* Une chienne poignardée à mort devant sa maîtresse *
20/05/2017 11:33
Une chienne poignardée à mort devant sa maîtresse
Alors qu’elle sortait tranquillement ses chiens dans un parc situé dans la banlieue de Perth en Australie, une jeune femme de 22 ans (qui a souhaité rester anonyme) a assisté à l’impensable.
Le 17 mai dernier devait être une belle journée pour Luna, Choco et leur maitresse. Pour se dégourdir un peu les pattes et faire de l’exercice, les deux chiens étaient dans un parc où ils pouvaient se promener en toute liberté. Tout d’un coup, Luna – un labrador retriever de 4 ans, aperçoit un homme et décide de s’en approcher.
Une rencontre dramatique
Alors que la chienne s’approche de l’homme, sa maitresse la suit du regard. L’homme possède un petit chien et semble vouloir jouer avec Luna. Agenouillé devant la chienne, l’homme reste très calme. La maitresse de Luna décide d’aller les rejoindre pour vérifier que Luna n’embête pas le petit chien, et c’est à ce moment que l’homme met sa capuche et s’en va en marmonnant des choses incompréhensibles.
« Je me suis approchée et j’ai réalisé qu’elle gisait au sol avec beaucoup de sang autour d’elle. Je me suis mise à hurler à l’aide, » explique la jeune femme encore très touchée.
Seule dans le parc, elle prend alors sa chienne dans ses bras et sent un battement de coeur. Le plus vite possible, elle l'emmène chez le vétérinaire le plus proche. Malheureusement, il était déjà trop tard pour Luna.
Le suspect en fuite
Actuellement à la recherche de l’homme en fuite, la police a demandé aux personnes qui vivent près du parc de regarder leurs caméras de surveillance pour trouver une piste. De son côté, la jeune maitresse de Luna ne comprend toujours pas comment quelqu’un a pu faire du mal à sa chienne qui était adorable avec tout le monde et qu’elle considérait comme un membre à part entière de sa famille.
*AGRICULTURE : SE PASSER DES PESTICIDES, C?EST POSSIBLE ! & Fondation Nicolas Hulot. *
15/05/2017 10:15
AGRICULTURE : SE PASSER DES PESTICIDES, C’EST POSSIBLE !
Publié le 23 avril 2017
Le sujet des pesticides est au cœur de l’actualité : vote de l’interdiction de tous les pesticides néonicotinoïdes en 2020, autorisation européenne du glyphosate, protection des riverains...
Pas une semaine sans que ce sujet fasse l’objet de débat.
Enjeu environnemental, sanitaire et économique … peut-on vraiment faire
avec moins de / sans pesticides ?
Comment faire pour réduire leur utilisation ?
La Fondation Nicolas Hulot met tout en œuvre
pour à la fois proposer une réduction de ces substances
et montrer que se passer de leur usage est possible !
L’alternative c’est l’agroécologie
Depuis 60 ans, l’agriculture s’est largement appuyée
sur les intrants de synthèse (engrais et pesticides)
afin d’augmenter les rendements.
Le succès a été au rendez-vous mais les impacts écologiques
de ces nouvelles pratiques n’ont été mis en évidence
que bien plus tard. Depuis les premiers soupçons
sur les impacts sanitaires et environnementaux des pesticides,
les études se multiplient pour pointer leur dangerosité…
jusqu’aux prises de positions de l’OMS ou encore de l’EFSA
sur certains produits ou encore les interdictions de certains pays
voire de l’Union Européenne de certains produits et usages.
Les pouvoirs publics commencent donc à prendre conscience
de l’ampleur des dégâts mais beaucoup reste à faire
tant au niveau national qu’européen.
Mais comment faire avec moins de chimie voire sans chimie ?
Le meilleur exemple reste l’agriculture biologique qui n’utilise pas
d’engrais ni de pesticides de synthèse.
En France, son développement actuel
(près de 5% de la surface agricole française est en bio,
chaque jour en 2017 on compte 21 fermes bio supplémentaires)
montre que non seulement cette agriculture est écologiquement
intéressante mais en plus économiquement et socialement enviable.
Au-delà de l’agriculture biologique, il est possible
pour les agriculteurs de réduire fortement l’usage
* POLLUTION PLASTIQUE DES OCÉANS : LA FAUNE SOUFFRE EN CONTINU & Fondation - Nicolas Hulot *
15/05/2017 10:00
Penser la transition
POLLUTION PLASTIQUE DES OCÉANS : LA FAUNE SOUFFRE EN CONTINU
Publié le 16 février 2017
En février 2017, une baleine à l’agonie retrouvée près des côtes norvégiennes a dû être euthanasiée. La cause de cette souffrance ? Une trentaine de sacs plastique obstruait son estomac l’empêchant de se nourrir. Cet exemple n’est pas un cas isolé. Actuellement, les océans contiennent plus de 280 millions de tonnes de plastique sans compter les milliards de micro particules de plastique. Ce fléau réel ne peut diminuer sans l’intervention de l’homme.
Avec sa durée de vie de 450 ans, le plastique est devenu le roi des océans. Mauvaise nouvelle, sa présence ne cesse d’augmenter. Selon une étude récente du CNRS, il a désormais atteint la banquise arctique et menace sa faune. Le plastique a 2 effets néfastes pour les mammifères marins. Certains se retrouvent directement pris au piège par le matériau, ils se blessent ou meurent d’épuisement en tentant de s’en défaire. D’autres l’ingèrent, s’étouffent et finissent par en mourir, c’est notamment le cas des tortues, des dauphins, des thons mais aussi des oiseaux, qui les confondent avec des proies (méduses en particulier). Chaque jour, plus de 8 millions de tonnes de plastique sont déversées dans les océans. Un constat lourd dû au comportement humain. 80% des déchets proviennent des terres (contre 20% des bateaux) et les déchets plastiques (bouteilles, sacs à usage unique, emballages, bouchons, cotons tiges) représentent entre 60% et 90% de ces déchets. Si la surconsommation de plastique ne diminue pas, en 2050, sa présence sera plus importante que celle des poissons…
Une chaine alimentaire faite de plastique
Jeter un déchet en pleine nature n’est jamais anodin. Cette pollution se répercute directement sur les écosystèmes et a effectivement de fortes chances de finir dans les océans, les fonds marins, les plages et les littoraux avec les vents, la pluie et les courants. En dehors du réchauffement climatique, les objets plastiques sont une menace omniprésente pour les écosystèmes marins. La chaine alimentaire se retrouve entièrement contaminée à son contact. Le plancton qui ingère du plastique est mangé à son tour par d’autres poissons ou coquillages, qui, s’ils sont pêchés, se retrouvent dans nos assiettes et nos estomacs. Limiter la consommation de plastique est donc primordiale pour la santé de notre planète et la nôtre.
Le meilleur déchet reste celui que l’on ne produit pas
Alors comment diminuer cette pollution croissante ? Changer de comportement. Privilégier le vrac, limiter les produits aux emballages superflus, choisir des produits en matériaux recyclés ou renouvelables, trier ses déchets sont autant de gestes à l’impact positif pour réduire cette propagation dévastatrice. En plus d’agir au quotidien pour réduire ses déchets, il est possible de participer à des actions collectives. Pour nettoyer les cours d’eau et les plages, des associations organisent toute l’année de grandes opérations de ramassages de déchets.
Pas toujours attirantes, ces actions sont essentielles pour préserver notre environnement. Chaque année, de nombreux bénévoles franchissent le cap et ramassent ainsi les déchets des autres. L’élément déclencheur de leur action vient souvent du même constat : une incapacité à supporter la vue d’un paysage détérioré. Ces grandes collectes permettent aussi de sensibiliser les participants aux enjeux environnementaux. C’est l’un des combats de la Fondation Surfrider, particulièrement impliquée dans la problématique des déchets aquatiques. Avec l’opération éco-citoyenne « Initiatives Océanes », organisée depuis plus de 20 ans, Surfrider encourage l’engagement citoyen dans une logique positive de responsabilisation et dresse des bilans précis sur la pollution des déchets. En 2015, ce sont 27 715 sacs qui ont été récoltés sur un total de 1 184 collectes.
Crédit photo : Surfrider®
Spécialisée dans le ramassage en montagne, Mountain Riders organise tous les ans de mai à septembre « Les Mountain Days » pour récupérer les déchets accumulés dans la nature pendant la saison d’hiver. L’association a réussi l’année dernière à mobiliser près de 5 900 participants sur 104 sites des Alpes. Au total, 51 tonnes de déchets ont été ramassées avec une moyenne de 480 kilos par site !
Rejoignez les opérations de ramassage de déchets organisées dans votre région en vous connectant sur J’agis pour la nature.
Envie de réduire vos déchets au quotidien ? Suivez les pas de la Famille Zéro déchet ! À la fois carnet de bord pas triste et guide pratique, vous êtes sûrs de faire le plein de conseils et d’alternatives simples pour le quotidien !