* Origine de la Fête de Noël & Images / Images,musique . *
16/12/2015 18:36
L’Origine de la Fête de Noël
Noël est aujourd’hui fêté dans le monde entier, c’est la fête chrétienne la plus populaire, celle dont en principe notre calendrier marque le deuxième millénaire. “Noël” vient du mot latin natalem, accusatif de l’adjectif natalis, “relatif à la naissance” ; autrement dit, Noël célèbre la naissance de Jésus, censée avoir eu lieu il y a exactement deux mille ans. Mais, à y réfléchir un peu, il est improbable que l’événement soit célébré depuis cette naissance. On doit donc s’interroger sur l’origine de la fête de Noël.
La naissance de Jésus
Ce n’est qu’au sixième siècle de notre ère qu’un moine vivant à Rome, Denys le Petit, fixe la naissance de Jésus le 25 décembre de l’an 753 de la fondation de Rome et en fait le début de l’ère chrétienne, dans laquelle nous vivons aujourd’hui. En réalité, Jésus est plutôt né avant la mort d’Hérode le Grand (749 de Rome, soit -4).
Selon Matthieu, Jésus serait né avant le remplacement d’Hérode par Archélaüs, donc vers -6 ; mais selon Luc, ce serait au moment du recensement de Quirinius qui a eu lieu au moment de la déposition d’Archélaüs, en +6. L’année choisie par Denys correspond ainsi à une moyenne entre ces données contradictoires, mais on ne connaît pas le détail du calcul de Denys.
Denys fixe donc tardivement l’année, mais la fête de Noël existe déjà. Elle est cependant postérieure à la rédaction des évangiles : les récits de la naissance (Matthieu 1-2 ; Luc 1-2) sont écrits après ceux du ministère, vers l’an 100. Or, à cette date, les chrétiens ne fêtent pas encore cette naissance, et rien ne suggère que l’événement ait eu lieu en hiver. En somme, Noël n’existe pas comme fête avant le deuxième siècle.
Le substitut de la fête païenne du solstice d’hiver
La fête de Noël est, en revanche, bien attestée au début du quatrième siècle, lorsque l’empire romain se christianise ; et l’on observe alors qu’elle remplace progressivemnt la fête romaine des Saturnales qui est une fête de la lumière célébrant le moment de l’année solaire où les jours recommencent à s’allonger. Symboliquement, le solstice d’hiver marque la victoire de la lumière sur les ténèbres et le jour est donc célébré dans la joie.
Mais pourquoi cette substitution ? En quoi la fête du solstice d’hiver est-elle disposée à devenir celle de la naissance du Sauveur, devenu la référence de la nouvelle religion de l’Empire ? Certes, il existe bien un lien entre la joie de l’allongement des jours et l’espoir que suscite la naissance du Rédempteur du monde ; mais cela n’explique pas la rapidité avec laquelle la fête de Noël devient une fête populaire. Ainsi, la fête de Noël se substitue à celle des Saturnales ; mais elle n’a pas comme seule origine la fête romaine païenne du solstice d’hiver.
L’origine juive de la fête
Dans son livre Le christianisme de Constantin à la conquête arabe (Paris 1997), P. Maraval signale que la fête de Noël est attestée avant le quatrième siècle dans plusieurs régions de l’empire et notamment en Orient. On songe alors à un autre rapprochement : une continuité probable existe entre Noël et une fête juive qui est célébrée en décembre et commémore un événement essentiel, l’inauguration (ou la dédicace) du Temple de Jérusalem, en décembre -164, par Judas Maccabée, trois ans après sa profanation par le roi Antiochus IV Epiphane qui voulait mener à son terme l’hellénisation des Juifs. C’est la fête de Hannouka. L’événement commémoré eut lieu le 25 qisleu, correspondant au 15 décembre.
Il y avait donc depuis les origines du christianisme une fête que les fidèles d’origine juive continuaient de célébrer en décembre et qui marquait le début d’un temps nouveau. Elle est mentionnée dans Jean (10, 22) en ces termes : “On célébrait alors la fête de la Dédicace. C’était l’hiver.” Puis, au tournant du premier siècle, après la rédaction des récits de l’enfance, l’idée vient sans doute à certains, sans qu’aucun témoignage direct nous en soit conservé, d’associer la naissance de Jésus à cette fête, en raison de la proximité de sens des deux événements. Et pendant deux siècles, cette association demeure l’initiative locale de quelques communautés qui ne s’étend pas à l’ensemble de la chrétienté ; en particulier dans les grandes villes elle n’est pas attestée. D’autant qu’après 135, le judaïsme se décentre de Jérusalem à Babylone et perd de son importance dans l’empire romain.
Au début du quatrième siècle, la persécution de Dioclétien montre que le christianisme est devenu un dangereux concurrent pour les autres religions candidates à succéder à la religion païenne qui se meurt. Le lien avec la fête juive de l’inauguration du Temple se perd, mais le sens se maintient : la fête païenne que Noël remplace est moins riche de sens. Par la suite, le christianisme oublie ses origines juives jusqu’à vouloir forcer l’assimilation et la conversion de ceux-ci, quand ce n’est pas leur élimination par l’exil ou la mort ; les conditions ne sont donc pas favorables à reconnaître une origine juive à une fête aussi populaire. Le lien est donc progressivement effacé.
Kikoo a toi ma douce amie...je passe te souhaiter un bon week end a venir
avec beaucoup de joie et de douceur a partager...j'espère que tout vas bien
pour toi et que la santé est bonne, c'est le plus important...prends soin
de toi...mille et un bisous tendre du coeur de ton amie Sorella
* Origine de la Crèche . Tradition, l'origine remonte à Saint François d'Assise / Doc § Images. *
16/12/2015 17:59
Origine de la crèche - Crèches d'église
Le mot " crèche " signifie une mangeoire pour les animaux. Selon l'évangile de Luc (2/7), Marie a déposé l'enfant Jésus dans la crèche de l'étable où Joseph et elle avaient trouvé refuge. Par extension, le mot désigne l'étable ou la grotte ou est né Jésus.
Selon la tradition, l'origine de la crèche de Noël remonte à Saint François d'Assise. En 1223 il organisa une scène vivante avant de célébrer la messe de Noël. Les premières étaient vivantes. Peu à peu elles furent remplacées par des figurines. L'origine n'est historiquement pas très claire. La première avec personnages remonte à 1283 et fut commandée par le Pape Onofrio IV. les Jésuites en réalisent notamment à Prague en 1562, qui figurent parmi les plus anciennes connues. La Contre Réforme en fait un outil didactique
Histoire de la crèche - Crèches de Noël familiales
L'histoire de la crèche de Noël s'est poursuivie par l'apparition des crèches dans les familles. Elles n'ont commencées qu'au XVIIème siècle et se sont développées au XVIIIème siècle, particulièrement à Naples dans les demeures aristocratiques, dans les foyers de la noblesse et de la haute bourgeoisie. Celles ci, de style baroque, étaient raffinées avec une grande diversité de personnages somptueusement ornés. Elles reproduisent la vie quotidienne de Naples.
En France pendant la révolution, les représentations publiques étant interdites, la crèche de Noël apparait dans les maisons. C'est alors l'origine de la crèche provençale qui est plus rustique que la napolitaine. Elle est issue de la familiarité avec la population des villages de Provence.
Les personnages de la crèche
Les personnages de la crèche de Noël sont d'abord ceux que l'on voit dans le récit de l'évangile de St Luc : l'enfant Jésus, Marie, Joseph, les bergers avec leurs moutons et ceux qui se trouvent dans l'évangile de St Matthieu : les mages.
La tradition, suivant l’évangile apocryphe du Pseudo Matthieu (6ème ou 7ème siècle), y a ajouté l'âne et le bœuf qui ne sont pas présent dans l'évangile. Puis les personnages de la crèche se multiplient. A Naples, on voit les personnes de la vie quotidienne de Naples. Ces personnages sont des statues richement ornés atteignant parfois la taille humaine. En Provence, on trouve les personnages d'un village de Provence : le maire, le curé, le tambourinaire, le gitan, le boulanger, la lingère, le ravi ...
Installation à la maison
La tradition de la crèche de Noël est une tradition familiale. L'installation se fait le 1er dimanche de l'Avent ou le dernier dimanche avant la fête. Elle restera jusqu'au 2 février, date de la présentation de Jésus au Temple. On peut réaliser une grotte en papier rocher. On met au sommet l'ange qui s'est adressé aux bergers et une étoile qui évoque l'étoile des mages. Il y a souvent de la paille et de la farine qui représente la neige et parfois de la végétation telle que la mousse, le thym ou les pommes de pin. On place l'enfant Jésus, Marie, Joseph, les bergers, l'âne, le bœuf, les moutons. On ajoute les santons avec chaque année un nouveau personnage. Il faut mettre les mages le 6 janvier jour de l'Épiphanie.
C'est en effet François d'Assise qui créa la première crèche que tu retrouves souvent sous l'arbre de Noël. Voici donc cette belle histoire...
Nous sommes en 1223 et François se trouvait à Greccio, une ville de l'Italie. Il dit à l'un de ses amis, qui avait mis à la disposition des frères une grotte dans la montagne: "Je veux célébrer Noël avec toi, cette année, dans la grotte. Tu y installeras une mangeoire pleine de foin. Fais venir un bœuf et un âne. Il faut que cela ressemble à la crèche où est né Jésus". Et tous les habitants de la ville vinrent entourer les frères et assister à la Messe de Minuit. Ils étaient si nombreux, avec leurs cierges et leurs lanternes, que le bois était éclairé comme en plein jour. La Messe fut dite au-dessus de la mangeoire qui servait d'autel.
La légende raconte que tout à coup, l'ami de saint François vit un petit enfant étendu dans la mangeoire. Il avait l'air endormi...Et François s'approcha, prit l'enfant tendrement dans ses bras. Puis le petit bébé s'éveilla, sourit à François, caressa ses joues et saisit sa barbe dans ses petites mains ! Et cet ami comprit que Jésus avait semblé endormi dans le cœur des humains et que c'est François qui l'avait réveillé par sa parole et par ses exemples.
François, qui assistait le prêtre à l'autel en qualité de diacre, parla si bien à la foule de la naissance de Jésus et de ce que veut dire Noël que tous furent remplis d'une grande joie.
L'année suivante, les habitants de Greccio avaient raconté avec tant d'admiration les merveilles de cette belle nuit de Noël que, un peu partout, on se mit à reconstituer, dans des grottes ou des étables, la scène touchante de la naissance de Jésus. Et c'est pourquoi maintenant, nous avons partout des crèches à Noël; on dit même que le mot vient du nom de la ville de Greccio.
* Bonjour, La Pensée du Jour & "L'amour - critères, authenticité" § Musique -- Bon mercredi / Biz. *
16/12/2015 11:23
l’Amour - les critères de son authenticité
La question de la chasteté, de la continence est généralement mal posée par la religion. Pourquoi ?
Parce qu’en réalité l’acte d’amour n’est en soi ni bon, ni mauvais : il est seulement ce que l’homme et lafemme sont capables d’en faire. S’ils n’ont pas travaillé sur eux-mêmes pour se purifier, s’ennoblir, s’éclairer, par cet acte ils communiquent à leur partenaire certaines influences nocives.
L’amour véritable doit tout améliorer dans l’être que vous aimez, il doit l’élever, le renforcer, l’illuminer. Qu’il s’exprime ensuite physiquement ou non, c’est secondaire. On peut aimer quelqu’un sans jamais le toucher et l’empoisonner tout de même par cet amour.
Vous n’avez donc qu’une question à vous poser pour juger de la qualité de votre amour : est-ce que grâce à lui, l’être que vous aimez s’épanouit ? S’il s’étiole, s’il s’affaiblit, s’il perd sa joie de vivre, demandez-vous ce que vous avez fait pour abîmer cette créature. Vous deviez la cultiver comme une fleur dans un jardin, et vous n’avez pas de quoi être tellement fier de vous.
Il ne vous reste plus qu’à chercher comment réparer vos erreurs. Votre amour doit faire grandir un être. Si vous voyez qu’il s’épanouit à cause de votre amour, alors seulement vous pouvez vous réjouir, et remercier le Ciel.
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Fréquence de l'Amour, fréquence miraculeuse -- You Tube