait livré, fut pris de remords ; il rendit les trente pièces d’argent aux grands prêtres et aux anciens.
    Il leur dit : « J’ai péché en livrant à la mort un innocent. » Ils répliquèrent : « Que nous importe ? Cela te regarde ! »
    Jetant alors les pièces d’argent dans le Temple, il se retira et alla se pendre.
    Les grands prêtres ramassèrent l’argent et dirent : « Il n’est pas permis de le verser dans le trésor, puisque c’est le prix du sang. »
    Après avoir tenu conseil, ils achetèrent avec cette somme le champ du potier pour y enterrer les étrangers.
    Voilà pourquoi ce champ est appelé jusqu’à ce jour le Champ-du-Sang.
    Alors fut accomplie la parole prononcée par le prophète Jérémie : ‘Ils ramassèrent les trente pièces d’argent, le prix de celui qui fut mis à prix, le prix fixé par les fils d’Israël,
    et ils les donnèrent pour le champ du potier, comme le Seigneur me l’avait ordonné.’
    On fit comparaître Jésus devant Pilate, le gouverneur, qui l’interrogea : « Es-tu le roi des Juifs ? » Jésus déclara : « C’est toi-même qui le dis. »
    Mais, tandis que les grands prêtres et les anciens l’accusaient, il ne répondit rien.
    Alors Pilate lui dit : « Tu n’entends pas tous les témoignages portés contre toi ? »
    Mais Jésus ne lui répondit plus un mot, si bien que le gouverneur fut très étonné.
    Or, à chaque fête, celui-ci avait coutume de relâcher un prisonnier, celui que la foule demandait.
    Il y avait alors un prisonnier bien connu, nommé Barabbas.
    Les foules s’étant donc rassemblées, Pilate leur dit : « Qui voulez-vous que je vous relâche : Barabbas ? ou Jésus, appelé le Christ ? »
    Il savait en effet que c’était par jalousie qu’on avait livré Jésus.
    Tandis qu’il siégeait au tribunal, sa femme lui fit dire : « Ne te mêle pas de l’affaire de ce juste, car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de lui. »
    Les grands prêtres et les anciens poussèrent les foules à réclamer Barabbas et à faire périr Jésus.
    Le gouverneur reprit : « Lequel des deux voulez-vous que je vous relâche ? » Ils répondirent : « Barabbas ! »
    Pilate leur dit : « Que ferai-je donc de Jésus appelé le Christ ? » Ils répondirent tous : « Qu’il soit crucifié ! »
    Pilate demanda : « Quel mal a-t-il donc fait ? » Ils criaient encore plus fort : « Qu’il soit crucifié ! »
    Pilate, voyant que ses efforts ne servaient à rien, sinon à augmenter le tumulte, prit de l’eau et se lava les mains devant la foule, en disant : « Je suis innocent du sang de cet homme : cela vous regarde ! »
    Tout le peuple répondit : « Son sang, qu’il soit sur nous et sur nos enfants ! »
    Alors, il leur relâcha Barabbas ; quant à Jésus, il le fit flageller, et il le livra pour qu’il soit crucifié.
    Alors les soldats du gouverneur emmenèrent Jésus dans la salle du Prétoire et rassemblèrent autour de lui toute la garde.
    Ils lui enlevèrent ses vêtements et le couvrirent d’un manteau rouge.
    Puis, avec des épines, ils tressèrent une couronne, et la posèrent sur sa tête ; ils lui mirent un roseau dans la main droite et, pour se moquer de lui, ils s’agenouillaient devant lui en disant : « Salut, roi des Juifs ! »
    Et, après avoir craché sur lui, ils prirent le roseau, et ils le frappaient à la tête.
    Quand ils se furent bien moqués de lui, ils lui enlevèrent le manteau, lui remirent ses vêtements, et l’emmenèrent pour le crucifier.
    En sortant, ils trouvèrent un nommé Simon, originaire de Cyrène, et ils le réquisitionnèrent pour porter la croix de Jésus.
    Arrivés en un lieu dit Golgotha, c’est-à-dire : Lieu-du-Crâne (ou Calvaire),
    ils donnèrent à boire à Jésus du vin mêlé de fiel ; il en goûta, mais ne voulut pas boire.
    Après l’avoir crucifié, ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort ;
    et ils restaient là, assis, à le garder.
    Au-dessus de sa tête ils placèrent une inscription indiquant le motif de sa condamnation : « Celui-ci est Jésus, le roi des Juifs. »
    Alors on crucifia avec lui deux bandits, l’un à droite et l’autre à gauche.

    Les passants l’injuriaient en hochant la tête ;
    ils disaient : « Toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même, si tu es Fils de Dieu, et descends de la croix ! »
    De même, les grands prêtres se moquaient de lui avec les scribes et les anciens, en disant :
    « Il en a sauvé d’autres, et il ne peut pas se sauver lui-même ! Il est roi d’Israël : qu’il descende maintenant de la croix, et nous croirons en lui !
    Il a mis sa confiance en Dieu. Que Dieu le délivre maintenant, s’il l’aime ! Car il a dit : “Je suis Fils de Dieu.” »
    Les bandits crucifiés avec lui l’insultaient de la même manière.
    À partir de la sixième heure (c’est-à-dire : midi), l’obscurité se fit sur toute la terre jusqu’à la neuvième heure.
    Vers la neuvième heure, Jésus cria d’une voix forte : « Éli, Éli, lema sabactani ? », ce qui veut dire : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
    L’ayant entendu, quelques-uns de ceux qui étaient là disaient : « Le voilà qui appelle le prophète Élie ! »
    Aussitôt l’un d’eux courut prendre une éponge qu’il trempa dans une boisson vinaigrée ; il la mit au bout d’un roseau, et il lui donnait à boire.
    Les autres disaient : « Attends ! Nous verrons bien si Élie vient le sauver. »
    Mais Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l’esprit.
    Et voici que le rideau du Sanctuaire se déchira en deux, depuis le haut jusqu’en bas ; la terre trembla et les rochers se fendirent.
    Les tombeaux s’ouvrirent ; les corps de nombreux saints qui étaient morts ressuscitèrent,
    et, sortant des tombeaux après la résurrection de Jésus, ils entrèrent dans la Ville sainte, et se montrèrent à un grand nombre de gens.
    À la vue du tremblement de terre et de ces événements, le centurion et ceux qui, avec lui, gardaient Jésus, furent saisis d’une grande crainte et dirent : « Vraiment, celui-ci était Fils de Dieu ! »
    Il y avait là de nombreuses femmes qui observaient de loin. Elles avaient suivi Jésus depuis la Galilée pour le servir.
    Parmi elles se trouvaient Marie Madeleine, Marie, mère de Jacques et de Joseph, et la mère des fils de Zébédée.
    Comme il se faisait tard, arriva un homme riche, originaire d’Arimathie, qui s’appelait Joseph, et qui était devenu, lui aussi, disciple de Jésus.
    Il alla trouver Pilate pour demander le corps de Jésus. Alors Pilate ordonna qu’on le lui remette.
    Prenant le corps, Joseph l’enveloppa dans un linceul immaculé,
    et le déposa dans le tombeau neuf qu’il s’était fait creuser dans le roc. Puis il roula une grande pierre à l’entrée du tombeau et s’en alla.
    Or Marie Madeleine et l’autre Marie étaient là, assises en face du sépulcre.
    Le lendemain, après le jour de la Préparation, les grands prêtres et les pharisiens s’assemblèrent chez Pilate,
    en disant : « Seigneur, nous nous sommes rappelé que cet imposteur a dit, de son vivant : “Trois jours après, je ressusciterai.”
    Alors, donne l’ordre que le sépulcre soit surveillé jusqu’au troisième jour, de peur que ses disciples ne viennent voler le corps et ne disent au peuple : “Il est ressuscité d’entre les morts.” Cette dernière imposture serait pire que la première. »
    Pilate leur déclara : « Vous avez une garde. Allez, organisez la surveillance comme vous l’entendez ! »
    Ils partirent donc et assurèrent la surveillance du sépulcre en mettant les scellés sur la pierre et en y plaçant la garde.

     

     

     

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    Commentaire du jour

     

    Dimanche des Rameaux et de la Passion

    Commentaire du jour


    Bienheureux Guerric d'Igny (v. 1080-1157), abbé cistercien
    3e Sermon pour le dimanche des Rameaux ; SC 202 (trad. cf SC, p. 188s et Delhougne, p. 195)

     

     

    « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur »

     

          C'est sous deux aspects bien différents que la fête d'aujourd'hui présente aux enfants des hommes celui que notre âme désire (Is 26,9), « le plus beau des enfants des hommes » (Ps 44,3). Il attire notre regard sous les deux aspects ; sous l'un et l'autre nous le désirons et nous l'aimons, car en l'un et l'autre il est le Sauveur des hommes...

          Si on considère en même temps la procession d'aujourd'hui et la Passion, on voit Jésus, d'un côté sublime et glorieux, de l'autre humilié et douloureux. Car dans la procession il reçoit des honneurs royaux, et dans la Passion on le voit châtié comme un malfaiteur. Ici, la gloire et l'honneur l'environnent ; là « il n'a ni apparence ni beauté » (Is 53,2). Ici, il est la joie des hommes et la fierté du peuple ; là, c'est « la honte des hommes et le mépris du peuple » (Ps 21,7). Ici, on l'acclame : « Hosanna au fils de David. Béni soit le roi d'Israël qui vient ! » Là, on hurle qu'il mérite la mort et on se moque de lui parce qu'il s'est fait roi d'Israël. Ici, on accourt vers lui avec des palmes ; là, ils le soufflettent au visage avec leurs paumes, et on frappe sa tête à coups de roseau. Ici, on le comble d'éloges ; là, il est rassasié d'injures. Ici, on se dispute pour joncher sa route avec le vêtement des autres ; là, on le dépouille de ses propres vêtements. Ici, on le reçoit dans Jérusalem comme le roi juste et le Sauveur ; là, il est chassé de Jérusalem comme un criminel et un imposteur. Ici, il est monté sur un âne, entouré d'hommages ; là, il est pendu au bois de la croix, déchiré par les fouets, transpercé de plaies et abandonné par les siens...

          Seigneur Jésus, que ton visage apparaisse glorieux ou humilié, toujours on y voit luire la sagesse. De ton visage rayonne l'éclat de la lumière éternelle (Sg 7,26). Que brille toujours sur nous, Seigneur, la lumière de ton visage (Ps 4,7) dans les tristesses comme dans les joies... Tu es la joie et le salut de tous, qu'ils te voient monté sur l'âne ou suspendu au bois de la croix.

     

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    *Cinquième dimanche de Carême - Année A*

    01/04/2017 20:56

    *Cinquième dimanche de Carême - Année A*


     
     

     

     

     

     

     

    Cinquième dimanche de Carême

    Année A

     

    Livre d'Ézéchiel 37,12-14.

     

     

    Ainsi parle le Seigneur Dieu : Je vais ouvrir vos tombeaux et je vous en ferai remonter, ô mon peuple, et je vous ramènerai sur la terre d’Israël. Vous saurez que Je suis le Seigneur, quand j’ouvrirai vos tombeaux et vous en ferai remonter, ô mon peuple ! Je mettrai en vous mon esprit, et vous vivrez ; je vous donnerai le repos sur votre terre. Alors vous saurez que Je suis le Seigneur : j’ai parlé et je le ferai – oracle du Seigneur.

    ********************************************

     

    Psaume 130(129),1-2.3-4.5-6ab.7bc-8.

    Des profondeurs je crie vers toi, Seigneur, Seigneur, écoute mon appel ! Que ton oreille se fasse attentive au cri de ma prière ! Si tu retiens les fautes, Seigneur Seigneur, qui subsistera ? Mais près de toi se trouve le pardon pour que l'homme te craigne. J'espère le Seigneur de toute mon âme ; je l'espère, et j'attends sa parole. Mon âme attend le Seigneur plus qu'un veilleur ne guette l'aurore. Oui, près du Seigneur, est l'amour ; près de lui, abonde le rachat. C'est lui qui rachètera Israël de toutes ses fautes.

    *********************************************

    Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 8,8-11.

     

    Frères, ceux qui sont sous l’emprise de la chair ne peuvent pas plaire à Dieu. Or, vous, vous n’êtes pas sous l’emprise de la chair, mais sous celle de l’Esprit, puisque l’Esprit de Dieu habite en vous. Celui qui n’a pas l’Esprit du Christ ne lui appartient pas. Mais si le Christ est en vous, le corps, il est vrai, reste marqué par la mort à cause du péché, mais l’Esprit vous fait vivre, puisque vous êtes devenus des justes. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Jésus, le Christ, d’entre les morts donnera aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.

     

     

     

     Evangile du jour ...

    Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 11,1-45.

    En ce temps-là, il y avait quelqu'un de malade, Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de Marthe, sa sœur. Or Marie était celle qui répandit du parfum sur le Seigneur et lui essuya les pieds avec ses cheveux. C’était son frère Lazare qui était malade. Donc, les deux sœurs envoyèrent dire à Jésus : « Seigneur, celui que tu aimes est malade. » En apprenant cela, Jésus dit : « Cette maladie ne conduit pas à la mort, elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié. » Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare. Quand il apprit que celui-ci était malade, il demeura deux jours encore à l’endroit où il se trouvait. Puis, après cela, il dit aux disciples : « Revenons en Judée. » Les disciples lui dirent : « Rabbi, tout récemment, les Juifs, là-bas, cherchaient à te lapider, et tu y retournes ? » Jésus répondit : « N’y a-t-il pas douze heures dans une journée ? Celui qui marche pendant le jour ne trébuche pas, parce qu’il voit la lumière de ce monde ; mais celui qui marche pendant la nuit trébuche, parce que la lumière n’est pas en lui. » Après ces paroles, il ajouta : « Lazare, notre ami, s’est endormi ; mais je vais aller le tirer de ce sommeil. » Les disciples lui dirent alors : « Seigneur, s’il s’est endormi, il sera sauvé. » Jésus avait parlé de la mort ; eux pensaient qu’il parlait du repos du sommeil. Alors il leur dit ouvertement : « Lazare est mort, et je me réjouis de n’avoir pas été là, à cause de vous, pour que vous croyiez. Mais allons auprès de lui ! » Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau), dit aux autres disciples : « Allons-y, nous aussi, pour mourir avec lui ! » À son arrivée, Jésus trouva Lazare au tombeau depuis quatre jours déjà. Comme Béthanie était tout près de Jérusalem – à une distance de quinze stades (c’est-à-dire une demi-heure de marche environ) –, beaucoup de Juifs étaient venus réconforter Marthe et Marie au sujet de leur frère. Lorsque Marthe apprit l’arrivée de Jésus, elle partit à sa rencontre, tandis que Marie restait assise à la maison. Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant encore, je le sais, tout ce que tu demanderas à DieuDieu te l’accordera. » Jésus lui dit : « Ton frère ressuscitera. » Marthe reprit : « Je sais qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. » Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Elle répondit : « Oui, Seigneur, je le crois : tu es le Christ, le Fils de Dieu, tu es celui qui vient dans le monde. » Ayant dit cela, elle partit appeler sa sœur Marie, et lui dit tout bas : « Le Maître est là, il t’appelle. » Marie, dès qu’elle l’entendit, se leva rapidement et alla rejoindre Jésus. Il n’était pas encore entré dans le village, mais il se trouvait toujours à l’endroit où Marthe l’avait rencontré. Les Juifs qui étaient à la maison avec Marie et la réconfortaient, la voyant se lever et sortir si vite, la suivirent ; ils pensaient qu’elle allait au tombeau pour y pleurer. Marie arriva à l’endroit où se trouvait Jésus. Dès qu’elle le vit, elle se jeta à ses pieds et lui dit : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. » Quand il vit qu’elle pleurait, et que les Juifs venus avec elle pleuraient aussi, Jésus, en son esprit, fut saisi d’émotion, il fut bouleversé, et il demanda : « Où l’avez-vous déposé ? » Ils lui répondirent : « Seigneur, viens, et vois. » Alors Jésus se mit à pleurer. Les Juifs disaient : « Voyez comme il l’aimait ! » Mais certains d’entre eux dirent : « Lui qui a ouvert les yeux de l’aveugle, ne pouvait-il pas empêcher Lazare de mourir ? » Jésus, repris par l’émotion, arriva au tombeau. C’était une grotte fermée par une pierre. Jésus dit : « Enlevez la pierre. » Marthe, la sœur du défunt, lui dit : « Seigneur, il sent déjà ; c’est le quatrième jour qu’il est là. » Alors Jésus dit à Marthe : « Ne te l’ai-je pas dit ? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. » On enleva donc la pierre. Alors Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, je te rends grâce parce que tu m’as exaucé. Je le savais bien, moi, que tu m’exauces toujours ; mais je le dis à cause de la foule qui m’entoure, afin qu’ils croient que c’est toi qui m’as envoyé. » Après cela, il cria d’une voix forte : « Lazare, viens dehors ! » Et le mort sortit, les pieds et les mains liés par des bandelettes, le visage enveloppé d’un suaire. Jésus leur dit : « Déliez-le, et laissez-le aller. » Beaucoup de Juifs, qui étaient venus auprès de Marie et avaient donc vu ce que Jésus avait fait, crurent en lui. 11 11 Servez - vous Merci de laisser un petit com ça fait toujours plaisir

     

     

    Commentaire du jour

     Cinquième dimanche de Carême

    Commentaire du jour

    Saint Jean de Damas (v. 675-749), moine, théologien, docteur de l'Église Triode des Matines du Samedi de Lazare, Odes 6-9 (trad. Bouchet, Lectionnaire, p. 148 rev.)

    « Jésus pleura. Les Juifs se dirent : Voyez comme il l'aimait » Étant Dieu véritable, tu connaissais, Seigneur, le sommeil de Lazare et tu l'as prédit à tes disciples... Étant dans la chair, toi qui es pourtant sans limite, tu viens à Béthanie. Vrai homme, tu pleures sur Lazare ; vrai Dieu, par ta volonté tu ressuscites ce mort de quatre jours. Aie pitié de moi, Seigneur ; nombreuses sont mes transgressions. De l'abîme des maux, je t'en supplie, ramène-moi. C'est vers toi que j'ai crié ; écoute-moi, Dieu de mon salut. Pleurant sur ton ami, dans ta compassion tu as mis fin aux larmes de Marthe, et par ta Passion volontaire tu as essuyé toute larme du visage de ton peuple (Is 25,8). « Dieu de nos Pères, tu es béni. » (Esd 7,27) Gardien de la vie, tu as appelé un mort comme s'il dormait. Par une parole tu as déchiré le ventre des enfers et tu as ressuscité celui qui s'est mis à chanter : « Dieu de nos Pères, tu es béni ». Moi, étranglé par les liens de mes péchés, relève-moi aussi et je chanterai : « Dieu de nos Pères, tu es béni »... Dans sa reconnaissance Marie t'apporte, Seigneur, un vase de myrrhe comme un dû pour son frère (Jn 12,3), et elle te chante dans tous les siècles. Comme mortel, tu invoques le Père ; comme Dieu, tu réveilles Lazare. C'est pourquoi nous te chantons, ô Christ, pour les siècles des siècles... Tu réveilles Lazare, un mort de quatre jours ; tu le fais surgir du tombeau, le désignant ainsi comme témoin véridique de ta résurrection le troisième jour. Tu marches, tu pleures, tu parles, mon Sauveur, montrant ta nature humaine ; mais en réveillant Lazare tu révèles ta nature divine. De manière indicible, Seigneur mon Sauveur, selon tes deux natures, souverainement, tu as accompli mon salut.

     

     

     

     






    * Décret Céleste du 20 mars 2017 pour le commencement de l?age d?or. *

    26/03/2017 12:31

    * Décret Céleste du 20 mars 2017 pour le commencement de l?age d?or. *


     

    Décret Céleste du 20 mars 2017 pour le commencement de l’age d’or

    « Voici le décret des Gardiens Angéliques qui sont les 14 grands Aéons de la Première Création. Il a été décidé de mettre fin à l’ancienne Terre et de commencer l’Age d’Or !

    Cette décision prendra pleinement effet le 20 mars 2017.

    La fin de l’actuel projet de l’ascension pour la planète Terre sera maintenant actée.

    En outre, nous avons instauré que les êtres humains avec deux brins d’ADN et les humains angéliques à 5 brins et au-delà, n’occuperont plus le même espace en même temps. A cet effet deux réalités de lignes temporelles séparées ont été créées pour que chaque groupe puisse y vivre, pour éviter l’accroissement du chaos vibratoire.

    Dans ce décret, Il a été décidé par les saints Archanges, que tous les archons restants dans la galaxie de la Voie Lactée seront ramenés sous escorte à la lumière de la source pour un réassemblage au niveau de leur âme et existeront comme s’ils n’étaient plus.

    C’est le premier devoir de l’Archange Michaël. Les archons étaient ce qu’on désignait comme Satan, le Diable et le Dragon dans la Chrétienté catholique. A la date du calendrier terrestre du 20 mars 2017, ma lance divine les transpercera et il n’y aura plus de place pour eux où que ce soit ! Moi seul les empêcherai à jamais de dérober la force vitale à tout être conscient. C’est ma mission divine et mon principal objectif.

    Cela mettra fin à toute souffrance provoquée à soi-même, à autrui, ou à n’importe quoi d’autre à tout jamais !

    Ce verdict, résulte du Décret de l’hôte angélique et du Créateur Suprême !

    C’est un commandement des Saints qu’à présent, le Royaume des Cieux est arrivé sur Terre, pour que tous ceux qui le cherchent puissent le voir.

    Ce Décret céleste est destiné à entrer en vigueur à la date du calendrier terrestre du 20 mars 2017, afin que les vivants sachent que le Créateur Suprême et ses premières créations sont là pour élever le Royaume de l’humanité, et nous accordons la vie éternelle et tous les Royaumes de l’Univers à qui nous voulons et l’étendons aux hommes et aux femmes les plus modestes.

    Ce Décret de l’Alpha et de l’Omega a pour témoin et j’en suis le signataire, Moi l’Archange Michaël, celui-ci est lié dans les Cieux et la Terre aux yeux de tous, et entrera en vigueur pour toujours par mon sceau de vérité.

    Que ce Décret entre en vigueur maintenant, et devienne en permanence partie intégrante des Annales Akashiques.

    Michaël Christos
    L’Archange Michaël
    Scellé par le Sceau de Vérité à jamais

    Dernier Avertissement aux Etres de la Terre :

    Il m’a été remis, en tant que gardien du plan Divin pour l’ascension de l’Humanité, le Décret céleste en haut, sur toute l’humanité.

    En tant que messagers angéliques, nous vous demandons de prendre ce message très au sérieux et de prendre garde, que ce qui est le plus important pour vous, c’est de décider quelle chemin vous allez choisir.

    Même si, il pourrait être trop tard pour faire un choix donc nous vous le disons : mettez-y toute votre conviction !

    Il faut que vous vous libériez de toutes les choses inférieures et cherchiez Dieu de tout votre cœur, en votre âme et conscience, sans relâche.

    Libérez-vous complètement de cette matrice insensée de mensonges et réveillez-vous du rêve mortel qui est le vôtre.

    Purifiez-vous et libérez-vous du passé ! Ne recherchez que les connaissances profondes des anciens mystères !

    Le temps est écoulé, mes chers, et nous vous avons appelé depuis toujours à venir célébrer un grand mariage dans les Cieux mais beaucoup d’entre vous ne veulent pas venir !

    Nous avons reçu pour instruction de cesser de vous appeler à présent, donc après cet appel, il n’y en aura plus d’autre ! Vous serez livrés à vous-même et nous irons là où nous devons aller.

    A la date du calendrier terrestre du 20 mars 2017, tous les Etres de la Terre devront emprunter un des chemins, entre deux lignes temporelles vibratoires distinctes.

    La première ligne temporelle terrestre mènera à la Nouvelle Terre.

    La deuxième ligne temporelle terrestre mènera au royaume de l’astral inférieur.

    Les Gardiens du Temps ont décrété que le temps imparti à ce projet est écoulé et que tous les êtres devront être répartis dans une des deux lignes temporelles ci-dessus. Cela a toujours été une décision de libre-arbitre et qu’il soit conscient ou inconscient, chaque être devra avoir fait son choix à la date terrestre du 20 mars 2017. Il n’y a pas de retour en arrière possible ou de saut entre lignes temporelles concernant ce projet après cette échéance.

    Les Etres sur la ligne une, resteront dans leur corps et transiteront vers la 5ème dimension et seront finalement aptes à vibrer dans la réalité du Royaume des Cieux.

    Les êtres sur la ligne temporelle deux vont sortir de leur corps physique en raison des changements terrestres puissants et vont ajuster leur karma durant le temps qu’il faudra. Le monde astral est un monde de rêves, où le temps paraît long, mais la loi d’attraction est grandement amplifiée dans ce royaume et quelle que soit la vibration de l’être, elle deviendra leur réalité immédiatement.

    Le Royaume astral n’est pas l’enfer car il n’existe pas, mais il pourrait bien le devenir ! Imaginez la pire souffrance que vous puissiez infliger à autrui et des milliers d’êtres voulant vous l’infliger encore et encore à une intensité 100 fois supérieure. C’est ainsi que fonctionne le Royaume astral d’un point de vue de vibrations inférieures.

    La bonne nouvelle c’est que vous pouvez sortir du Royaume astral et que ce n’est pas pour toujours. Comment pouvez-vous en sortir ?

    Vous devez devenir un cœur repenti et en appeler à un Etre divin ! C’est la seule manière d’en sortir !

    Tous les êtres vont ascensionner pour revenir à la lumière. C’est juste qu’un groupe le fait d’une manière, et que ceux qui ne se sont pas prêts le font d’une autre façon !

    Nous croyons que notre message a été entendu et que tous les choix ont été faits !

    Que Dieu vous garde !

    L’Archange Michaël

    Source :https://eraoflight.com/2017/03/14/archangel-michael-final-warning-to-the-beings-of-earthdiscernment/

    Publié par : http://www.laforceuneenaction.com/

    Partagé par : www.messagescelestes-archives.ca – Messages Célestes

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    N’oubliez pas, utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes. Vous avez un Libre Arbitre, alors utilisez le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre coeur ; Il détient la vérité, laissez le vous guider.

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