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VIP-Blog de marie-andree
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  • Créé le : 01/02/2008 17:52
    Modifié : 25/04/2020 21:27

    Fille (60 ans)
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    * Bonjour, Pensée du jour & "Pierres précieuses",antennes capable: capter,transmettre des messages & Images § "The Wings of Love"-La Pierre Sacrée / Mi

    19/12/2015 08:42

    * Bonjour, Pensée du jour & "Pierres précieuses",antennes capable: capter,transmettre des messages & Images § "The Wings of Love"-La Pierre Sacrée / Mi


    Pensée du samedi 19 décembre 2015

    les Pierres précieuses - des antennes capables de capter et de transmettre des messages

     

    Aussi petite soit-elle, une pierre précieuse est une particule de matière capable de retenir une force cosmique. Mais vous ne devez pas compter sur elle en pensant qu’elle va vous protéger, vous guérir, vous donner des pouvoirs, vous ouvrir les portes du monde spirituel ; si vous ne savez pas comment la considérer et l’utiliser, elle ne vous servira à rien. Les pierres précieuses sont déjà préparées par la nature pour capter certaines énergies du cosmos et les projeter, les diffuser. Mais il ne suffit pas de les posséder pour bénéficier de leurs vertus. Chaque pierre est semblable à une antenne et, comme à une antenne, il faut lui donner une fonction, des messages à transmettre. Derrière cette pierre, il y a des forces qui tournent, qui vibrent, mais c’est à vous de les fixer, de les orienter, afin de les faire servir à votre travail.

     Omraam Mikhaël Aïvanhov 

    * BELLE JOURNEE *

     ♥ Michel Pépé - The Wings of Love - La Pierre Sacreé♥ 






    * Un conte de Noël -- "Le Bonhomme de Neige" de Hans-Christian Andersen.

    18/12/2015 22:03

    * Un conte de Noël -- "Le Bonhomme de Neige" de Hans-Christian Andersen.


     

     

    Le Bonhomme de Neige  Format imprimable  Format imprimable

     

    Quel beau froid il fait aujourd'hui ! dit le Bonhomme de neige. Tout mon corps en craque de plaisir. Et ce vent cinglant, comme il vous fouette agréablement ! Puis, de l'autre côté, ce globe de feu qui me regarde tout béat ! 

    Il voulait parler du soleil qui disparaissait à ce moment. 
    - Oh ! il a beau faire, il ne m'éblouira pas ! Je ne lâcherai pas encore mes deux escarboucles. 
    Il avait, en effet, au lieu d'yeux, deux gros morceaux de charbon de terre brillant et sa bouche était faite d'un vieux râteau, de telle façon qu'on voyait toutes ses dents. Le bonhomme de neige était né au milieu des cris de joie des enfants. 
    Le soleil se coucha, la pleine lune monta dans le ciel ; ronde, et grosse, claire et belle, elle brillait au noir firmament. 
    - Ah ! le voici qui réapparaît de l'autre côté, dit le Bonhomme de neige. 
    Il pensait que c'était le soleil qui se montrait de nouveau. 
    - Maintenant, je lui ai fait atténuer son éclat. Il peut rester suspendu là-haut et paraître brillant ; du moins, je peux me voir moi-même. Si seulement je savais ce qu'il faut faire pour bouger de place! J'aurais tant de plaisir à me remuer un peu ! Si je le pouvais, j'irais tout de suite me promener sur la glace et faire des glissades, comme j'ai vu faire aux enfants. Mais je ne peux pas courir. 
    - Ouah ! ouah ! aboya le chien de garde. 


    Il ne pouvait plus aboyer juste et était toujours enroué, depuis qu'il n'était plus chien de salon et n'avait plus sa place sous le poêle.
    - Le soleil t'apprendra bientôt à courir. Je l'ai bien vu pour ton prédécesseur, pendant le dernier hiver. Ouah ! ouah ! 
    - Je ne te comprends pas, dit le Bonhomme de neige. C'est cette boule, là-haut (il voulait dire la lune), qui m'apprendra à courir ? C'est moi plutôt qui l'ai fait filer en la regardant fixement, et maintenant elle ne nous revient que timidement par un autre côté.
    - Tu ne sais rien de rien, dit le chien ; il est vrai aussi que l'on t'a construit depuis peu. Ce que tu vois là, c'est la lune ; et celui qui a disparu, c'est le soleil. Il reviendra demain et, tu peux m'en croire, il saura t'apprendre à courir dans le fossé. Nous allons avoir un changement de temps. Je sens cela à ma patte gauche de derrière. J'y ai des élancements et des picotements très forts. 


    - Je ne le comprends pas du tout, se dit à lui-même le Bonhomme de neige, mais j'ai le pressentiment qu'il m'annonce quelque chose de désagréable. Et puis, cette boule qui m'a regardé si fixement avant de disparaître, et qu'il appelle le soleil, je sens bien qu'elle aussi n'est pas mon amie. 
    - Ouah ! ouah ! aboya le chien en tournant trois fois sur lui-même. 
    Le temps changea en effet. Vers le matin, un brouillard épais et humide se répandit sur tout le pays, et, un peu avant le lever du soleil, un vent glacé se leva, qui fit redoubler la gelée. Quel magnifique coup d'œil, quand le soleil parut ! Arbres et bosquets étaient couverts de givre et toute la contrée ressemblait à une forêt de blanc corail. C'était comme si tous les rameaux étaient couverts de blanches fleurs brillantes.

     
     

    Les ramifications les plus fines, et que l'on ne peut remarquer en été, apparaissaient maintenant très distinctement. On eût dit que chaque branche jetait un éclat particulier, c'était d'un effet éblouissant. Les bouleaux s'inclinaient mollement au souffle du vent ; il y avait en eux de la vie comme les arbres en ont en plein été. Quand le soleil vint à briller au milieu de cette splendeur incomparable, il sembla que des éclairs partaient de toutes parts, et que le vaste manteau de neige qui couvrait la terre ruisselait de diamants étincelants. 
    - Quel spectacle magnifique ! s'écria une jeune fille qui se promenait dans le jardin avec un jeune homme. Ils s'arrêtèrent près du Bonhomme de neige et regardèrent les arbres qui étincelaient. Même en été, on ne voit rien de plus beau ! 


     

    - Surtout on ne peut pas rencontrer un pareil gaillard ! répondit le jeune homme en désignant le Bonhomme de neige. Il est parfait ! 
    - Qui était-ce ? demanda le Bonhomme de neige au chien de garde. Toi qui es depuis si longtemps dans la cour, tu dois certainement les connaître ? 
    - Naturellement ! dit le chien. Elle m'a si souvent caressé, et lui m'a donné tant d'os à ronger. Pas de danger que je les morde ! 
    - Mais qui sont-ils donc ? 
    - Des fiancés, répondit le chien. Ils veulent vivre tous les deux dans la même niche et y ronger des os ensemble. Ouah! ouah ! 
    - Est-ce que ce sont des gens comme toi et moi ? 
    - Ah ! mais non ! dit le chien. Ils appartiennent à la famille des maîtres ! Je connais tout ici dans cette cour ! Oui, il y a un temps où je n'étais pas dans la cour, au froid et à l'attache pendant que souffle le vent glacé. Ouah ! ouah ! 
    - Moi, j'adore le froid ! dit le Bonhomme de neige. Je t'en prie, raconte. Mais tu pourrais bien faire moins de bruit avec ta chaîne. Cela m'écorche les oreilles. 


     

    - Ouah ! ouah ! aboya le chien. J'ai été jeune chien, gentil et mignon, comme on me le disait alors. J'avais ma place sur un fauteuil de velours dans le château, parfois même sur le giron des maîtres. On m'embrassait sur le museau, et on m'époussetait les pattes avec un mouchoir brodé. On m'appelait « Chéri ». Mais je devins grand, et l'on me donna à la femme de ménage. J'allai demeurer dans le cellier ; tiens ! d'où tu es, tu peux en voir l'intérieur. Dans cette chambre, je devins le maître ; oui, je fus le maître chez la femme de ménage. C'était moins luxueux que dans les appartements du dessus, mais ce n'en était que plus agréable.

    Les enfants ne venaient pas constamment me tirailler et me tarabuster comme là-haut. Puis j'avais un coussin spécial, et je me chauffais à un bon poêle, la plus belle invention de notre siècle, tu peux m'en croire. Je me glissais dessous et l'on ne me voyait plus. Tiens ! j'en rêve encore. 
    - Est-ce donc quelque chose de si beau qu'un poêle ? reprit le Bonhomme de neige après un instant de réflexion. 
    - Non, non, tout au contraire ! C'est tout noir, avec un long cou et un cercle en cuivre. Il mange du bois au point que le feu lui en sort par la bouche. Il faut se mettre au-dessus ou au-dessous, ou à côté, et alors, rien de plus agréable. Du reste, regarde par la fenêtre, tu l'apercevras. 

     

    Le Bonhomme de neige regarda et aperçut en effet un objet noir, reluisant, avec un cercle en cuivre, et par-dessous lequel le feu brillait. Cette vue fit sur lui une impression étrange, qu'il n'avait encore jamais éprouvée, mais que tous les hommes connaissent bien. 
    - Pourquoi es-tu parti de chez elle ? demanda le Bonhomme de neige. 
    Il disait : elle, car, pour lui, un être si aimable devait être du sexe féminin. 
    - Comment as-tu pu quitter ce lieu de délices ? 
    - Il le fallait bon gré mal gré, dit le chien. On me jeta dehors et on me mit à l'attache, parce qu'un jour je mordis à la jambe le plus jeune des fils de la maison qui venait de me prendre un os. Les maîtres furent très irrités, et l'on m'envoya ici à l'attache. Tu vois, avec le temps, j'y ai perdu ma voix. J'aboie très mal. 
    Le chien se tut.

    Mais le Bonhomme de neige n'écoutait déjà plus ce qu'il lui disait. Il continuait à regarder chez la femme de ménage, où le poêle était posé. 
    - Tout mon être en craque d'envie, disait-il. Si je pouvais entrer ! Souhait bien innocent, tout de même ! Entrer, entrer, c'est mon voue le plus cher ; il faut que je m'appuie contre le poêle, dussé-je passer par la fenêtre ! 
    - Tu n'entreras pas, dit le chien, et si tu entrais, c'en serait fait de toi. 
    - C'en est déjà fait de moi, dit le Bonhomme de neige ; l'envie me détruit. 

     

    Toute la journée il regarda par la fenêtre. Du poêle sortait une flamme douce et caressante ; un poêle seul, quand il a quelque chose à brûler, peut produire une telle lueur ; car le soleil ou la lune, ce ne serait pas la même lumière. Chaque fois qu'on ouvrait la porte, la flamme s'échappait par-dessous. La blanche poitrine du Bonhomme de neige en recevait des reflets rouges. 
    - Je n'y puis plus tenir ! C'est si bon lorsque la langue lui sort de la bouche ! 

     

    La nuit fut longue, mais elle ne parut pas telle au Bonhomme de neige. Il était plongé dans les idées les plus riantes. Au matin, la fenêtre du cellier était couverte de givre, formant les plus jolies arabesques qu'un Bonhomme de neige pût souhaiter ; seulement, elles cachaient le poêle. La neige craquait plus que jamais ; un beau froid sec, un vrai plaisir pour un Bonhomme de neige. 
    Un coq chantait en regardant le froid soleil d'hiver.

    Au loin dans la campagne, on entendait résonner la terre gelée sous les pas des chevaux s'en allant au labour, pendant que le conducteur faisait gaiement claquer son fouet en chantant quelque ronde campagnarde que répétait après lui l'écho de la colline voisine. 
     

    Et pourtant le Bonhomme de neige n'était pas gai. Il aurait dû l'être, mais il ne l'était pas. 
    Aussi, quand tout concourt à réaliser nos souhaits, nous cherchons dans l'impossible et l'inattendu ce qui pourrait arriver pour troubler notre repos ; il semble que le bonheur n'est pas dans ce que l'on a la satisfaction de posséder, mais tout au contraire dans l'imprévu d'où peut souvent sortir notre malheur. 
    C'est pour cela que le Bonhomme de neige ne pouvait se défendre d'un ardent désir de voir le poêle, lui l'homme du froid auquel la chaleur pouvait être si désastreuse.

    Et ses deux gros yeux de charbon de terre restaient fixés immuablement sur le poêle qui continue à brûler sans se douter de l'attention attendrie dont il était l'objet. 
    - Mauvaise maladie pour un Bonhomme de neige ! pensait le chien. Ouah ! ouah ! Nous allons encore avoir un changement de temps ! 


     

    Et cela arriva en effet : ce fut un dégel. Et plus le dégel grandissait, plus le Bonhomme de neige diminuait. Il ne disait rien ; il ne se plaignait pas ; c'était mauvais signe. Un matin, il tomba en morceaux, et il ne resta de lui qu'une espèce de manche à balai. Les enfants l'avaient planté en terre, et avaient construit autour leur Bonhomme de neige. 
     

    - Je comprends maintenant son envie, dit le chien.

    C'est ce qu'il avait dans le corps qui le tourmentait ainsi ! Ouah ouah ! 
     

    Bientôt après, l'hiver disparut à son tour. 
     

    - Ouah ! ouah ! aboyait le chien ; et une petite fille chantait dans la cour :

    Ohé ! voici l'hiver parti 
    Et voici Février fini ! 
    Chantons : Coucou ! 
    Chantons ! Cui... uitte ! 
    Et toi, bon soleil, viens vite !

    Personne ne pensait plus au Bonhomme de neige.

     
     
     
     

     



    Commentaire de sorellaangell (20/12/2015 13:09) :

    sorellaangell 100 kikoo ma douce amie...je te souhaite par ce message d'Amitié que je t'envoie en cadeau, un bon dimanche, suivi d'une belle semaine a venir...j'espère que tout vas bien pour toi, je te le souhaite du plus profond de mon coeur....prends bien soin de toi...de tendre bisous du coeur de ton amie Sorella

    http://sorellaangell.vip-blog.com/




    * Origines du Père Noël § Images. *

    18/12/2015 21:34

    * Origines du Père Noël § Images. *


    Le Père Noël « vert »



    Saint Nicolas entama une tournée mondiale. Mince et barbu, il était doté d'un long vêtement à capuche, d'une mitre et d'une crosse d'évêque. Les Hollandais l'adoptèrent et lui donnèrent le diminutif de Sinter Klaas. Ils lui offrirent un manteau vert à capuchon et, au XVIIe siècle, l'emmenèrent avec eux aux États-Unis, où son nom devint Santa Claus.

    Dans les années 1820, Santa Claus se vit attribuer, par l'auteur new-yorkais Clement Clarke Moore, un traîneau tiré par huit rennes.

    Vers 1860, le journal new-yorkais Harper's Illustrated Weekly lui offrit un relooking. Devenu plus dodu, il troqua ses habits verts pour un costume rouge et un bonnet bordés de fourrure blanche. Le journal l'embaucha comme illustration du caricaturiste Thomas Nast.

    Histoire du Père Noël
    Comment est né ce fameux Père Noël ?
    C'est Saint Nicolas qui a inspiré le Père Noël... 


    A la base le père noël était vert, mais il est devenu rouge un peu plus tard... on a dit alors que cette couleur était due à un coup marketing, alors que le père noël était déja considéré comme rouge...simplement avec coca cola, tout le monde s'est accordé à dire qu'il était rouge

    On retrouve dans la représentation du Père Noël tout ce qui faisait la symbolique du personnage de Saint Nicolas, c'est à dire; Sa longue barbe blanche, la mite qui est devenu un bonnet de fourrure, le grand manteau rouge. Il voyage sur un traîneau tiré par des rênes, Saint Nicolas, lui, voyageait sur le dos d'un âne. 
    C'est pour cette raison que, dans certaines région de France, les enfants déposent au pied du sapin, un verre de vin pour le Père Noël et une carotte pour les rênes. 

    Saint Nicolas a été importé aux Etats-Unis au XVIIe siècle par des immigrés allemands où il aurait pris une ampleur commerciale que nous connaissons tous actuellement. 
    Il a subi des transformations vestimentaires et culturelles pour ce transformer en notre Père Noël. 

    C'est en 1809, qu'un écrivain, parle pour la première fois, des déplacements aériens de saint Nicolas pour la traditionnelles distributions de cadeaux. 

    Puis en 1821, un pasteur écrivit un conte de Noël pour ses enfants, où le Père Noël apparaît sympathique, dans son traîneau tiré par ses huit rennes. 
    Cet écrivain fit du Père Noël un personnage dodu, jovial et souriant. 

    C'est en 1860, qu'un illustrateur et caricaturiste, habilla Santa-Clause d'un costume rouge, garni d'une fourrure blanche et d'un ceinturon en cuir. 

    Et en 1885, ce même illustrateur établissait la résidence officielle du Père Noël au pôle Nord. 

    Puis en 1931, Grâce à Coca cola, le Père Noël pris une toute nouvelle allure dans une image publicitaire. Il a désormais une stature humaine (ventre rebondissant, figure sympathique, air jovial...) 


    Coca-cola diffusa ce portrait du Père Noël dans la presse, à la télévision partout dans le monde, et l'idée que les enfants se font aujourd'hui du Père Noël est fortement imprégné de cette image.
    Histoire du Père Noël

    La véritable naissance du Père Noël



    Au XVIe siècle, une réforme religieuse diminue l’importance des saints. La naissance de Jésus devient la raison principale de célébrer Noël. Saint Nicolas devient donc un simple homme qui distribue des cadeaux pour féliciter les enfants qui ont été sages toute l’année durant. C’est à ce moment que son nom devient Santa Claus ou Père Noël. Du même coup, le père Fouettard tombe aux oubliettes.

    Aujourd’hui, Santa Claus sert davantage d’outil de vente international. En effet, cette forte image publicitaire est utilisée dans des pays où il n’y a pourtant aucune tradition chrétienne, comme en Chine.

    Ce très cher Père Noël viendrait, selon les Américains, du Pôle Nord. Peut-être, mais plusieurs pays revendiquent que la «résidence secondaire» de l’homme en rouge serait sur leur territoire. Les Norvégiens vont même jusqu’à déclarer Droeback, près d’Oslo, comme étant le lieu de sa résidence permanente. Les Suédois soutiennent plutôt qu’il habite Gesunda, un petit village au nord-ouest de Stockholm. Finalement, les Danois affirment qu’il vit principalement au Groenland — ce qui le rapprocherait du Québec!

    En 1927, les Finlandais, usant de génie, décrétèrent que le Pôle Nord n’était pas un habitat propice pour le Père Noël, pas plus que tous les lieux précisés ci-haut, car il possède des rennes qu’il doit nourrir. Sa résidence permanente est alors fixée au Korvatunturi, en Laponie. Par la suite, trouvant ce lieu trop isolé, les Finlandais le déménagèrent à Rovaniemi, une ville un peu moins à l’écart. Ceci ne fut pas sans déplaire aux Sibériens qui affirmaient abriter le Père Noël, même s’ils revendiquaient déjà abriter Ded Moroz, le cousin serbo-russe de Santa Claus, qu’ils fêtent le 7 janvier.

    En ce qui concerne le Canada, plusieurs clament haut et fort que le Père Noël habite dans les Territoires du Nord-Ouest… Toutefois, Le Collectif vous déclare en exclusivité qu’il habite Sherbrooke et se cache sous le nom de Donald! En effet, ce sherbrookois possède une vraie barbe blanche, une moustache grise pâle qui retrousse d’elle-même, des pommettes rosées, et même le rire typique, ce fameux «Ho! ho! ho!»

    L’histoire du Père Noël

    Le Père Noël a plusieurs origines. Son image en couleurs, telle qu’on la connaît aujourd’hui, est celle qu’a officiellement instaurée Coca-Cola, en 1931. Par contre, ce gros bonhomme au manteau rouge et à la barbe blanche était déjà connu de la population. Plusieurs compagnies avaient utilisé un personnage semblable dans leurs publicités. Michelin, par exemple, l’avait utilisé avant Coca-Cola et nous avait même fourni, dans son éventail de cartes routières, un plan détaillé pour se rendre chez la Mère et le Père Noël. Le gros bonhomme rouge est donc apparu aux États-Unis au XIXe siècle et en France au XXe siècle. C’est à l’occasion de la Seconde Guerre mondiale que les Américains ont fait connaître ce célèbre personnage aux Français.


    D’où le mythe tire-t-il ses origines?

    Certaines sources parlent du lutin nordique, Juleniss, qui apportait des cadeaux au milieu de l’hiver lors de la fête de Midtvintersblot. C’est de ce petit être que Santa Claus garde la barbe, le manteau en fourrure et le bonnet. D’autres parlent du dieu viking Odin, un grand être qui descendait du ciel pour remettre des présents aux jeunes scandinaves. Enfin, le Père Noël descendrait aussi d’un dieu celte, Gargan, un géant de pierre relié à l’errance et à la résistance, tout comme Saint Nicolas, car celui-ci se promenait sans cesse.

     

    C’est de lui que serait inspiré le personnage actuel de Santa Claus. Nicolas de Myre, un Turc du sud, vivait au IVe siècle. Une légende rapporte qu’à un moment où il se promenait, il aurait sauvé trois enfants d’une mort certaine par noyade. Avec le temps, cette légende a pris de l’ampleur et on l’a rapidement associée à celle d’un homme qui distribue, à chaque mois de décembre, des cadeaux aux gentils enfants. Cet homme portait une barbe longue et blanche, une crosse d’évêque, une mitre – une coiffure liturgique – et un grand vêtement ample à capuche. Le mythe s’est enrichi au XIIe siècle, lorsque le père Fouettard, un personnage punissant les vilains petits monstres, est «apparu». Dès ce moment, la population s’est mise à célébrer à chaque mois de décembre, pendant que Saint Nicolas et le père Fouettard allaient de maison en maison pour donner aux enfants le présent qu’ils méritaient.

    Histoire du pére Noël

    La 'naissance' du Père Noël 

    En 1863 « Harper's Illustrated weekly », le journal New-Yorkais, rêva Santa Claus d'un costume garni de fourrure blanche et portant un large ceinturon de cuir. Le dessinateur Thomas NAST en fut l'auteur. 
    Pendant près de 30 ans, Thomas NAST représenta, dans ce journal, Santa Claus ventru et jovial, à la barbe blanche et accompagné de rennes. 

    C'est en 1885 que l'illustrateur de ce journal dessina le parcours du Santa Claus qui va du pôle Nord aux Etats-Unis; sa résidence était ainsi officiellement établie ... 
    Un an plus tard, l'écrivain Georges P. WEBSTER précisa que la manufacture de jouets ainsi que la maison du père Noël « étaient cachées dans la glace et la neige du Pôle Nord » confirmant par cette affirmation les dessins de NAST. 

    Il aura fallu attendre 1931 ... et Coca Cola ! 

    La firme Américaine a eu le génie de demander à Haddon SUNDBLOM de dessiner ce vieux bonhomme (dont la renommée grandissait la-bàs) en train de boire du Coca Cola pour reprendre des forces pendant la distribution de jouets. Ainsi les enfants seraient incités à en boire durant l'hiver.

    Le dessinateur l'habilla aux couleurs de la célèbre bouteille de Coca Cola : rouge et blanc. Ce nouveau look et la renommée que lui valut la publicité, firent du vieux bonhomme le maître planétaire de la nuit magique, le Père Noël. 

     

    Il y eu bien quelques mouvements de protestation de la part des Catholiques contre cette envahissante popularité, la nuit du 24 au 25 décembre étant à l'origine celle de l'enfant Jésus. Certaines manifestations allèrent même jusqu'à brûler l'effigie du Père Noël, mais tout rentra dans l'ordre au fil du temps. 

    Histoire du pére Noël

    L'origine du Père Noël 

    Le Père Noël aurait pour origine Saint Nicolas. On retrouve dans sa représentation toute la symbolique de St Nicolas (barbe blanche, manteau rouge...). 


     

    Le père Noël voyage dans un traîneau tiré par des rennes, Saint Nicolas voyageait sur le dos d'un âne. Malgré la réforme protestante du XVIe siècle qui supprima la fête de St Nicolas dans des pays d'Europe, les Hollandais gardèrent leur Sinter Klaas (nom hollandais pour Saint Nicolas) et sa distribution de jouets. 

    Lorsqu'ils s'installèrent aux États-Unis, Sinter Klass devint Santa Claus. Santa Claus subit des transformations vestimentaires et culturelles pour se transformer en un Père Noël plus convivial. 

    Clement Clarke MOORE écrivit en 1821 un conte de Noël pour ses enfants intitulé « The night before Christmas » (La nuit d'avant Noël ) dans lequel le Père Noël apparaît dans son traîneau tiré par des rennes. 

    Ce même auteur rédigea un texte intitulé « A Visit From St Nicholas » (la visite de St Nicolas) qui parut dans le journal « Sentinel » de New York le 23 décembre 1823. Ce texte parlait de lutins qui distribuaient des cadeaux aux enfants par la cheminée et se dépaçaient dans une carriole tirée par 8 rennes (répondant aux noms de Blitzen, Dasher, Dancer, Comet, Cupid, Donder, Prancer et Vixen). 

    Un neuvième renne fut rajouté en 1939 : Rudolf, qui fut chargé d'éclairer le chemin du père Noël grâce à son « nez rouge lumineux ». Le récit fut traduit en plusieurs langues et diffusé dans le monde entier. 

     

     
     





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