| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://marie-andree.vip-blog.com


** Nouveau blog - Et, bienvenue **
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

** Nouveau blog - Et, bienvenue **

VIP-Blog de marie-andree
  • 187 articles publiés dans cette catégorie
  • 2926 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 01/02/2008 17:52
    Modifié : 25/04/2020 21:27

    Fille (60 ans)
    Origine : marie-andree
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ *** -Méli - Mélo du Jour & Humour ***- ] [ -***PageAccueil § Bienvenue & Welcome & Bienvenido - Bienvenue -- Tous Pays & Tous sujets divers ***- ] [ -*** Spiritualité - Religions et Divers avis ***- ] [ -*** Belles images ***- ] [ -*** Infos. -- Docs § Vidéos ***- ] [ -***Photos - Découverte de divers lieux ***- ] [ ***- Musique - Chansons & Cinéma *** ] [ -***Origines et Coutumes : Toutes fêtes Religieuses ou non ***- ] [ -***Mes passions - Créas, Peinture/Dessin & Diapos ***- ] [ -***& Citations § Poésies § Beaux Textes & Musique ***- ] [ -***Zen - Modes de vie et divers conseils ***- ] [ -*** Animaux & Flore - Environnement § Défense Animaux - Faune ***- ]

    * POULETS ÉLEVÉS POUR LEUR CHAIR & Conditions de vie pitoyables . *

    17/06/2016 08:08

    * POULETS ÉLEVÉS POUR LEUR CHAIR & Conditions de vie pitoyables . *


     

    WELFARM - Protection mondiale des animaux de ferme

    POULETS ÉLEVÉS POUR LEUR CHAIR     

    Campagne poulets de chair PMAF
    LES POULETS DIT « DE CHAIR » SONT UTILISÉS POUR LA PRODUCTION DE VIANDE ; LES FEMELLES NE SONT PAS UTILISÉES POUR LA PONTE MAIS SERVENT AUSSI À CETTE PRODUCTION. LES POULETS DE CHAIR ONT EFFECTIVEMENT ÉTÉ SÉLECTIONNÉS POUR GRANDIR VITE ET PRODUIRE BEAUCOUP DE MUSCLE ET NON PAS POUR PRODUIRE DES ŒUFS. LEURS MUSCLES SERONT LA VIANDE. LE RYTHME DE CROISSANCE DES POULES PONDEUSES EST BIEN MOINS IMPORTANT QUE CELUI DES POULETS DE CHAIR.
    IL Y A QUARANTE ANS, LE POULET N’ÉTAIT PAS UN PLAT ORDINAIRE MAIS UN PETIT PLAISIR RÉSERVÉ AUX DIMANCHES ET AUX GRANDES OCCASIONS.
    AU FUR ET À MESURE DES ANNÉES, LE PRIX DU POULET A FAIT UNE CHUTE VERTIGINEUSE ET EST DEVENU UN PLAT QUOTIDIEN, À BAS PRIX, CE QUI A ENCOURAGÉ UNE PLUS GRANDE CONSOMMATION. LES ANIMAUX, EUX, LE PAYENT AU PRIX FORT….

     

    Signer le manifeste pour l'interdiction de l'élevage intensif des poulets

    Les conditions de vie de la plupart des poulets sont pitoyables. Les 6 milliards de poulets élevés annuellement dans L’Union européenne pour leur chair sont presque tous entassés dans des bâtiments surpeuplés. Du fait de leur croissance très rapide, beaucoup souffrent de douloureux problèmes aux pattes ou meurent d’une insuffisance cardiaque. Nous les faisons naître, nous les faisons grandir dans des élevages concentrationnaires, nous les transportons et nous les tuons pour les manger. Ils ne voient la lumière du jour que pour être chargés dans un camion qui les mènera à l’abattoir. Manipulés avec brutalité, entassés dans des caisses, ils n’en seront sortis que pour être suspendus par des crochets qui les feront plonger dans un bac d’eau électrifié… Là, étourdis, ils seront égorgés.

    WELFARM demande que la production intensive particulièrement détestable soit interdite. WELFARM demande aux consommateurs de donner leur préférence aux poulets biologiques, aux poulets fermiers élevés en liberté ou en plein air label Rouge ou de baser son alimentation sur les bienfaits des fruits, des légumes, des céréales, des légumineuses…

    N’hésitez pas à consulter notre fiche sur l’élevage des poulets de chair du dossier ‘Bien-être et labels de qualité' (PDF) pour faire la différence entre le label rouge et l’élevage bio.

    SIGNEZ LE MANIFESTE POUR L'INTERDICTION DE L'ÉLEVAGE INTENSIF DES POULETS

    Poulets.fr, un site internet pour dire non à l'élevage industriel des poulets de chair : WELFARM a mis en ligne un manifeste contre l'élevage industriel des poulets de chair. Nous vous invitons à le signer en ligne pour exprimer votre désaccord avec ce type d'élevage

    détails signer le manifeste

     

    LES COMPTER…

    De tous les animaux d’élevage, ce sont de loin les poulets de chair qui sont élevés en plus grand nombre.

    Tous les ans, 830 millions de poulets sont élevés en France. Le chiffre annuel du nombre de poulets élevés dans L’Union européenne (UE) se monte à 6 milliards. Ils sont pour la grande majorité (86% en France) élevés dans des conditions intensives.

    Des pattes déformées et un cœur affaibli.

    DES PATTES DÉFORMÉES ET UN CŒUR AFFAIBLI

    Le problème le plus important pour le bien-être des poulets provient du fait que les éleveurs industriels ont utilisé la sélection génétique (et une alimentation enrichie) pour que les oiseaux atteignent leur poids d’abattage deux fois plus rapidement. Aujourd’hui, les poulets de chair atteignent leur poids d’abattage en 41 jours, c’est-à-dire deux fois plus rapidement qu’il y a 30 ans. C’est en particulier le muscle qui grandit rapidement (c’est la partie qui est consommée) mais la structure des pattes, du cœur et des poumons ne suit pas la même évolution que celle du corps.

    Les pattes fléchissent sous le poids surdimensionné du corps. En conséquence, tous les ans, des millions de poulets de chair de l’UE souffrent de douloureuses déformations des pattes ou de paralysie. Dans le pire des cas, ils peuvent à peine marcher et ne se déplacent qu’en rampant. Certains meurent de faim et de déshydratation car ils n’arrivent tout simplement pas à se rendre aux points d’eau et de ravitaillement. Le professeur Donald Broom explique qu’élever des animaux dont le corps est surdimensionné par rapport aux pattes « c’est comme si un enfant de neuf ans devait se tenir sur les jambes d’un enfant de, disons, un enfant de 5 ans ». Souvent, le cœur ne peut suivre le développement trop rapide du corps. Tous les ans, des millions de poulets de chair de l’Union européenne succombent des suites de faiblesses cardiaques avant même d’atteindre leur âge d’abattage de 6 semaines. Les problèmes cardiaques les plus courants sont des ascites et le « symptôme de la mort subite ».

    Il est scandaleux que nous pratiquions l’élevage d’animaux qui ne peuvent même pas atteindre l’âge de 6 semaines sans que des millions d’entre eux deviennent paralysés, boiteux ou meurent d’insuffisance cardiaque. Ces maladies, ainsi que d’autres, provoquent chaque jour la mort de dizaines de milliers de poulets de chair en France.

    Des densités d’élevage excessives

    DES DENSITÉS D’ÉLEVAGE EXCESSIVES

    Après éclosion, les poussins sont conduits à l’élevage et entassés dans d’énormes poulaillers sans fenêtre qui peuvent renfermer de 30 à 40 000 individus. Lorsque ces oiseaux de basse-cour grandissent, le bâtiment devenant surpeuplé, leurs conditions de vie se dégradent. Alors, on peut à peine voir le sol, celui-ci étant entièrement recouvert de volailles. Dans bon nombre d’élevages industriels, on ne compte pas moins de 22 poulets, ou plus, par m2. Des recherches scientifiques ont montré que cette surpopulation provoque de sérieux problèmes de bien-être. Les poulets dont la densité d’élevage est trop élevée, souffrent de nombreuses pathologies (ex. mobilité réduite, ampoules sur la poitrine, dermites se propageant par contact) et d’une mortalité bien plus importante que lorsque les oiseaux sont moins entassés..

    A cause des problèmes de claudication et du surpeuplement, de nombreux poulets de chair passent quasiment tout leur temps assis sur la litière (généralement constituée de copeaux de bois) recouvrant le sol. Bien souvent, celle-ci est humide et sale. Le contact prolongé avec une litière dans un tel état amène logiquement les oiseaux à souffrir de douloureuses ampoules sur la poitrine, de brûlures aux jarrets et d’ulcères aux pattes. Non seulement leurs blessures sont douloureuses mais elles peuvent causer également une infection généralisée. Celle-ci peut se transmettre par le biais de la circulation sanguine et provoquer une inflammation des articulations. Le dégagement d’ammoniac de la litière détériore encore un peu plus les conditions de vie.

    LES MALADIES DE PEAU

    A cause des problèmes de claudication et du surpeuplement, de nombreux poulets de chair passent quasiment tout leur temps assis sur la litière (généralement constituée de copeaux de bois) recouvrant le sol. Bien souvent, celle-ci est humide et sale. Le contact prolongé avec une litière dans un tel état amène logiquement les oiseaux à souffrir de douloureuses ampoules sur la poitrine, de brûlures aux jarrets et d’ulcères aux pattes. Non seulement leurs blessures sont douloureuses mais elles peuvent causer également une infection généralisée. Celle-ci peut se transmettre par le biais de la circulation sanguine et provoquer une inflammation des articulations. Le dégagement d’ammoniac de la litière détériore encore un peu plus les conditions de vie.

    LES ANTIBIOTIQUES

    Les conditions de vie sont si mauvaises, dans de nombreux pays, que les oiseaux ingèrent une dose d’antibiotiques mélangés à l’eau et à la nourriture afin de stopper les maladies qui, autrement, se propageraient comme un feu de paille dans des poulaillers surpeuplés. La mauvaise utilisation d’antibiotiques dans les élevages industriels a conduit à l’émergence de bactéries résistantes à certains antibiotiques utilisés pour guérir l’homme de maladies sérieuses.

    Des famines chroniques chez les reproducteurs de poulets de chair
    Des famines chroniques chez les reproducteurs de poulets de chair

    DES FAMINES CHRONIQUES CHEZ LES REPRODUCTEURS DE POULETS DE CHAIR

    Les problèmes de santé des poulets de chair (problèmes provoqués par le rythme de croissance excessivement rapide) sont tels que, s’ils devaient vivre au lieu d’être abattus après 6 semaines d’existence, beaucoup mourraient avant d’atteindre l’âge pubère de 18 semaines.

    Ceci pose un énorme problème dans l’un des secteurs de l’élevage de poulets : celui des poulets reproducteurs, c’est-à-dire des oiseaux qui doivent donner naissance aux générations à venir. Ces reproducteurs doivent non seulement vivre jusqu’à l’âge adulte mais également rester en assez bonne santé pour se reproduire.

    Si les reproducteurs pouvaient grandir aussi vite que leurs congénères abattus après 6 semaines, beaucoup mourraient avant l’âge adulte et les survivants seraient très peu fertiles. Pour éviter ces problèmes, les éleveurs ont dû trouver une solution pour ralentir la croissance des poulets reproducteurs (cette croissance excessive a été imposée aux reproducteurs pour que les oiseaux atteignent aussi vite que possible leur poids d’abattage). La solution trouvée par les éleveurs est la suivante : ils nourrissent les reproducteurs avec des rations très limitées ; parfois, les animaux ne reçoivent que 25% à 50% de ce qu’ils mangeraient s’ils avaient un libre accès à la nourriture. Les poulets qui reçoivent une quantité restreinte de nourriture souffrent chroniquement de la faim, sont frustrés et stressés.

    Le ramassage des poulets

    LE RAMASSAGE DES POULETS

    Quand l’heure est venue pour les poulets de chair d’aller à l’abattoir, des équipes vident très rapidement les élevages en attrapant dans chaque main 4 à 5 oiseaux suspendus la tête en bas. Les poulets sont tenus par une seule patte et sont souvent malmenés. Attraper ces oiseaux ainsi, provoque chez certains des luxations de la hanche. Ceci s’accompagne souvent de graves hémorragies et, dans le pire des cas, le fémur s’enfonce dans l’abdomen de l’oiseau.

    Le ramassage à la main est le plus fréquent. Il existe également des machines qui prélèvent et mettent les poulets dans des caisses de transport. Au vu des retours des professionnels, ces machines ne sont pas tout à fait au point et occasionneraient davantage de fractures.

    Le transport de poulets

    LE TRANSPORT DES POULETS

    Entassés dans des cageots sur des camions pouvant contenir jusqu'à 6 500 poulets de chair, le trajet vers l’abattoir est souvent abominable. Tous les ans, en France, des centaines de milliers de poulets meurent sur le chemin de l’abattoir. Beaucoup de ceux qui survivent souffrent terriblement des températures extrêmes (froid glacial en hiver, chaleur accablante en été), de membres cassés et d’hématomes. Pendant le trajet, les oiseaux ressentent des secousses brutales, des vibrations, entendent des bruits assourdissants, sont privés d’eau et de nourriture et souffrent d’entassement excessif. Tout ceci provoque détresse et extrême angoisse.

    L'abattage des poulets

    L'ABATTAGE DES POULETS

    Les oiseaux sont suspendus la tête en bas, à des crochets de fer ; la compression des pattes par le métal provoque des douleurs. Les crochets suivent un rail en mouvement qui amène les oiseaux terrifiés vers un bain d’eau électrifiée dans lequel la tête est plongée. Ceci est destiné à les étourdir ; ils sont ensuite dirigés vers des lames automatiques.

    Beaucoup de poulets ne sont pas étourdis correctement et reprennent conscience juste avant ou après qu’on leur ait tranché la gorge. Certains échappent d’emblée au bac destiné à l’étourdissement et sont totalement conscients lorsqu’ils se dirigent vers les lames automatiques. La science a démontré que pour offrir une mort rapide, les deux artères de la carotide (principale alimentation de sang vers le cerveau) doivent être sectionnées. De nombreux abattoirs ne se soumettent pas à ce procédé ce qui signifie qu’il faut plus de temps aux oiseaux pour perdre tout leur sang jusqu'à ce que mort s’en suive et que certains reprennent conscience au cours de ce processus. Certains oiseaux sont toujours vivants lorsqu’ils sont plongés dans l’échaudoir (prévu pour relâcher les plumes avant que l’oiseau ne soit plumé).

    L’électronarcose est le mode d’étourdissement le plus fréquemment utilisé pour l’abattage des poulets. D’autres méthodes existent mais leur efficacité n’est pas toujours optimale. L’utilisation du gaz limite les manipulations et les douleurs de l’accrochage (les poulets restent dans leurs cages de transport) mais certains rapports ont montré que le temps de perte de conscience est plus long que pour l’électronarcose. Des douleurs et souffrances peuvent ainsi survenir (le poulet suffoque et aurait « l’impression de se noyer.

    Les abattoirs modernes tuent de 8 à 10 000 poulets à l’heure – ce qui représente la mort d’environ 170 oiseaux à la minute. A une telle vitesse il est difficile, voire impossible, d’assurer correctement le bien-être des animaux ou une certaine hygiène de la viande.

    Un rapport éminent publié en l’an 2000 par le Comité scientifique vétérinaire pour la santé et le bien-être des animaux de la Commission européenne est très critique à l’égard de l’élevage intensif des poulets de chair. Vous pouvez télécharger ce rapport en anglais ici, choisir celui qui s’intitule ‘The Welfare of Chickens kept for Meat Production (Broilers)’.

    UN RAPPORT DE L’UNION EUROPÉENNE

    Un rapport éminent publié en l’an 2000 par le Comité scientifique vétérinaire pour la santé et le bien-être des animaux de la Commission européenne est très critique à l’égard de l’élevage intensif des poulets de chair. Vous pouvez télécharger ce rapport en anglais ici, choisir celui qui s’intitule ‘The Welfare of Chickens kept for Meat Production (Broilers)’.

    Il condamne en particulier :

     

    • la vitesse de croissance rapide qui est à l’origine de douloureux problèmes aux pattes et d’insuffisances cardiaques ;
    • les densités d’élevage excessives dans les hangars où sont élevés les poulets de chair ;
    • la faim chronique infligée aux poulets reproducteurs (ce Comité affirme que ces oiseaux « ont très faim» et que « les restrictions sévères de nourriture … ont pour conséquence d’inacceptables problèmes de bien-être»).

     

    Les poulets élevés dans des hangars surchargés sont aussi moins actifs, du fait qu’ils n’ont pas suffisamment de place pour se mouvoir. En outre, le repos des poulets de chair est constamment interrompu par leurs congénères qui ne cessent de leur marcher dessus et de les bousculer.

    Les scientifiques ont démontré que les densités d’élevage excessives aggravent les problèmes aux pattes. En effet, les oiseaux ne pouvant se mouvoir correctement à cause du manque d’espace ont des os plus fragiles. A l’inverse, les poulets regroupés dans des hangars où la densité d’élevage est moindre font plus d’exercice et, par voie de conséquence, ont des os plus solides.

    Une synthèse de l’INRA, un constat sans appel

    UNE SYNTHÈSE DE L’INRA, UN CONSTAT SANS APPEL

    Dans une récente étude de l’INRA (Institut National de Recherche Agronomique), « Faire marcher le poulet : pourquoi et comment » indique que : « Plutôt qu'une mortalité très importante, ces troubles [locomoteurs] entraînent surtout une forte morbidité des animaux : d'après des études faites en élevage intensif, entre 75 et 90 % des animaux ont une démarche altérée, et entre 26 et 30 % ont une démarche sévèrement altérée ce qui entraîne une augmentation de l'indice de consommation et une diminution de la vitesse de croissance. Au-delà des pertes économiques directes, ces troubles affectent aussi l'image de qualité promue par la filière avicole.”

    La morbidité correspond au pourcentage de malades dans l’élevage. L’indice de consommation est le rapport entre ce que coûte un poulet et ce qu’il rapporte…

    Un peu plus loin, on peut lire : “ Des études indiquent que les poulets atteints de boiteries graves souffrent de manière chronique. Quand ils sont entraînés à discriminer entre deux aliments contenant ou non un analgésique, les poulets atteints de boiteries ingèrent plus d'aliment avec l'analgésique que les poulets sains, et ce d'autant plus que la boiterie est sévère. De plus, des poulets boiteux à qui on a administré un analgésique, traversent un parcours d'obstacles plus rapidement et font plus de bains de poussière que ceux à qui on a injecté une solution saline.”

     
     

     






    * La faune et la flore,aussi , l'environnement -- 21% des plantes menacées d?extinction dans le monde. *

    16/06/2016 08:57

    * La faune et la flore,aussi , l'environnement -- 21% des plantes menacées d?extinction dans le monde. *


    21% des plantes menacées d’extinction dans le monde

    Une étude des jardins botaniques de Kew, au Royaume-Uni, révèle qu’une espèce de plante sur cinq est menacée d’extinction, notamment à cause de l’agriculture. Un article de notre partenaire, le Journal de l’Environnement.

    Environ une espèce de plante sur cinq est menacée d’extinction dans le monde, révèle le premier rapport sur l’état du monde végétal publié mardi 10 mai par les Kew Royal Botanic Gardens. Parmi ces espèces vulnérables, près d’un tiers le sont du fait de l’agriculture.

    >> Lire : L’agriculture traditionnelle menace environnement et biodiversité en Allemagne

    Impliquant plus de 80 scientifiques, ce rapport de 84 pages est le premier aussi complet sur l’état du monde végétal au niveau mondial. Vouée à être réactualisée chaque année, sa publication coïncide avec un symposium sur l’état mondial des sciences, qui se tient de mercredi 11 mai à jeudi 12 mai aux Royal Botanic Gardens de Kew, en banlieue londonienne.

    Dans leur rapport, les chercheurs estiment à environ 391.000 le nombre de plantes identifiées par la science (excepté les algues et les mousses), dont environ 369.000 d’espèces à fleurs. Ce nombre ne cesse d’augmenter, et à un rythme soutenu: 2.034 nouvelles espèces ont été identifiées en 2015. Parmi les pays où l’on en découvre le plus, le Brésil, la Chine et l’Australie, avec respectivement 235, 158 et 132 nouvelles espèces décrites en 2015, contre trois en France.

    La médecine, première utilisation

    Sur l’ensemble des plantes connues de l’homme, 31 128 sont utilisées par lui, à diverses fins, en premier lieu médicinales (17.810 espèces). L’alimentation humaine repose sur 5 538 espèces, l’alimentation animale sur 3 649 espèces, les utilisations pour des matériaux (coton, lin, etc.) sur 11 365 espèces.

    Selon les chercheurs, 21 % des plantes connues seraient actuellement à risque d’extinction. Première cause: l’agriculture, qui menace 31 % d’entre elles, d’abord via les cultures végétales (production d’huile de palme, caoutchouc, etc.), mais aussi par l’élevage. Vient ensuite, avec 21,3 % des plantes menacées, l’usage des ressources biologiques, principalement par la déforestation.

    Suit l’urbanisation (habitat, tourisme, zones industrielles), la modification des milieux (dont les incendies), ainsi que les espèces invasives, dont les plantes elles-mêmes (4 979 espèces recensées par le rapport). Quant au réchauffement, il menacerait plus de 10 % des espèces de plantes connues de l’homme, notamment dans les régions montagneuses, dont les Alpes.

     
    UNESCO : Enrayer le recul de la biodiversité est urgent 
     
    &&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&
     

     






    * Putois à pieds noirs & En voie de disparition *

    15/06/2016 07:47

    * Putois à pieds noirs & En voie de disparition *


     

     

     

     

     

     

     

     

    Putois à pieds noirs

    Mustela nigripes 

     

    Le Putois à pieds noirs (Mustela nigripes), est un petit mammifère de la famille des mustélidés, habitant de la prairie d'Amérique du Nord et d'Amérique centrale. Il est également appelé furet à pieds noirs, traduction littérale de son nom d'origine « black footed ferret », ou encore putois américain au Canada. Il ne doit pas être confondu avec la variante, dite « furet américain », de son cousin domestique le furet (Mustela putorius furo). Mustela nigripes est étroitement apparenté au putois des steppes originaire de Russie (Mustela eversmannii). Le putois à pieds noirs est la seule espèce de putois indigène en Amérique du Nord.

     

    Description

     

    Le putois à pieds noirs est un mustélidé de la taille et de l'aspect d'un furet. La taille moyenne est d'environ 50 cm, le poids moyen est de 580 g pouvant atteindre 1 100 g4, les femelles sont plus petites que les mâles (10 %). Il a une courte queue recouverte de pelage, des oreilles ovales et saillantes et de fortes pattes. Son poil de garde est blanc alors que le bout des poils est brun, ce qui lui donne une apparence champagne foncé.

    Un masque complet brun marque ses yeux. Le patron de la robe est zibeline avec les pattes et le bout de la queue marron. Le museau, le front, les oreilles, la gorge et le début de la queue sont blancs. Le pelage couvre également les coussinets. Ses grands yeux noirs et ses larges oreilles suggèrent qu'il a une bonne acuité auditive et visuelle, mais l'odorat reste fondamental pour ce prédateur souterrain.

    Comportement

     

    Un putois à pieds noirs chasse un chien de prairie au National Black-footed Ferret Conservation Center. Le putois à pieds noirs est un carnivore principalement nocturne étroitement associé au chien de prairie (Cynomys), bien qu'il ait été prouvé qu'il puisse également être associé aux populations d'écureuils terrestres (Bermoohilus armatus).

     

    Le putois à pieds noirs est avant tout un prédateur direct du chien de prairie sauvage, dont il utilise également les terriers pour se reproduire. La femelle installe son nid dans le terrier de ses proies dans lequel elle met bas de 3 à 6 petits. La part du chien de prairie dans son alimentation est estimée entre 87 et 91 %.

    Un chien de prairie adulte représente 6 à 7 jours de ration alimentaire pour un putois à pieds noir. Le putois à pieds noirs se nourrit également de proies d'opportunité, lagomorphes, souris, oiseaux et insectes. Sa couleur et sa robe sont un camouflage parfaitement adapté à l'environnement de la prairie, ce qui le rend difficile à voir quand il est immobile. Il chasse ses proies à l'odorat sous terre dans le noir.

     

    Statut de conservation de l'espèce

     

    Chiens de prairie sauvages Reproduction en captivité de furets à pieds noirs La quasi-extinction de cette espèce serait due aux menaces pesant sur leur principale ressource alimentaire, le chien de prairie sauvage, à la maladie de Carré et à une maladie appelée « peste sylvide » (sylvan plague) similaire à la peste bubonique .

     

    Le putois à pieds noirs est considéré comme une espèce en danger d'après l'U. S. Fish and Wildlife Service (USFWS). Il s'est éteint en tant qu'espèce sauvage au Canada en 1937, et a été classé espèce en danger aux États-Unis en 19678. Alors que l'espèce était considérée comme éteinte dans la nature au statut UICN EW (Éteint dans la nature), un dernier peuplement sauvage a été découvert par hasard près de Meeteetse dans l'État du Wyoming en 1981.

     

    Un chien de ferme a tué un animal inconnu qui fut identifié comme un Mustela nigripes12. Une enquête rapidement menée a permis de découvrir un peuplement survivant de l'espèce, jusqu'alors inconnu. Ce peuplement comptait 130 animaux à sa découverte. Un suivi de cette population a montré qu'elle s'éteignait rapidement.

    .

    En 1986, le putois à pieds noirs était le mammifère le plus en danger du monde, avec une population réduite à 18animaux. De 1986 à 1987 le "Wyoming Game and Fish Department" a procédé à la capture des 18 animaux restants pour leur protection et pour établir un programme de reproduction intensif. À cette date, la totalité de la population mondiale de putois à pieds noirs était alors réduite à 50 individus en captivité.

     

    Sept animaux de ce peuplement ont été répartis dans des zoos et des universités dans le cadre du programme de reproduction. Des centaines d'animaux reproduits en captivité ont été relâchés dans l'habitat original, mais en 1997 seuls 5 d'entre eux ont pu être dénombrés.

     

    La peste sylvide, la maladie de Carré, et le faible taux de reproduction ont fait presque échouer cette tentative. Presque car à partir de 1997, l'établissement de colonies dans des zones indemnes de peste sylvide, le soutien des fermiers, des groupes de protection de la nature, des Indiens Shoshone dans les zones de réintroduction ont permis de rétablir une population stable de chiens de prairie et corrélativement de putois à pieds noirs. En 1998, un jalon important est atteint : le nombre d'animaux en liberté dépasse de nouveau le nombre d'animaux en captivité.

     

    Ainsi, après avoir frôlé l'extinction, l'espèce a été réintroduite, au départ dans le Wyoming, puis dans plusieurs États d'Amérique, dont l'Arizona et le Montana, mais aussi dans l'État de Chihuahua, au Mexique. Le Canada a décliné l'offre de réintroduction car l'analyse menée par le service canadien de la faune a montré que la population résiduelle de chiens de prairie dans les zones de réintroduction potentielle était insuffisante pour assurer la survie de l'espèce.

     

    En conséquence, aucun projet de réintroduction n'est à ce jour démarré au Canada bien que le Canada collabore très activement au programme de réintroduction par ses élevages en captivité. En 2009 une étude dans le cadre du programme « SARA » (Species At Risk Act) envisage une réintroduction de l'animal dans son habitat d'origine au sein du Parc national des Prairies.

     

    L'étude conclut que la petitesse (10 km2) de l'habitat disponible constitue un « vrai défi » mais semble ouvrir la porte à cette réintroduction20. En dépit de ce succès impressionnant, il s'agissait encore, en 2005, du mammifère le plus rare du continent nord-américain, et donc d'une espèce toujours gravement menacée, bien que la population réintroduite connaisse une croissance de 35 % par an. À cette date l'UICN a reclassifié l'espèce du niveau EW (éteint dans la nature) au niveau EN (en danger).

     

    En 2007 la population stable de putois à pieds noirs était de 600 animaux14. L'objectif actuel à l'horizon 2010 des programmes de réintroduction est d'obtenir plus de 10 populations sauvages auto-suffisantes, soit plus de 1 500 animaux, chaque population comportant au moins 30 adultes reproducteurs. Cet objectif permettrait le passage du niveau UICN EN (en danger) au niveau UICN VU (Vulnérable). Ce remarquable programme de réintroduction est géré par le "Black-Footed Ferret Recovery Program"

     

    Culture

     

    Par ailleurs, le putois à pieds noirs est l'un des personnages principaux de la nouvelle de science-fiction de Ken Wharton, Through the Looking-Glass, qui doit son titre au récit célèbre de Lewis Carroll.

     

    Compléments

     

     Articles connexes

    Mustélidés

    Furet

    Putois

    Putois des steppes

     

     Un putois à pieds noirs chasse un chien de prairie

    au National Black-footed Ferret Conservation Center.

     

     Chiens de prairie sauvages

     

    Reproduction en captivité de furets à pieds noirs

     

     

     Putois à pieds noirs dans la Prairie (Mustela negripes)

    Classification

    Classification https://fr.wikipedia.org/wiki/Classification_scientifique_des_espèces

     

     

    Putois à pieds noirsMustela nigripes    &  Lien direct vers le Site Wikipedia.

     

     
     

     

    Mustela nigripes
    Description de cette image, également commentée ci-après

    Putois à pieds noirs dans la Prairie
    (Mustela negripes)

    Classification
    Règne Animalia
    Embranchement Chordata
    Sous-embr. Vertebrata
    Classe Mammalia
    Sous-classe Theria
    Super-ordre Eutheria
    Ordre Carnivora
    Sous-ordre Caniformia
    Famille Mustelidae
    Genre Mustela

    Nom binominal

    Mustela nigripes
    (Audubon et Bachman1851)

    Statut de conservation UICN

    ( EN )
    EN D : En danger

    Statut CITES

    Sur l'annexe  I  de la CITES Annexe I , Rév. du 01/07/1975

    Le Putois à pieds noirs1 (Mustela nigripes), est un petit mammifère de la famille des mustélidés, habitant de la prairie d'Amérique du Nord et d'Amérique centrale. Il est également appelé furet à pieds noirs, traduction littérale de son nom d'origine « black footed ferret », ou encore putois américain au Canada2. Il ne doit pas être confondu avec la variante, dite « furet américain », de son cousin domestique le furet(Mustela putorius furo). Mustela nigripes est étroitement apparenté au putois des steppes originaire de Russie (Mustela eversmannii)3. Le putois à pieds noirs est la seule espèce de putois indigène en Amérique du Nord4.

     

     






    Début | Page précédente | 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact marie-andree ]

    © VIP Blog - Signaler un abus