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VIP-Blog de marie-andree
  • 204 articles publiés dans cette catégorie
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  • Créé le : 01/02/2008 17:52
    Modifié : 25/04/2020 21:27

    Fille (60 ans)
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    * Les saisons § Origine de l'automne -- Ethymologie ... & Bonne soirée. *

    17/09/2016 17:55

    * Les saisons § Origine de l'automne -- Ethymologie ... & Bonne soirée.  *


    Définition Automne            

    Automne
    Nature : s. m. et f.
    Prononciation : ô-to-n'
    Etymologie : Provenç. autom, autompne ; espagn. otoño ; portug. outono ; ital. autumno ; de autumnus ou plutôt auctumnus ; en effet ce mot vient d'augeo, augmenter, et il a par conséquent même racine que auctor, auteur (voy. ) ; c'est une forme de participe moyen, tombée en désuétude dans le latin, mais dont on retrouve cependant d'autres exemples dans Vertumnus, Picumnus, noms de divinités, et dans Pilumnus ; elle répond à une forme grecque, et manas en sanscrit ; auctumnus signifie donc la saison qui est augmentée, qui est enrichie.

     

    Voir les citations du mot Automne
    Signification du mot Automne

    Automne
    Nature : s. m. et f.
    Prononciation : ô-to-n'
    Etymologie : Provenç. autom, autompne ; espagn. otoño ; portug. outono ; ital. autumno ; de autumnus ou plutôt auctumnus ; en effet ce mot vient d'augeo, augmenter, et il a par conséquent même racine que auctor, auteur (voy. ) ; c'est une forme de participe moyen, tombée en désuétude dans le latin, mais dont on retrouve cependant d'autres exemples dans Vertumnus, Picumnus, noms de divinités, et dans Pilumnus ; elle répond à une forme grecque, et manas en sanscrit ; auctumnus signifie donc la saison qui est augmentée, qui est enrichie.

     

    Que signifie Automne ?

    Définition du mot Automne : - Celle des saisons de l'année qui est entre l'été et l'hiver. Un automne chaud et sec.

     

     

    Définition du mot Automne : - Fig.

     

     

    Définition du mot Automne : - L'âge qui précède la vieillesse.

     

     

    Définition du mot Automne : - Dans l'alchimie, temps où l'opération de l'oeuf philosophique est portée à la perfection.

    Automne

    Signification Automne

    Définition, prononciation et étymologie du mot Automne
    Les définitions


    Read more at http://dicocitations.lemonde.fr/definition_littre/35138/Automne.php#LAvquZEmTHgCrIHF.99








    * L'amour, qu'est-ce que c'est ? : l'origine du sentiment L'amour est un sentiment complexe, à la fois beau, fort, mais aussi parfois destructeur. Réflexion sur

    11/09/2016 14:44

    * L'amour, qu'est-ce que c'est ? : l'origine du sentiment L'amour est un sentiment complexe, à la fois beau, fort, mais aussi parfois destructeur. Réflexion sur


      & Scribium 

    L'amour, qu'est-ce que c'est ? : l'origine du sentiment 

    L'amour est un sentiment complexe, à la fois beau, fort, mais aussi parfois destructeur. Réflexion sur un mot universel, intemporel, éternel.
     

    L’amour c'est le beau, la douceur, la tendresse, la joie, le bonheur, l'apaisement, l'excitation, la paix, le plaisir, la patience, la tolérance, le pardon. Mais l'amour n'est jamais loin de la jalousie, de la haine, de la rancœur ou du désespoir. Quoi qu’on fasse, l’amour est partout et surtout, nous ne serions pas là, s’il n’existait pas!

     

    Vers une définition de l’amour 

    Peut-on réellement définir ce qu’est l’amour? Théoriquement, oui. Les dictionnaires proposent une présentation assez succincte, définissant l'amour comme "un sentiment d'affection et d'attachement envers un être ou une chose, qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité, pouvant être physique, spirituelle ou même imaginaire, avec l'objet de cet amour".

    Mais dans les faits, nul ne pourra contredire le fait qu’il s’agit d’un mot recouvrant bien d’autres réalités, bien plus profondes, voire indicibles, d’où la difficulté, voire l’impossibilité d’apposer une réelle définition à ce terme intemporel. Néanmoins, il semblerait intéressant de prendre quelques instants de réflexion autour de ce terme qui, si l'on y réfléchit bien, est à l’origine de notre vie et même de notre monde.

    L’amour: un sentiment riche et complexe 

    Selon nos propres convictions ou expériences personnelles, la nature même de l'amour est un sujet de débat, et plusieurs aspects de cette notion sont discutables. Autant, presque tous s’accorderont sur le fait que l’amour exprime un sentiment fort et positif, autant il devient parfois plus complexe de comprendre qu’on puisse l’associer à la haine, voire à l’indifférence. Pourtant, si l’amour est un sentiment complexe c’est bien parce qu’il a cette capacité d’éveiller en nous des émotions aussi fortes que contradictoires. Tantôt sentiment spirituel, tantôt sentiment physique, l’amour a ce pouvoir de s’associer à Dieu comme au désir sexuel. En tant que relation privilégiée et de nature romantique avec une personne, on le distingue souvent de l’amitié bien que cette relation puisse être définie comme une forme d'amour, et que certaines définitions de l'amour s'appliquent à une proche amitié.

    Complexe, le verbe "aimer" renvoie à une grande diversité de sentiments, du plaisir abstrait lié à une chose ou une activité ("j’aime les bonbons", "j’aime le sport") à une véritable attirance voire dépendance à une personne (l’amour que l’on porte à son conjoint, à ses enfants…) Ainsi, Leibniz en donnait cette définition: "aimer, c'est se réjouir du bonheur d'autrui". Cette diversité d'emplois et de significations du mot le rend difficile à définir de façon claire et définitive.

     

    Approche psychologique de l’amour 

    Si l’amour peut être tendresse, compassion ou désir, il peut aussi refléter le besoin de combler un manque. Ainsi, aimer serait une façon inconsciente d'avouer sa propre impuissance à être autonome. Besoin d’aimer ou besoin de se sentir aimer ne serait autre qu'un besoin égoïste, une attente de la personne qui pourrait combler les "manques" immatériels ou matériels que nous ne serions pas capables de satisfaire par nous-mêmes. Que seraient les joies, les bonheurs ou les souffrances de la vie s’ils n’étaient pas partagés? Ainsi, l’incapacité de vivre seul, ferait naître ce sentiment d’amour à l’égard de celui ou celle qui nous délivrerait de cette solitude.

    Pour aller plus loin, le désir de faire un enfant, par exemple, serait motivé par le besoin de créer quelque chose bien à soi et de devenir nécessaire à la survie de quelqu’un. De plus, outre l’envie de continuer à exister à travers cet autre soi, le désir d’enfant sous-tendrait en fait un désir caché chez certains parents d'être accompagné vers la vieillesse. Là encore, il s’agirait d’un moyen d’éviter la solitude.

    Dans cette approche, "aimer" serait une façon inconsciente de penser que la personne pour laquelle on éprouve des sentiments amoureux sera capable de nous apporter ce dont on a besoin.

    Tant que l’on sent chez la personne aimée la présence des choses que l’on attend d’elle, le sentiment perdure, mais si la personne aimée perd ou ne dispose pas d'une partie de ce que l'autre attend, le sentiment d’amour s’estompe ou s’éteint. Lorsque ce sentiment s'estompe, il n'est pas rare d’entendre: "Nos deux chemins se sont séparés" car "mes besoins ont changé". La personne quittée ressentira alors probablement un sentiment de tristesse, de jalousie, de colère voire de haine. Comme quoi il ne peut y avoir de haine sans amour…

    L’amour à travers l’art, la littérature et la philosophie 

    L'amour sous ses diverses formes joue un rôle majeur dans les relations sociales et occupe une place centrale dans la psychologie humaine, ce qui en fait également l'un des thèmes les plus courants dans l'art. Inspirant de nombreux artistes de toutes les disciplines artistiques, l’amour est un thème récurrent et majeur quelles que soient les époques, conséquence de la naissance, de la vie et la mort.

    En effet, comment parler d’amour sans évoquer les grandes histoires d’amour de la littérature comme Roméo et Juliette, couple emblématique de l’amour passionnel, la légende de Tristan et Yseult, ou bien encore les divinités mythologiques à l’instar de Cupidon, dieu des amours profanes et Aphrodite, déesse de l’amour. Il semblerait également que ce soit par le biais de la littérature que le thème de l'amour ait été traité par les philosophes. Pensons à Rousseau, Goethe, Voltaire, etc.

    De l’idéal "vivre d'amour et d'eau fraîche" rêvé par certains, à l’idyllique "Peace and Love", ces expressions universelles placent l’amour au centre de la vie, comme unique nécessité, un plaisir de la non-violence, de la séduction et des divertissements sexuels.

    Ainsi, l’amour est partout. A l’origine de notre vie, il nous fait naître, vivre et parfois mourir. Dictateur, totalitaire, l’amour apparait comme un sentiment puissant sur lequel nous n’avons pas d’emprise. Le poète Virgile avait peut-être raison en déclarant que finalement "l’amour triomphe de tout".

     

     
     

    L'origine biologique de l'amour

     

    Alain Souchon - L'amour à la machine (Clip officiel)






    * Origine, qui a inventé l'école § Histoire, évolution - Ecole, Société ... - 2 docs/2 Sites § Liens directs & Images -- Bon week-end. *

    04/09/2016 08:56

    * Origine, qui a inventé l'école § Histoire, évolution - Ecole, Société ... - 2 docs/2 Sites § Liens directs & Images -- Bon week-end. *


    
    
    ECOLE2
     

    Contrairement à la célèbre chanson que nous avons tous fredonné un jour,

    ce n'est pas ce sacré Charlemagne qui inventa l'école!

    Accordons-lui, toutefois, même s'il ne l'a pas institué,

    qu'il a fortement contribué à son développement.

    En fait la transmission des connaissances est bien plus ancienne,

    car les Egyptiens et les Grecs s'appliquaient déjà à instruire

    les enfants. Mais si aujourd'hui l'école est accessible pour tous,

    elle n'était à l'époque réservée qu'aux enfants privilégiés. 

    Les Egyptiens enseignaient la lecture, l'écriture, les textes littéraires

    et les fables aux garçons des meilleures classes sociales.

    Les garçons des classes moyennes étaient envoyés dans

    d'autres écoles pour devenir fonctionnaires ou hauts serviteurs

    de l'Etat. Seuls les garçons de la classe sociale la plus basse

    n'avait pas le privilège d'aller à l'école. Ils devaient apprendre

    avec leurs parents et se destinaient souvent au même métier qu'eux.

    Les filles quant à elles s'associaient au travail des mères

    et apprenaient à tenir un foyer ainsi qu'à chanter, danser et jouer

    de différents instruments de musique.

    Chez les Gaulois ce sont les druides qui avaient la charge d'éduquer

    les enfants. Ils n'apprenaient pas à lire ni à écrire

    car il n'y avait ni livres ni ardoises, mais ils apprennent par cœur

    des histoires, des chansons et des poésies.

    Chez les Romains, les enfants se réunissaient en plein air

    sur la place publique pour prendre des cours de grammaire,

    de grec et de latin.

    L'enseignement état strict et sévère.

    Au Moyen-âge, ce sont les moines et les scribes qui avaient

    pour fonction d'éduquer les enfants de la noblesse.

    Charlemagne, lui-même illettré et ayant souffert de cette lacune,

    a accordé une place toute particulière à l'instruction pendant

    son règne (de 800 à 814).

    Il a donné une large place aux intellectuels de l'époque

    pour qu'ils transmettent leur savoir.

    Il fonda une école et une académie dans son palais,

    et établit des écoles supérieures dans les monastères.

    Les paroisses furent aussi dotées d'écoles élémentaires

    où les gens du peuple pouvaient apprendre à lire, à écrire et à compter.

    Mais de nombreux enfants n'avaient pas accès à ces écoles

    et devaient travailler avec leurs parents.

    charlemagne
     
    Charlemagne

    En 1833, une loi oblige chaque village à ouvrir une école,

    mais seuls les garçons sont encore concernés.

    Les filles accèdent enfin à l'école en 1850,

    lorsqu'une loi imposa aussi la création d'une école

    pour les filles.

    En 1881 Jules Ferry rend l'école laïque,

    c'est-à-dire qu'elle ne dépend plus de l'église.

    Elle devient aussi gratuite et obligatoire.

    Aujourd'hui l'école est un droit auquel accèdent

    tous les enfants en France, mais il faut savoir

    que ce n'est pas encore le cas dans d'autres pays du Monde.

    La pauvreté et le manque d'infrastructures privent

    certains enfants d'instruction et par conséquent de la possibilité

    d'un avenir meilleur…

    ecole
     
     
     
     
    Contrairement à la croyance populaire qui voudrait que Charlemagne ait inventé l’école,
    dès la plus haute antiquité, il y a eu des écoles publiques annexées aux sanctuaires religieux,
    mais c’est lui qui a donné à l’école toute son importance en mettant ensemble les enfants
    des nobles et les enfants des pauvres destinés à l’étude et à l’église.
     
     
    L’Eglise, au Moyen Age, joue un rôle primordial, rôle qui va perdurer pendant un millénaire.
    Elle se trouve toutes les raisons du monde de s’arroger le droit d’instruire la jeunesse .
     Après le Concile de Trente (1563) certaines municipalités obligent les religieux
    à entretenir des petites écoles municipales et publiques subventionnées par les paroisses.
     
    Au 18ème siècle, Jean Baptiste de la Salle réussit à développer un important réseau
    d’écoles primaires chrétiennes.
    A la veille de la Révolution, les cahiers de doléances ne consacrent
    qu’une faible attention à l’école et le problème scolaire va préoccuper les Etats Généraux.
     
     
    Chaque assemblée révolutionnaire présente des plans d’éducation nationale.
    L’éducation primaire passe sous la responsabilité de l’état : tous les enfants y sont inscrits,
    même les filles.
     
    Talleyrand demande déjà que l’école accueille gratuitement les enfants de 13 à 16 ans.
    La laïcité est formulée avec force par Condorcet mais l’Etat n’ose pas imposer
    l’obligation scolaire, source de difficultés pour les familles pauvres,
    à cause du manque à gagner.
     
    Sous le Consulat et l’Empire, c’est le renouveau des écoles privées
    et le déclin des écoles publiques.
     
    L’instruction religieuse est renforcée et c’est le début d’une guerre scolaire
    qui va durer deux siècles.
     
    A partir de 1828, l’instruction publique est séparée du Ministère des affaires écclésiastiques.
     
    Elle est dirigée par un ministre sécrétaire d’état..
    Sous la monarchie de juillet, le ministre Guizot fait voter une loi
    qui prévoit une école par commune de plus de 500 habitants,
    mais il encourage toujours l’enseignement par les religieux,
    n’appelle pas à l’obligation scolaire et renonce au principe de gratuité.
     
    En 1850, d’après la loi Falloux, l’instituteur doit assurer les prières quotidiennes,
    faire apprendre le catéchisme.
    Grâce à Victor Duruy, une école de filles est créée dans toutes les communes
    de plus de 500 habitants mais il se heurte aux puissances catholiques
    et la priorité demeure à l’éducation religieuse.
     
    Après la guerre de 1870, l’Etat comprend enfin, sous l’impulsion de Jules Ferry,
    que l’éducation des écoliers lui incombe entièrement.
     
     
    Jules Ferry est né en1832 à St Dié.
    Avocat, député, il sera 5 fois ministre de l’instruction publique et Premier Ministre.
    Il transforme l’instruction en éducation :
    il veut que l’école soit accessible et imposée à tous les enfants
    et propose les lois fondamentales signées
    par Jules Grévy, Président de la République et Jules Ferry.
     
    L’école sera « GRATUITE » ( loi du 16 juin 1881 ;
    par voie de conséquence, elle sera obligatoire ( de 6 à 13 ans).
    Nul ne peut être heurté dans sa conscience par ce que dira le maître,
    aussi l’école sera aussi « LAÏQUE » (loi du 28 mars 1882).
    Cette loi retire aux autorités religieuses le droit de contrôle et l’enseignement religieux
    sera dispensé en dehors des heures de classe.
    Toutes ces réformes se sont faites dans la douleur.
    L’Eglise réagit et entend s’opposer aux principes de Jules Ferry.
    Elle s’allie à la droite la plus traditionnelle et les laïcs passent
    de la neutralité à l’athéisme.
    C’est la guerre sans pitié, particulièrement âpre dans les régions de l’Est,
    du Centre et surtout de l’ouest où l’on oppose« l’école de Dieu »
    à « l’école du diable ».
    Dans certaines communes des parents inscrivant leurs enfants
    dans une école publique peuvent être privés de sacrements par le curé
    de leur paroisse.
     
    Les lois de 1904 suppriment l’enseignement confessionnel et en décembre 1905
    est officialisée la séparation de l’Eglise et de l’Etat.
    Sous l’occupation, les congrégations religieuses retrouvent le droit d’enseigner
    et les écoles privées sont subventionnées
     
    Le 28 septembre 1951, la loi Barangé accorde bourses et subventions
    à l’enseignement privé mais la grève de 90% des instituteurs ne rencontre guère
    d’échos dans le pays.
     
    Le 31 décembre 1959, la loi Debré décide des possibilités de contrats
    entre l’Etat et les établissements privés par la prise en charge de tout ou partie
    des rémunérations des maîtres.
     
    En 1984, le ministre Savary tente de fondre le privé dans le public
    mais après une manifestation regroupant plus d’un million de personnes,
    le projet est retiré.
     
    Actuellement les seules écoles catholiques représentent la presque totalité
    de l’enseignement privé surtout implanté dans le Nord et dans l’Ouest.
    Les programmes sont identiques à ceux des écoles laïques
    mais leurs méthodes restent souvent beaucoup plus traditionnelles
    ce qui rassure un certain nombre de parents. 
     

    Par Arlette Jaulin 

    Un musée qui vous fera revivre l’école de 1900 à 1960

     

    Les photos liés à qui a inventé l'école

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    France Gall - Sacré Charlemagne (1964) Version Stéréo



    Commentaire de monbeaumiroirditmoi (04/09/2016 13:08) :

    Bon dimanche à vous

     

    http://monbeaumiroirditmoi.vip-blog.com/




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